La Conscience Est Elle Souveraine

qui ne leur donnait pas la citoyenneté macédonienne ( conscience d’appartenir à l’ethnos macédonien). Ils payent un tribut, ont gardé leurs terres quand elles n’ont pas été confisquées (après révoltes). Toutes les pop° qui n’ont pas fait obstacles à l’avancée macédonienne, les terres n’étaient pas confisquées. Les terres étaient confisquées par le souverain et venaient grossir le domaine royal à moins qu’elles ne soient données par le souverain à tel ou tel noble macédonien, les donations du roi étant

politique 1- Le pouvoir politique implique lexistence dune socit politique Un pouvoir politique est un pouvoir global il sapplique tous et sexerce dans presque tous les domaines de la vie lexeption dune sphre prive rserve lindividu ex libert de conscience, dexpression qui en sont exclues . Ensuite, le pouvoir politique doit tre accept par les gouverns il doit y avoir ADHESION. Ladhsion implique des mcanismes de rajustement des actions du pouvoir, de transformation du mcontentement en changement Expression

participe à l’autorité du Souverain et sujets soumis aux lois de l’État. L’intérêt du Souverain et du peuple sont liés par un contrat, et on ne peut déroger aux lois, le devoir et l’intérêt obligent les deux parties contractantes à s’entraider mutuellement. Le Souverain ne peut avoir d’intérêt contraire aux particuliers qui le composent puisque leurs intérêts sont communs. Cependant, chaque individu peut avoir une volonté particulière contraire à celle du souverain, effectivement, il peut accepter

son pouvoir est-il absolument absolu ? Pourtant, « tel est notre plaisir » ! Nous verrons donc dans une première partie la sacralisation et la sainteté de l’autorité et de la personne du roi (I) et ensuite le respect et l’obéissance au nom de la conscience humaine et de la Religion (II). I- Sacralisation et sainteté de l’autorité et de la personne du roi Le roi n'a à rendre compte à personne de ce qu'il ordonne ou de ce qu'il fait. Même l'impiété déclarée, même la persécution violente, ne

l'affirmation des droits et des libertés de chacun. Afin de répondre à cette question, nous analyserons tout d'abord la notion d'Etat et son rapport à la notion de force pour, corrélativement, tenter de clarifier celles de peuple, de nation, de sujet et de souverain. (Que veut-on dire lorsque l'on dénonce la force de l'Etat, lorsqu'on le présente comme une force écrasant l'individu. Qui est alors détenteur de cette force ?) Nous verrons ensuite si tout Etat, quelle que soit sa nature, entrave le déploiement

rivalité, la méfiance et la fierté qui conduisent à la guerre de chacun contre chacun. La fierté en particulier est très marquée : chacun étant persuadé de sa supériorité physique et intellectuelle. C’est cette vanité qui lui fait prendre alors conscience des menaces qui pèsent sur sa vie : des alliances éphémères se nouent pour l'emporter sur un individu. Mais à peine la victoire est-elle acquise que les vainqueurs se liguent les uns contre les autres pour bénéficier seul du butin. La peur de

est une entité juridique formé par trois éléments constitutifs qui sont : une population, un territoire et une autorité politique qui va exercer le pouvoir et qui a un pouvoir suprême et indivisible. La nation elle est une communauté humaine ayant conscience d'être unie par une identité historique, culturelle, linguistique ou religieuse autrement dit la nation est un sentiment d’appartenance commune. La population d’un Etat est liée par ce qu’on a pu dire précédemment dans la définition de nation, comme

habitude de langage, qui permet à l’Homme de rapporter ses pensées à lui-même, de répondre de ses actes, et ainsi de prendre conscience de ce qui constitue son identité. Comme dirait Kant : « Que l’Homme puisse disposer du Je dans sa représentation, voilà qui l’élève bien au-dessus de tous les autres êtres vivant sur la Terre». Le philosophe établit également que la prise de conscience n’est que tardive : « L’enfant qui sait déjà parler assez correctement, ne commence qu’assez tard à dire Je. Auparavant

l’être réel ou fictif, au nom de qui est exercé le pouvoir de l’organe souverain (Ex : souveraineté nationale ou populaire) Loi souveraine : elle est définit par le principe de légicentrisme. Par celui-ci, la tradition française depuis la Révolution accorde une place centrale à la loi. Selon Rousseau, elle est l’expression de la volonté générale et « est toujours droite et tend toujours à l’utilité publique ». La loi souveraine est donc incontestable, on ne peut envisager de lui appliquer un contrôle

l’immigration. Aussi affirme-t-il : "même lorsqu’une nation se dresse contre un Etat - et sans doute pense-t-il à l’Algérie - c’est encore l’Etat qui par sa politique de ségrégation et de discrimination lui donne conscience d’elle-même ; la nation opprimée existe dans la conscience des dirigeants de l’Etat oppreseur avant de se manifester dans celle de ses propres membres…" De plus, dans les Etats décolonisés d’Afrique, on assiste au phénoméne de nationalisation de la société civile. En effet