La Conscience Nous éloigne De L Animalité

naissance, l'homme naît sans n'avoir aucune conscience de lui-même, il n'écoute que ses besoins primtifs, comme boire ou manger. On comprend donc pourquoi le philosophe pose cette affirmation : l'homme ne naît pas homme, il le devient en niant son animalité. Son humanité n'est pas innée. Mais pourquoi l'homme n'accepte t-il pas cette part de lui-même ? Georges Bataille dit que l'homme n'accepte pas le donné naturel car celui-ci fait tout pour s'en éloigner. Tout d'abord, par l'éducation. « L'homme

nous-même et de l’environnement qui nous entoure. On se demande alors ; Faut-il préserver la Nature ? Dans un premier temps, nous verrons la notion de civilisation de l’Homme, l’Homme moderne face à cette nature et comment progressivement il s’en éloigne. Nous allons distinguer ensuite l’Homme libre, ce dernier doit s’éloigner de la nature pour devenir libre et trouver le bonheur et enfin nous verrons à contrario si l’Homme n'est pas totalement libre et que le bonheur n'est qu'une illusion, s'il devrait

à ce que l'on pourrait appeler « une intelligence humaine ». L'homme invente des instruments avec justement des matériaux qu'il tire de la nature comme le bois. De part son intelligence l'homme produit des objets avec la nature il se sert de sa conscience pour la forme et l'utilité et de la nature pour la « consistance » (bois,métal...) comprenons que l'homme travaille et transforme la nature par son travail. Cette négation n'est donc pas une destruction pure et simple (en théorie), mais plus une

loufoque : L’écume des jours ; fantaisiste, dégage symboles, drôlerie, lyrisme, lecture saine… Publie quatre roman très critiqué ; Remis à l’honneur ds les années soixante dix ; Les fourmis aussi fantaisiste + première nouvelle ; décrit sous la conscience d’un narrateur, Soldat anti hero planqué , qui réagit mal à tout ce qui lui arrive ; espèce de journal de bord non daté ; qq qui ne comprend rien ; double énonciation, l’absurde ; fiction complète, loin del ‘implication de Malraux, de Barbusse ;

l'humanité est la station verticale (Le Geste et la Parole, 1964). En effet, en se dressant debout, l'homme a pu libérer ses mains et donc saisir des outils et travailler. L'homme a alors entrepris de transformer la nature et il s'est éloigné de son animalité première : c'est l'apparition de la culture. 2La transmission de la culture Après être apparue, la culture a nécessité une transmission constante. En effet, le patrimoine culturel n'est pas de nature biologique mais de nature sociale

de l'humanité est la station verticale (Le Geste et la Parole, 1964). En effet, en se dressant debout, l'homme a pu libérer ses mains et donc saisir des outils et travailler. L'homme a alors entrepris de transformer la nature et il s'est éloigné de son animalité première : c'est l'apparition de la culture. Après être apparue, la culture a nécessité une transmission constante. En effet, le patrimoine culturel n'est pas de nature biologique mais de nature sociale ou informationnelle : il ne passe

L’idée d’humanité Les hommes ont pris conscience de la valeur sacrée qu’est l’humanité suite à la deuxième Guerre Mondiale. C’est en effet à la suite du plus grand conflit de l’Histoire que fut inventé le concept de « crime contre l’humanité » qui constitue, encore aujourd’hui, la peine de justice la plus grave. L’humanité a donc été érigée comme la valeur étant au-dessus de toutes les autres. C’est celle qu’il faut absolument préserver car la négliger, c’est négliger l’homme. Mais alors, qu’est-ce

doué de parole ou d'une autre spécificité par | |laquelle d'ordinaire l'homme s'enorgueillit de comprendre et de dominer la nature. Au contraire ici, la définition proposée par | |Pascal ne rabaisse pas seulement l'humanité au rang d'une animalité spéciale mais jusqu'au rang du règne végétal. Cette | |dévalorisation de l'homme est encore renforcée par le fait que la plante choisie est le roseau, frêle, ballotté par les | |intempéries et par l'utilisation de la tournure

« était l’élément de son existence »: les changements forts semblent être la base, la raison de vivre de Thénardier. « l’élément » montre l’aspect vital et essentiel qu’apportent ses aventures. « conscience déchirée entraîne vie décousue »: Il y a un effet musical entre les 2 propositions «  Conscience Déchirée » et « vie Décousue » è allitération dure accentuant la fatalité. Jeu sur les adjectifs, rapport au tissu, l’existence de Thénardier est comparée à une étoffe fragile. l.7 « vraisemblablement »:

martiennes de Ray Bradbury (1950) ou 2001, L’Odyssée de l’espace de Stanley Kubrick (1968). Encore aujourd’hui, le mythe de l’exploration et de la colonisation spatiales et la découverte d’autres formes de vies intelligentes reste très ancré dans les consciences du monde