La Comédie Peut Elle Corriger Les Moeurs

peu plus dur que celui de la Bruyère, Boileau…, mais il lui reproche, comme eux, son hypocrisie. à Le Misanthrope (= celui qui hait les hommes, différent du philanthrope) est l’expression de cette période. C’est une comédie spéciale, qui ne respecte pas les règles de la comédie habituelle mais qui se rapproche plutôt de la tragédie. Axes : L’exposition, l’hypocrisie, les caractères d’Alceste et de Philinte. L'étude I - L’exposition : Nous entrons dans une dispute entre Alceste et Philinte

du sérieux et de la dérision. Si la tragédie relevait très clairement de la catharsis, la comédie n'était pas en reste pour « corriger les mœurs en riant. » Aussi est-il logique de nous interroger sur cette fonction et de nous demander « si les aspects comiques d'une pièce de théâtre (texte et représentation) ne servent qu'à faire rire ». Il faut noter que l'on ne nous parle pas explicitement de comédies ; il nous est donc possible d'étendre notre réflexion aux pièces mêlant les genres : drames

siècle) Liberté de pensée, liberté de mœurs, certaines écrivent des poèmes obscènes, est considéré comme dangereux condamnation à mort par l’église Échapper à cette erreur  s’échapper à l’étranger Usage du dialogue : univoque Le Dom Juan ? qui on aime dans cette pièce, le méchant est puni, horreur di vage ou beauté de libertinage Molière donne un rôle à la comédie corriger les hommes en le divertissant  hérité de la tradition latine  bonne comédie Corriger les défauts par le ridicule L’Église

peu plus dur que celui de la Bruyère, Boileau…, mais il lui reproche, comme eux, son hypocrisie.  Le Misanthrope (= celui qui hait les hommes, différent du philanthrope) est l’expression de cette période. C’est une comédie spéciale, qui ne respecte pas les règles de la comédie habituelle mais qui se rapproche plutôt de la tragédie. Axes : L’exposition, l’hypocrisie, les caractères d’Alceste et de Philinte. L'étude I - L’exposition : Nous entrons dans une dispute entre Alceste et

La doctrine littéraire de Molière dans l'Impromptu Pour Molière la comédie a trois buts très précis : PLAIRE, DIVERTIR, INSTRUIRE, buts qu'il rappelle dans L'Impromptu de Versailles Plaire : scène 5 ( p.99), Molière précise : « N’ai-je pas obtenu de ma comédie tout ce que je voulais en obtenir puisqu’elle a eu le bonheur d’agréer aux augustes personnes à qui particulièrement je m’efforce de plaire. » Plaire est la condition sine qua non du succès d’une pièce. Divertir : dans l’avant pièce

déclamation des acteurs plus qu’aux jeux de scène ou aux décors. La tragi-comédie Elle présente un dénouement heureux. Il peut y avoir des accessoires. L’exemple le plus connu est Le Cid de Corneille. La comédie • Son action se déroule à une époque et dans des lieux proches du spectateur. Les personnages appartiennent à la bourgeoisie ou à la petite noblesse. La relation maître-valet est souvent centrale. La comédie peut être en prose ou en vers, en cinq ou en trois actes, voire un seul acte. Molière

Le Malade Imaginaire Jean de Santeul dit que la comédie « corrige les mœurs en riant », et plus tard, Molière reprend la citation en la changeant : « la comédie corrige les hommes en les divertissant ». Jean Baptiste Poquelin, connu sous le nom de Molière, fut un grand dramaturge du XVIIe siècle et écrit de nombreuses pièces de théâtre comme Le Malade Imaginaire . Cette dernière est une comédie-ballet représentée pour la première fois sur scène le 10 février

de présenter au pubic les problèmes contemporains ainsi que les moeurs de la société. Dans une seconde partie, nous verrons que le théâtre met également en scène les préoccupations universelles des hommes. I- Le théâtre a pour fonction de présenter au public les problèmes contemporains: 1) Les dramaturges vivent pleinement dans leur époque et se penchent sur le problèmes de leur société. C'est la logique de la comédie des moeurs. Par exemple, dans Le jeu de l'amour et du hasard, Mariveaux dénonce

 La comédie classique du XVIIe siècle Synthèse sur le théâtre classique au XVIIe siècle -Le théâtre classique doit être soumis à une série de règles : la bienséance, la vraisemblance ; La séparation des genres ; la règle des 3 unités (lieu, temps, action) et aussi le recoures à la versification. -La bienséance : ce qu’on peut montrer sans choquer le public ( la présence de violence, de mort sanglante ou encore de contact physique n’est pas toléré sur scène). -La vraisemblance

Réel: * Comme adjectif : qui existe effectivement, et pas seulement à titre d'idée, de représentation ou de mot (exemple : un pouvoir réel). * Comme nom : l'ensemble des choses qui existent, le monde extérieur (synonyme : réalité). Extrait du corrigé : C'est joli la vie, mais cela n'a pas de forme. L'art a pour objet de lui en donner une précisément et de faire, par tous les artifices possibles - plus vrai que le vrai. II)            Le plaisir et l'intérêt du spectateur Si le théâtre est fondé