La Comédie Sert T Elle Qu A Ne Faire Rire

Au XVIIe siècle, la littérature classique cherche à divertir et instruire ou encore à corriger les mœurs par le rire. Sous le règne du roi soleil Louis XIV le théâtre comme aussi toute une littérature d'idée propre au grand siècle se pensent à la fois comme une forme de divertissement et comme un moyen d'instruction visant à la réformation de l'homme et de ses défauts, de ses vices, de ses travers ou encore de ses ridicules, perceptible dans les attitudes et les comportements qu'ils adoptent

avait uni les deux théâtre dressé à la porte de Notre-Dame » : ainsi l’écrivain Alexandre Dumas époux avec le cérémonial usité pour les noces des filles de France, sur un à travers cet extrait tirée de son ouvrage la Reine Margot définissait déjà le théâtre comme un lieu destiné à la représentation. Mais plus qu’un édifice, le théâtre est devenu aujourd’hui un art pluridisciplinaire. Notre exposé portera donc sur l’étude de ce thème polysémique qui a connu une évolution considérable depuis

Le Rire dans Fin de Partie Introduction : Le rire c’est « du mécanique plaqué sur du vivant ». C’est bien l’impression que nous donne les personnages de Fin de Partie qui semble rire d’un rire nerveux voire forcé. Du début de la pièce, pendant la pantomime de Clov rythmée de « Rire bref » jusqu’à la fin de l’œuvre le rire et le comique jalonne le texte. Quel est donc la nature et le rôle du rire dans Fin de Partie ? A travers des ressorts comiques variés, nous verrons que nous sommes face à un

représentation. Le corpus que nous allons étudier est constitué de trois textes en relation avec les disputes au théâtre : un texte comique voir satirique intitulé <<, le médecin malgré lui, acte I, scène 1, 1666>> écrit par Molière ; puis une scène de comédie de caractère <<Le bourgeois gentilhomme, acte III, scène 3, 1670>> écrit par Molière ; ensuite le texte de George Feydeau; Feu la mère de Madame, scène 1, 1908 et enfin une scène de dispute d’un vieux couple aigrie <<Edouard et Agrippine, scène 1

Le corpus soumis à notre étude se caractérise par sa forte amplitude diachronique puisque les textes ont été publiés entre 1668 et 1984. Il présente également une unité générique puisqu'il s'agit de 4 fables signées de La Fontaine, auteur du XVII° que l'on peut rattacher au classicisme français, de Jean Anouilh et de Jacques Charpentreau, écrivains du XX°. Ces textes, qui se présentent comme des réécritures, offrent cependant une diversité thématique. Les deux versions de l'apologue "Le Chêne et

 Le malade imaginaire, acte II, scène 10 I/ La comédie dans la comédie Toinette joue la comédie de la médecine pour désabuser Argan. 1) Le costume Ce costume suffit pour être pris pour un médecin l’apparence suffit. L’apparition de Toinette en médecin pour renforcer l’illusion du théâtre dans le théâtre. De même (l.3)« cela est admirable » illusion confirmé par la crédulité d’Argan. Toinette dit (l.9)« je vois monsieur, que vous me regardez fixement » introduit la justification de Toinette

donné à l’étude est composé de trois extraits de pièces de théâtre. Le premier texte fait partie de l’Illusion Comique de Corneille, œuvre publiée en 1636. Corneille est resté l’un des plus grands dramaturges du XVIIe siècle grâce à ses nombreuses comédies comme Le Cid. Le second, datant de 1951 est extrait de La Répétition ou l’Amour puni. Cette œuvre a été écrite par Jean Anouilh, célèbre dramaturge français du XXe siècle. Enfin, le dernier texte de Jean-Luc Lagarce est issu de sa comédie Nous,

Le malade imaginaire, acte II, scène 10 I/ La comédie dans la comédie Toinette joue la comédie de la médecine pour désabuser Argan. 1) Le costume Ce costume suffit pour être pris pour un médecin l’apparence suffit. L’apparition de Toinette en médecin pour renforcer l’illusion du théâtre dans le théâtre. De même (l.3)« cela est admirable » illusion confirmé par la crédulité d’Argan. Toinette dit (l.9)« je vois monsieur, que vous me regardez fixement » introduit la justification

Bergson Le rire       Il est tout à fait sérieux de s’interroger sur la signification du rire ! Ne serait-ce que pour justement comprendre ce qu’est le sérieux ! Dans Le rire Bergson s’excuse de tenter une telle investigation en disant que le rire mérite que nous cherchions à le comprendre parce qu’il est une expression de la Vie.     S’interroger sur le rire, c’est s’interroger en réalité sur ce qu’est la Vie et dans tout le texte de Bergson, nous allons en effet retrouver ce qu’il a écrit auparavant

INTRODUCTION Le Paris de la belle époque, c'est-à-dire de la période entre 1896 et 1914, voit fleurir, sur les grands Boulevards, des théâtres où l’on joue notamment des vaudevilles, type de comédie satirique sur le monde de la bourgeoisie sans intentions psychologiques ni morales, fondée sur un comique de situations. Le Vaudeville repose fréquemment sur une intrigue amoureuse et comporte généralement de nombreux rebondissements et quiproquos. Ce genre de pièces s’appellera aussi «  théâtre de boulevard »