La Conception De La Liberté Selon Epictète

LIBERTES PUBLIQUES Bibliographie : Les droits de l'Homme de Jean Jacques Gandini, collection Librio. Droit de l'Homme et libertés de la personne de Charvin et Sueur aux éditions Litec, 2007 Droit des libertés fondamentales de Louis Favoreu et Alter, Dalloz Libertés publiques et droits de l'Homme de Gilles Lebreton, Armand Collin, 2008 Droits de l'Homme et libertés fondamentales, Henri Oberdaurf, LGDG, 2009 Libertés publiques de Patrick Wachsmann, 2009 Libertés publiques, Jean Rivero

l’action, qu’il se manifeste sur le mode de la relation à l’autre. Elle implique enfin l’idée d’une pulsion de destruction dans l’homme, qui sera confirmée par les découvertes de la psychanalyse. ● Rendre le mal pour le mal L’expression renvoie à une conception archaïque de la justice, et équivaut à peu près à la loi du talion telle qu’elle s’exprime dans l’Ancien Testament sous la formule « œil pour œil, dent pour dent ». Elle témoigne du désir de compensation ressenti par l’humanité face à l’atrocité

façons de considérer la justice sociale, en fonction des sociétés, sous des principes dominants. * * Justice commutative = A chacun selon son mérite, son apport (visions $) * Ex : allocations familiales, retraite de la sécurité sociale il n’y a pas de redistribution, méritocratie. * Justice distributive (ou corrective) = A chacun selon ses besoins (vision €) * Ex : RMI, couverture maladie, allocation handicapé, impôt sur la fortune * * L’État doit-il poursuivre

| | |La théorie de Torricelli est révolutionnaire car aucun savant n'avait osé remettre en cause jusque-là le concept d'Aristote selon lequel | | |"la nature a horreur du vide".

toujours suppose en réalité qu'on renverse le rapport habituel de l'ordre du désir et de l'ordre du monde. Si on peut s'accorder sur le fait que le bonheur naît du plein accord entre l'ordre du désir et l'ordre du monde de telle sorte que tout arrive selon nos vœux, ce que l'on voit moins c'est que parvenir à cet accord peut se faire de deux manières. Ou nous transformons le monde pour qu'il se plie à l'ordre de notre désir, ou nous transformons notre désir pour qu'il se plie à l'ordre du monde. La première

des secrets. L’INCROYANT Pour Pascal, l’incroyance est un phénomène complexe, dont la signification dépasse la simple négation de l’existence de Dieu. Les apologistes qui précèdent Pascal dressent un tableau effarant de l’incrédulité en France. Selon le P. Mersenne, il y a 50 000 athées à Paris. Il exagère certainement. Mais l’incroyance affecte surtout des catégories de personnes en vue. On distingue sommairement deux sortes de « libertins », de ces esprits qui prétendent faire preuve d’indépendance

l’universitaire, mais encore, et peut-être surtout, à l’homme cultivé. Celui-ci sera heureux de retrouver trois grands penseurs des XVIe et XVIIe siècles en compagnie d’un merveilleux lecteur, Brunschvicg. Son talent, sa culture s’y déploient en toute liberté. Le texte entier est traversé par une telle force de sympathie, tellement nourri d’une immense culture, que Brunschvicg paraît presque s’effacer devant sa puissante invitation à rejoindre Descartes et Pascal, et qu’il nous met, à notre tour, à l’école

la puissance autorisée et efficace par laquelle des décisions légales ou légitimes sont prises au sein d’un groupe. - D’où la notion de pouvoir politique qui concerne le processus de la prise de décision légitime dans une société (sous la forme, selon Max Weber, d’un gouvernement ou d’un Etat, de la tradition ou d’un représentant individuel ou institutionnel). Par politique il faut entendre la dimension de ce qui est commun, de ce qui est mis en commun, par opposition au privé ou au particulier

dégager le fondamental intemporel des contraintes socio-historiques dans lesquelles chaque philosophe a forgé sa pensée. ➢ Se constitueront une pensée politique personnelle critique qui leur permettra de trouver une liberté face aux tentatives d’aliénation des conceptions perverses de l’Etat et de l’exercice du pouvoir. ➢ Se perfectionneront dans leur capacité à disserter de manière argumentative. Contenu : Introduction : La société p. 5

a, entre divers actes possibles, un choix beaucoup plus étendu que l’animal. Il y a déjà là pour lui une liberté relative, car il devient indépendant de la contrainte immédiate des objets présents, à l’action desquels la volonté de l’animal est absolument soumise. L’homme, au contraire, se détermine indépendamment des objets présents, d’après des idées, qui sont ses motifs à lui. Cette liberté relative n’est en réalité pas autre chose que le libre arbitre tel que l’entendent des personnes instruites