La Concurrence Oligopolistique

« convaincre » le consommateur d'acheter son produit. Logique du marketing qui se met en place à la fin du XIXe. →L'articulation production-consommation se fait à travers le marché qui permet la circulation de l'information sur les produits nouveaux et la concurrence permet de valider les demandes des consommateurs. (« Si S**y ne l'avait pas fait, un autre producteur l'aurait fait »). → Référence au schéma de Schumpeter : l'innovation est validée par le marché (prise de risque par le producteur – existence d'échecs

l’imagerie médicale. Elle travaille | |organisationnels, mercatiques… |essentiellement en B to B sur deux marchés induit, celui de la santé et du bâtiment. C’est un marché | | |oligopolistique, la concurrence n’est pas importante en nombre mais les acteurs du milieu restent les grands comptes| | |comme Bouygues construction, Eiffage. Les échanges s’effectuent via le système de marchés publics et d’appels

marchés. Les firmes créent alors des filiales-relais, comme celles installées par les FTN européennes et américaines dans les pays émergents d’Asie, qui produisent en priorité où elles sont implantées. * Aujourd’hui : situation de concurrence oligopolistique (peu d’offre- vendeurs et producteurs) elles décomposent les processus productifs entre les filiales installées dans différents pays : chacune se spécialisent sur un élément du produit qu’elle fabrique en grande quantité = économie d’échelle

qui le contraste, voire le neutralise (Galbraith 1952). Ce phénomène a eu lieu notamment sur le marché du travail, où des syndicats forts se sont constitués face à des grands groupes industriels. Mais, à son avis, tous les secteurs industriels oligopolistiques favorisent la création de forts oligopoles à l’achat qui exercent un contre-pouvoir sur les premiers. L’exercice de ce contre-pouvoir permet, selon Galbraith – et c’est le second aspect de sa théorie - de limiter l’ampleur des profits réalisés

* Marché arrive à maturité * Marché saisonnier * Concurrence avec des grands groupes (Tropicana) et des MDD (carrefour, leader-price, casino) * Prix de plus en plus bas | 2) Analyse Interne forces | faiblesses | * Entré de Coca-Cola au capital (58%) * Leader du marché européen (et 26% de part de marché en France) | * perte de part de marché | 3) Diagnostic Le marché des smoothies est un marché oligopolistique avec des quatre principales enseignes qui se partage

négatif quand la croissance de cette année est faible par rapport a l’année précédente la rentabilité est maximale en phase de maturitéle taux d’endettement faiblie par rapport croissance au départ est faible forte nulle négative concurrence = 1MONOPOLmonopolistique ; oligopolistique ; moyenne rentabilité =négative ;moyenne ; forte ; faible la ligne produit :dans chaque gamme il y as des ligne c’est l’ensemble de pdt qui ont les mm caractéristique ‘ (yaourt : yawmi, activia ; moufid )au début il est réduite ;

1/définition : La concurrence pure et parfaite correspond à la théorie de la formation du prix élaborée au XIX° siècle par les économistes classiques. La concurrence pure et parfaite est censée permettre l’équilibre sur tous les marchés sous des conditions suffisantes très particulières. La concurrence pure et parfaite représente un des deux cas extrêmes de structures de marché étudiés par leséconomistes néoclassiques, le second étant le cas de monopole. 2/ses caractérististique : la concurrence doit remplir

dans lesecteur de la télécommunication qui est en croissance, hausse exponentielle selon Wikipédia. Lesecteur des télécommunications marocain, qui reste majoritairement privatisé, est extrêmementrentable. Dans ce secteur on assiste a une concurrence oligopolistique qui le rend donc très attrayant pour les entrants potentiels car moins de concurrents, très fortes barrières à l’entrée car ça demande ungrand investissement de s’installer dans un domaine où les entreprises présentes ont déjà de trèsgrandes

le consommateur français s’approvisionne dans tous les circuits, en grandes surfaces, mais aussi dans les distributeurs automatiques, dans les bureaux de tabac ou encore chez l’artisan chocolatier local. La concurrence sur le marché : Le marché du chocolat est un marché oligopolistique, en dehors des MDD (Marques de Distributeurs), les 4 principaux intervenants réalisent 73.4% du chiffre d’affaire. C’est un marché où l’innovation produite est permanente laissant peu de place à de nouveaux entrants

négociation sur ses clients dû à sa position de leader (moyens de pression sur les distributeurs) *Menaces Concurrence : beaucoup de concurrence, du fait des nouveaux arrivants asiatiques. Michelin est leader du marché (20%) devant Bridgestone (japon) avec 18.3% et Good Year (usa) 17%. Les allemands continental et italien Pirelli complètent un marché assez segmenté et oligopolistique où des concurrents asiatiques (HANKOOK, YOKOHAMA) mènent une guerre des prix. 2.2 Macro- environnement 2