La Confusion des sentiments

que | |l'atmosphère évoquée précédemment produit sur lui. L'aspect confidentiel, voire intérieur, de ces questions | |montre que le poète semble avant tout s'adresser à lui-même. Ce lyrisme intérieur semble marqué tout à la | |fois par un sentiment de protection et de bien être - « ce berceau », « lentement dorlote » - d'apitoiement | |sur soi - « mon pauvre être » - et de mystère - « Qu'as-tu voulu » | |Par ailleurs, les deux volets de ce diptyque

On rq ainsi que les doc B et C montrent une répétition avec des indications scéniques que font les comédiens eux-m^. Ils st ainsi les représentants du dramaturge. Tandis que les doc A et D proposent une confusion des genres qui montre que les comédiens partagent leur confusion (de sentiments, de situation, psychologique) avec les spectateurs d’où l’ambiguïté de la situa°. En CCL, il faut dire que le théâtre ds le th a pour but de servir le tx théâtral, de le renforcer et donner + d’impact au msg

qui m’a emmené un sentiment de confusion lors des premiers moments de la pièce. De plus, la façon dont la pièce était présentée avec non pas de vrais dialogues entre les personnages, mais bien sous forme de clavardage, de texto, etc. m’a désorientée tout au long de celle-ci et m’a empêchée quelque peu de comprendre l’histoire de la pièce. J’ai tout de même pu apprécier le jeu remarquable des comédiens, la merveilleuse qualité théâtrale de la pièce, etc. Bref, malgré la confusion éprouvée lors de la

incapacité à changer de point de vue avec et principes inuables. L’incapacité est pathologique. Négation (déni) : mécanisme de défense contre l’angoisse, consistant à nier l’évidence. Culpabilité : état de celui qui a commis une faute. Sentiment de culpabilité : sentiment plus ou moins net de faute subjective qui s’exprime inconsciemment dans le comportement accompagné d’angoisse. Peut être pathologique en cas d’excès. C’est normal de se sentir coupable, cela est fondateur pour l’être humain, c’est bénéfique

du siècle de Louis XIII puis de Louis XIV, le Roi-Soleil, siècle de grands écrivains comme Corneille, Racine, Boileau, La Fontaine ou Molière. À travers cette œuvre, on renseigne sur les domaines concernés par la préciosité, à savoir celui des sentiments et en premier lieu de l'amour. Mais elle concerne aussi la façon de se comporter et de s'habiller, le langage et la mode donc, et, bien entendu la littérature. D'autre part, on fait de l'allusion aux salons, des lieux intellectuels par excellence

Pluviôse mois hivernal du calendrier révolutionnaire diérèse: lourdeur: évoque donc à la fois pluie, froid et révolution à mort ce mot, personnifié, est “irrité” contre la ville : vengeance, punition de « Pluviose » sur la ville · La ville sentiment d’angoisse qui vient de conscience de “mortalité” devient une sensation physique de humidité et de froid mortalité emphatisé par “urne” (=cendres des morts) et “cimetière” : la ville entière semble morte Le monde est ni vivant ni mort, environnement

suppression de la douleur o – Le chemin pour y parvenir ( le noble octuple sentier) Par opposition au Dharma, le Karma. C’est « l’activité », physiques, morales et intellectuelles. Tout ce qui provient de nos actes. D’une autre façon, ce sont tous les sentiments et les actes qui participent à l’attachement de l’existence Selon le Bouddha, la perfection consiste à séparer le karma du Dharma : la loi, des actes et des pensées, ce qui veut dire se réfugier dans la contemplation, en tentant de supprimer

Des sensations au sentiment * Le toucher (molle / dure) * Les éléments (terre, feu, eau) * L’amour engage l’être tout entier mais dans ce sonnet, les sensations sont d’abord physique : corps soumis aux éléments s’ajoutant aux perceptions des sens. * Tout se passe comme si la conscience des sentiments était en retard sur les perceptions, ce qui souligne l’aspect involontaire de l’amour qui suscite le désordre. B- La fusion des contraires * Tout au long du sonnet, le sentiment amoureux s’exprime

généralisée les gouts des hommes.Parmi tous les jugements sur un sujet une seule est vrai. Cependant tout sentiment est juste et véritable, car il est vrai et ne fait que référence à lui-même non au sujet, un rapport entre l’objet et l’organe. Et les décisions de bon sens en sont tout le contraire, faisant référence à au-delàs d’eux.On ne peut trouver la vraie beauté puisque chaque sentiment est propre à la perception de chaque individu, On ne peut donc avoir une norme du gout.On remarque que l’expérience

remarque qu'il y a un conflit qui existe dans cette discipline philosophique, une problématique qui découle de la notion kantienne du «jugement désintéressé.» Rancière souligne que ce point de vue a mené à une dépréciation de la dimension sociale du sentiment esthétique, et il propose d'y porter un nouveau jugement afin de rétablir une certaine harmonie dans ce qu'il qualifie comme un « malaise esthétique. » À son tour, Rancière critique alors cette nouvelle position du discours esthétique en expliquant