La Comédie N Est Elle Destinee Qu Faire Rire

composition, Shakespeare, où il n'y a aucune part de vérité, juste de la comédie. L'illusion Comique de Corneille, aussi, met en scène un magicien. La tragédie met en scène des nobles, on ne peut pas dire qu'elle reflète réellement la vie. Tout y est accéléré etc... Le théâtre de l'absurde, très théâtral, sans réel lien avec la réalité. ANTITHESE Le théâtre Naturaliste représente des scènes de la vie, en essayant au maximum de faire oublier au spectateur qu'il est au théâtre. Recherche des noms comme

propos du roman Hugo : Les Rayons et les Ombres (1840) ; préface "Le roman n'est autre chose que le drame développé‚ en dehors des proportions du théâtre, tantôt par la pensée, tantôt par le coeur." Flaubert : Correspondance "Ce que je voudrais faire, c'est un livre sur rien, un livre sans attache extérieur (...), un livre qui n'aurait presque pas de sujet, où du moins le sujet serait presque invisible." Zola : Le naturalisme au théâtre (1880) "Le roman naturaliste (est) simplement une enquête

interprète. Actuellement les genres se portent toujours bien, mais il y a toujours des œuvres qui restent inclassables car la notion du genre persiste surtout avec le retour en force des genres provenant de la nouvelle critique. L’ouvrage tente de faire la synthèse des nombreuses définitions des théories et des approches de la notion du genre qui ne peut pas avoir une définition univoque. Textes :   - Hugo et le refus nominaliste des genres dans la préface aux Odes et Ballades (1826) : hostilité

une lettre de celui ou celle qui le calomnie auprès de Tv. Ces deux lettres sont apportées par un valet à Mme de Tv, après le baiser volé de Vt à sa future maîtresse. •chez Rosemonde encore : prolongement de ce qui précède. Vt demande à Azolan de faire pression sur Julie pour voler les lettres reçues par Tv. Comme elle refuse il feint de surprendre les deux serviteurs en pleine nuit : nous voyons alors la transmission nocturne, de main en main (Julie /Azolan), d’une liasse de lettres. • on ne

L’École des femmes est une comédie de Molière en cinq actes (comportant respectivement quatre, cinq, cinq, neuf et neuf scènes) et en vers (1779 dont 1737 alexandrins), créée au théâtre du Palais-Royal le 26 décembre 1662. La pièce, novatrice en ce qu'elle mêlait de manière alors inédite les ressources de la farce et de la grande comédie en vers, fut un immense succès, et suscita une série de débats connus sous le nom de « Querelle de L'École des femmes. » Cette querelle, habilement exploitée

ainsi, la Vie d’Henry Brulard de Stendhal, par la fièvre d’introspection qui l’anime, doit être considéré comme une authentique autobiographie. À l’inverse, les Mémoires d’Hadrien de Marguerite Yourcenar miment la forme autobiographique pour nous faire entrer dans l’univers d’un personnage imaginé. ■ 8 © rue des écoles, 2012 baroque Le mot, emprunté au portugais, désigne au XVIe siècle une perle irrégulière ou barroca, puis, avec une valeur péjorative, une architecture bizarre et compliquée

Louis XIV, au sein d’une famille aisée. A ses dix ans, son père reçoit la charge de contrôleur de la Monnaie dans l’administration royale en Auvergne et la famille quitte Paris pour Riom. En 1708, alors qu’il avait 20 ans, il fait jouer sa première comédie : »Le père prudent et équitable ». Après quelques années, il retourne à Paris en 1710 (22ans) pour entamer des études de droit qu’il abandonne très vite pour se tourner vers la littérature à partir de 1713. Débuts littéraires : A Paris, il prend

 www.comptoirlitteraire.com André Durand présente ‘’Les femmes savantes’’ (1672) comédie en cinq actes et en vers de MOLIÈRE pour laquelle on trouve un résumé puis successivement l’examen de : l’intérêt de l’action (page 3) l’intérêt littéraire (page 4) l’intérêt documentaire (page 4) l’intérêt psychologique (page 8) l’intérêt philosophique (page 10) la destinée de l’œuvre (page 12) Bonne lecture ! Résumé Acte I Scènes 1-2-3 : Armande, passionnée de «philosophie», reproche

accents pathétiques du drame bourgeois. Tout ce qui pouvait choquer un public habitué à d’autres usages et à d’autres nuances fait aujourd’hui de cette pièce la plus abordable et la plus séduisante des comédies de mœurs et de caractère. Toutefois, ne nous y trompons pas : L’Avare reste une grande comédie de la maturité, à la fois complexe et profonde. La peinture des caractères, la violence des rapports familiaux et des enjeux matrimoniaux, la mixité des registres comique et tragique et une composition

des genres (manuel p.118) ♣ exercice de distinction des genres (exercice 2 p.119) ♣ correction de l'exercice par le professeur Trace écrite 1. Le texte théâtral Il faut distinguer d'une part les indications scéniques (ou didascalies), qui sont destinées à faire comprendre au lecteur ce qui est vu et entendu par le public indépendamment de ce que disent les acteurs (décors, costumes, gestes, intonations ; titre de la pièce, liste des personnages, indications d'actes et de scènes), et d'autre part le