La Conscience De Soi Est Elle La Connaissance De Soi Même

 LA CONSCIENCE I – Suis-je le mieux placé pour savoir qui je suis ? Ainsi posée cette question, on va pouvoir aborder deux questionnements qui relèvent bien de la conscience et qui permettent de conceptualiser la conscience. D’abord parce que la question suppose que je suis capable de me connaître. On essaiera donc de déterminer ce qui me permet de me connaître et on abordera là la conscience puisqu’elle est ce par quoi je me connais. Mais pour répondre à la question, il faut saisir le sens

l’enfant sont la même personne. Lorsqu’une personne change de nom, ou de prénom, ou même d’apparence physique, elle ne change pas d’identité : elle reste une seule et même personne. Ce n’est donc pas en tout ceci que notre identité consiste. Dans l’extrait des Essais sur l’entendement humain que nous allons expliquer, Locke propose une définition de l’identité fondée sur la notion de conscience. L’identité personnelle, selon Locke, n’est pas autre chose que la conscience que nous avons de

totale de conscience psychologique et morale. L’inconscience n’est là que grâce à l’inconscient, ce n’est en aucun cas une réalité a part entière. L’inconscience n’est là que par nature ou momentanément. Inconscient : il désigne une obscurité fondamentale dans l’être humain, qui l’empêcherait d’avoir une parfaite maîtrise de lui-même, et qui dans les cas extrêmes le rendrait étranger à lui-même. Il est une partie du psychisme. C’est une réalité à part entière. En quel sens la conscience humaine est

 » notamment avec  Socrate et sa célèbre citation  « connais­toi toi­même ».  La préoccupation de la question « qui suis­je? » n'est certes pas quotidienne c'est  à dire qu'elle ne se présente pas forcément à nous chaque jour mais elle est tout  de même importante pour comprendre qui nous sommes. Quel être je suis?  Comment je me suis construit? La compréhension de soi est une réflexion qui  passe par notre identité personnelle .Cette identité étant caractérisée par des  informations personnelles

INTRODUCTION PROBLEMATIQUE. Spinoza imagine une pierre lancée vers le ciel qui prendrait conscience d’elle-même. Elle se sentirait alors attirée vers la terre et comme ce serait sa seule impression consciente, elle croirait faire librement ce qu’elle désire alors qu’en fait son désir resterait l’effet de l’attraction terrestre. On peut se demander si être conscient suffit pour être libre. Spinoza montre par son exemple qu’être conscient peut donner l’impression illusoire d’être libre. Cependant

concevoir - et la volonté telle qu’ils la considèrent, et qui une fois assemblés forment la raison ; Schopenhauer s’attache à dissocier ces deux facultés. Il considère en effet que la volonté est totalement indépendante de l’intellect puisque toute chose, même sans intelligence est pourvue d’une volonté. Il estime alors que cette dernière est, notamment chez l’Homme, animée par deux forces : l’instinct de survie et l’instinct sexuel. Le philosophe affirme ainsi que l’homme ne peut percevoir les choses et

« cognoscere », qui lui signifie apprendre à connaître, et chercher à savoir. Personne n'est mieux placé que soi-même pour se connaître. Pourtant, le récit de son histoire ou le regard des autres peut nous faire chercher une partie de nous qui pourrait nous échapper. Dans un monde en changements constants où l’esprit humain est sans cesse sollicité par ce qui se passe « à l’extérieur », où la connaissance tend à être supplantée par la communication, cela a-t-il du sens de vouloir se connaître dans la vie de

se connaître soi même ? La philosophie des son origine grecque place l’homme dans le questionnement sur ce qu’il est. Le « connais toi toi-même » de Socrate est une exigence inévitable. Connaître l’autre mieux que soi même, est ce possible ? A priori, l’autre nous est étranger. Mais peut-on en déduire pour autant que nous avons une compréhension totale de nous même ? Autrui est un autre moi, un alter ego mais c’est aussi un autre que moi. Liée à la philosophie de la conscience qui naît avec Descartes

indiqué pour avoir une connaissance parfaite sur moi ? Le sujet est-il le mieux indiqué pour rendre compte de son être intrinsèque ? Problématique : Dans quelle mesure, l’homme est-il capable de se connaitre Lui-même ? Cependant, l’inconscient n’intervient –il pas comme un frein à cette connaissance ? Mieux, autrui ne peut-il pas être un moyen pour le sujet de se connaitre ? Selon Descartes << la seule conscience dont j’ai est la certitude de ma propre conscience>>. Selon cette

avoir conscience de ses actes est se rendre compte de se qu'on fait et agir en connaissance de cause ne pas avoir conscience de ce qu'on fait est agir machinalement sans réfléchir et sans trop faire attention perdre conscience est s’évanouir perdre connaissance perdre le sentiment l'intuition de son existence et de l'exercice de ses facultés avoir des remords de conscience est regretter d'avoir commis une faute se donner une bonne conscience est tenter de se rassurer de n'avoir rien a