La Conscience Nous éloigne De L Animalité

quelles conditions les hommes ont-ils conscience d’avoir un passé et tiennent-ils à le connaître ? I Les conditions de l’histoire Nous avons tendance à identifier les notions d’évolution et d’histoire : tout ce qui existe sur terre et même dans l’univers évolue dans le temps (des paysages aux étoiles). Pourtant la notion d’histoire doit être réservée à l’homme : seul celui qui a conscience d’avoir une histoire en a une. C’est-à-dire celui qui a conscience que son mode d’existence comme le monde

emmène dans les mécanismes incroyables du pouvoir. Nous sommes spectateurs éberlués devant cette magistrale démonstration de « comment devient-on dictateur ». Bafouant amitié, religion, amour, respect pour sa propre mère, la nature, la loyauté, la conscience, Richard III ne reculera devant rien, pas même: l'infanticide, le fratricide, l'incitation au suicide, les meurtres... Sensible à ce sujet, surtout depuis les dernières élections présidentielles; j'ai voulu faire un spectacle sur les dangers du

comme les êtres vivants seraient sans âmes. Au contraire, l’homme se distingue des choses (inanimées ou vivantes) en tant que personne capable de se donner à elle-même ses fins. Le libre arbitre est le fondement de la morale de la responsabilité. (animalité/humanité/ahumanité/inhumanité) Notes prises = Jean-Marie Schaeffer, dans La Fin de l'exception humaine. L’idée est celle d’une différence de nature entre l’homme d’un côté et le reste du monde vivant : la thèse de l’exception humaine

all-over. Le titre, qui suggère la dimension de douceur et d’intimité domestique du collectionneur s’adonnant à sa passion dans son chez-soi, contraste, par une ironie tragique, avec l’objet fortement connoté, ces masques à gaz désormais liés dans la conscience de chacun à l’horreur des camps d’extermination nazis. Cet objet symptôme du XXe siècle est rendu à tout son côté macabre, par l’accumulation et l’enfermement dans un cadre strict, la boîte-maison, où s’inscrit l’horreur. Biographie de l’auteur

Chapitre 3 : la parenté Introduction :· Avec la religion, la parenté a été un sujet très prisé par les pères fondateurs de l’anthropologie, qui a suscité un certains  nombres de ruptures et de révolutions disciplinaires.· Objet fondateur de la discipline :· Débats théoriques.· Approche méthodologique : l’enquête de parenté. · Morgan (représentant de l’évolutionnisme) :· Enquête sur les Iroquois : Systèmes dravidiens (père et frères du père = pères pour  l’enfant)

formation à l’esprit critique et à l’autonomie, méthode de pensée rigoureuse, art de réflexion, étonnement, questionnement, réflexion critique, théorie de l’argumentation, etc. CAR PAS RÉSERVÉ À LA PHILO. P17 : Sa définition : l’ho. un être fini doué de conscience de ses limites (finitude consciente) => question du salut qu’il va chercher d’abord dans les religions. P17-18 : Salut : le fait d’être sauvé, d’échapper à un grand danger ou à un grand malheur = la mort => promesse de la vie éternelle par les religions

aux organismes qui composent notre monde. On peut identifier une première spécificité, ce qui nous distingue d’un objet, est la capacité à dire « Je », « Moi ». Comment apparait cette conscience de soi ? Qu’est-elle exactement ? Quelle forme prend-elle ? Existe-t-elle vraiment ? (cf. cours 1 : La Conscience) La vie psychique de l’homme se réduit-elle à la vie consciente ? (cf. cours de l’inconscient) De plus, l’homme, par l’intermédiaire de ses cinq sens, perçoit et sait qu’il y a d’autres

qu’un corps ou qu’un animal, alors qu’est-ce qui me différencie de mon chien qui copule en public et aboie lorsqu’il a faim[1]? En tant que dépositaire de la raison ne suis-je pas éligible à un statut existentiel plus noble que celui conféré par mon animalité (indubitable, du reste)? Et on l’aura vite compris, les conséquences éthiques sont énormes. Ce que je suis a une conséquence directe sur ce que je dois faire. Ainsi doit-on aborder la question de l’identité personnelle avec un engagement sincère :

et l’animal, on peut retentir une zone d’identité, « l’homme qui souffre est un bête, la bête qui souffre est un homme, c’est la réalité du devenir » on peut ressentir un rapprochement entre l’homme et l’animal et par là sentir la limite de notre animalité. B) de l’unité à l’harmonie des milieux Dans notre rapport à l’espace on est victime de l’illusion selon laquelle il existerait un espace objectif dans lequel les espèces s’emboiteraient. Lorsqu'on dissipe cette illusion, une diversité de

Mais, est-il possible de parler de l’eau sans la figurer, en l’évoquant simplement? L’eau comme prétexte L’oeuvre support de ce point est «Musicien sous la pluie», prise par Robert Doisneau entre 1942 et 1948. Deux hommes sont sous la pluie, éloignés l’un de l’autre, regardant des des directions opposées, peut-être pour s’ignorer. L’homme à droite a la tête baissée, probablement à cause de la pluie. L’autre tient un parapluie au dessus d’un violoncelle. La photo est divisée en deux : en haut