La Conscience Rend Elle Malheureux

tragédies du XVIIe siècle les plus souvent représentées sur la scène. Structure du passage : v.153-175 : Phèdre se lamente et montre son envie d'en finir avec la vie. v.176-178 : Phèdre avoue à demi-mots son amour pour Hippolyte. v.179-184 : Phèdre se rend compte que ses sentiments pour Hippolyte ne devraient pas exister. v.185-206 : Oenone essaie de convaincre Phèdre de ne pas se tuer.  Phèdre est donc tiraillée entre deux choix : avouer ses sentiments à Hippolyte ou rester fidèle à son mari. Ce passage

animaux par la conscience, par la religion et par tout ce que l’on voudra. Eux-mêmes commencent à se distinguer des animaux dès qu’ils commencent à produire leurs moyens d’existence, pas en avant qui est la conséquence même de leur organisation corporelle. » L’être humain est un être social «L’essence humaine n’est pas une abstraction inhérente à l’individu singulier. Dans sa réalité, c’est l’ensemble des rapports sociaux.» «La production des idées, des représentations et de conscience est d’abord

tout en sachant que le combat est inévitable. Le dialogue montre un thème commun à travers la pièce : le conflit entre la soumission aveugle et lucide, et l’importance du choix entre la famille, l’amitié et la patrie. Horace donne un discours qui le rend presque inhumain- son refus de céder aux sentiments est évident quand il annonce « Ce droit saint et sacré rompt tout autre lien/ Rome a choisi mon bras, je n’examine rien/ Avec une allégresse aussi pleine et sincère/ Que j’épousai la sœur, je combattrai

qui est de la meilleure maison",28), qui est malgré tout un moindre mal, car ce système évite les coups d'État, toujours néfastes à la population (87)? Et s'il inspire le respect, comme "les grands" (75), le roi n'en reste pas moins un homme aussi malheureux que les autres s'il n'est pas "diverti" : "un roi sans divertissement est un homme plein de misère" (127). Au bas de l'échelle, le peuple, qui, sans le savoir, fait preuve d'opinions "saines" (87 et 88), donc d'une certaine sagesse, car il ne conteste

renonce à elle et la donne à Smith: «Vous aurez un meilleur amant, vous n’aurez pas un meilleur frère.» Ce «jeune homme», tout d’abnégation, remercie alors «Dieu d’avoir permis que, de trois êtres qui avaient souffert par sa faute il ne restât qu’un malheureux» (7). Critique «Alors, sur ce monde en ruines, s’assit une jeunesse soucieuse» (I, 3). La Restauration a abandonné toute une génération aux affres de l’incertitude: un passé glorieux, un présent terne, un avenir obscur. La jeunesse ne peut

pouvons prendre l’exemple d’un Don Juan, qui de nos jours, est un homme qui essaie de séduire une multitude de femmes, sans problème de conscience et sans jamais assouvir son désir. Bref, le désir sensible vise insatiablement les objets du plaisir que fait rayonner le monde sensible. Il est la marque d’un manque d’unité et de satisfaction véritable. Il est conscience d’être manque mais il ignore que la nature des objets qu’il recherche ne pourra jamais le combler, comme le cite Platon "aucune possession

travail sur les mots, en jouant sur le rythme, la musicalité. Chaque auteur révèle une partie de lui-même dans son œuvre, fait partager des sentiments et des émotions. On peut néanmoins se demander si l'expression des sentiments personnels rend compte de l'ensemble de la littérature poétique. Certes, la poésie sert souvent à exprimer les sentiments du poète. Mais elle est également en lien avec le monde, comme pour la poésie engagée. Ce qui nous amène à nous demander si la vocation

Tartuffe III. 3) Introduction Tartuffe est une comédie écrite en 1669 par Molière. Sous Louis XIV, la compagnie du St Sacrement envoie des directeurs de conscience dans les familles pour surveiller les mœurs, c’est ce que raconte Molière dans le Tartuffe qui relate l’histoire d’une famille bourgeoise infiltrée par l’un de ces parasites. Il fait la satire des faux dévots distinguant bien les vrais des faux. La scène 3 de l’acte 3, représente le premier affrontement entre Elmire et Tartuffe

tâtonnant et trébuchant je revins au dortoir où je me jetai sur mon lit et enfouis ma tête brûlante sous la couverture et l’oreiller.(...) alors je fus frappé comme par la foudre, par la voix de ma conscience : « Misérable pleurnicheur, tu vas gémir alors que des milliers sont cent fois plus malheureux que toi ! » et insensible et muet, je supportai mon sort. Maintenant seulement je vis comme disparaît toute souffrance personnelle devant le malheur de la patrie.Ainsi, vains étaient tous les sacrifices

espère, et l'on n'est heureux qu'avant d'être heureux. En effet, l'homme avide et borné, fait pour tout vouloir et peu obtenir, a reçu du ciel une force consolante qui rapproche de lui tout ce qu'il désire, qui le soumet à son imagination, qui le lui rend présent et sensible, qui le lui livre en quelque sorte, et pour lui rendre cette imaginaire propriété plus douce, le modifie au gré de sa passion. Mais tout ce prestige disparaît devant l'objet même ; rien n'embellit plus cet objet aux yeux du possesseur;