La Conscience vengeresse

C'était il y a longtemps, très longtemps, Dans un royaume au bord de l'océan, y vivait une jeune fille que vous pourriez connaître Du nom d'Annabel Lee; Cette jeune fille vivait sans autre pensée Que de m'aimer et d'être mon aimée. Elle était une enfant et j'étais un enfant, Dans ce royaume au bord de l'océan, Mais nous aimions d'un amour qui était plus que de l'amour Moi et mon Annabel Lee, D'un amour tel que les séraphins du Ciel Nous jalousaient elle et moi. Et c'est pourquoi,

en plus distinctement, comme s'ils se fussent rapprochés du sol, les camarades tapaient. Aux rayons enflammés de l'astre, par cette matinée de jeunesse, c'était de cette rumeur que la campagne était grosse. Des hommes poussaient, une armée noire, vengeresse, qui germait lentement dans les sillons, grandissant pour les récoltes du siècle futur, et dont la germination allait faire bientôt éclater la terre. INTRODUCTION Ce sont les deux derniers paragraphes du roman. Après l'échec apparent de la

Choéphores Après la mort de son père, Électre souhaite que le crime soit puni, en réponse de quoi Apollon renvoie Oreste, fils d'Agamemnon, à Argos pour venger son père. Il tue Clytemnestre, réveillant ainsi la soif de justice des Érinyes, déesses vengeresses. À la fin Argos est détruite. Troisième volet : Les Euménides Après une longue errance, Oreste, toujours poursuivi par les Érinyes, arrive au sanctuaire d'Apollon à Delphes où il est purifié. Il est ensuite présenté devant l'Aréopage

découverte d'un poilu de la premiere guerre mondiale très recemment ravive ce devoir de mémoire. I- Enjeux A/ Régime d'unité nationale (Yohann Michel) Le premier enjeu a été l'unité national parce que la mémoire est constitutive de la conscience de soi, de l'identé nationale (d'un individu ou d'un groupe). Elle représente un enjeu plus important pour les sociétés modernes parce qu'elles sont nés d'un arrachement révolutionnaire à la tradition, il fallait donc implanter un fort sentiment

 L'exposition scène I .Naufragés, Iphicrate et son valet Arlequin se retrouvent sur l'île des Esclaves, dont Iphicrate connaît les coutumes vengeresses. Narquois, Arlequin refuse aussitôt d'obéir à son maître. scène II .Trivelin calme la colère d'Iphicrate et présente la coutume de l'île : maîtres et.valets doivent échanger leur nom et leur fonction afin que les maîtres prennent.conscience de leur orgueil et s'en guérissent. Le maître à l'épreuve du portrait du valet scène III

sensation d’avoir semé le grain d'où jaillira une moisson (sanglante), c'est-à-dire une société nouvelle fondée sur l'égalité sociale et économique. La lumière resplendissante (rayons enflammés de l'astre) exprime l'idée que Lantier a réveillé la conscience politique des mineurs. L'utilisation du présent progressif :  « la germination allait faire bientôt éclater la terre », la présence de l'adverbe d'appui  « bientôt » laissent entendre que la révolution va instaurer le bonheur. Etienne a semé l'espoir

l’expiation, Ahouna et Koudjègan, le sorcier Djessou, le vendeur de journaux Ségué nDi Aplika vivent le tragique destin du personnage problématique poursuivi par des forces vengeresses auxquelles ils ne peuvent échapper, ni par ruse ni par la résignation. « On comprend maintenant plus facilement ce qu’est le monde pour la conscience tragique -Précise L. Goldmann. On pourrait le dire en deux mots : rien et tout en même temps »308. Ils sont tourmentés par la poésie d’une jeunesse d’abord paradisiaque

connaissance et les ombres celle de l'ignorance. Dans ce recueil, le poète a pour but d'éclairer les ombres grâce aux rayons, ensemble ils forment la vie. Les châtiments qui parut en 1853 est une satire politique. Ce recueil fait ressortir une fureur vengeresse contre Napoléon III, son coup d'état du 2 décembre et son régime autoritaire. Pour les titres de ses six premiers livres, le poète transcrit ironiquement les formules officielles que l’empereur utilise afin de justifier ses actes «La société est

Cette préface constitue à elle seule un réquisitoire contre la peine de mort. Hugo n’hésite pas à décrire quelques exécutions particulièrement atroces, "il faut donner mal aux nerfs aux femmes des procureurs du roi. Une femme, c’est quelquefois une conscience". Il réfute les arguments habituellement avancés en faveur de la peine capitale, en particulier celui de l’exemplarité. Il réclame en outre "un remaniement complet de la pénalité sous toutes ses formes, du haut en bas, depuis le verrou jusqu’au

mortels, eux, se foutaient bien de garder les vaches. Ils avaient autre chose à faire et s’y appliquaient avec une conscience admirable. L’affaire prit de l’ampleur et les condamnations se multiplièrent. Ce bruit de bonheur énervait les déesses et ne laissait pas d’inquiéter leurs divins époux. Ça ne se faisait pas : l’Ordre exigeait de la tristesse. On imagina des vexations vengeresses, et de ne laisser aucun répit à ces mortels impudents. On proposa de leur jeter des seaux d’eau pour rafraîchir