La Conscience vengeresse

Le nombre 10 Pour Pythagore, 10 était le symbole de l'univers et il exprimait également l'ensemble des connaissances humaines. Somme de 5 + 5, le nombre 10 représente les deux sens de courant contraire de la conscience: celle en involution et celle en évolution. Selon H.P. Blavatsky, le 1 suivit du 0 indique la colonne et le cercle, c'estàdire le principe mâle et femelle, et ce symbole se rapporterait à la nature Androgyne et aussi à celle de Jéhovah, qui est à la fois mâle et femelle. Le

raison pour laquelle nous avons choisit trois auteurs qui parcourent de long et en large l’histoire littéraire, mais permet également de s’opposer à la finitude qui caractérise l’espèce humaine. Chez Max Rouquette, les personnages semblent avoir conscience de ce pouvoir qu’ont ceux qui agissent sur le temps. La vieille dira à la scène XVII : « Médée sans fin…Médée éternelle. ». La vieille femme connaît les répercutions des actes que s’apprête à commettre l’enfant prodige. Elle-même énoncera en faisant

Introduction : En 1845, Ernst Von Feuchtersleben, psychiatre et philosophe autrichien, adopte le mot psychose. Cela, créé une opposition entre la névrose et la psychose. La névrose est une affection caractérisée par des trouble affectifs et émotionnels sans cause anatomique, et intimement liée à la vie psychique du sujet. La psychose est une maladie mentale ignorée de la personne qui en est atteinte (à la différence des névroses) et qui provoque des troubles de la personnalité (par exemple paranoïa

Tout d’abord, dans le premier texte, nous sommes face à Perceval, un héros chevaleresque faisant parti de la table ronde. Ce dernier possède une image vengeresse et se bat pour une femme. Il ressort, encore une fois, victorieux de son combat : « Perceval revient au château en héros, la demoiselle se jette dans ses bras ». Ce dernier est typique d’un combat chevaleresque : les chevaliers se défient, ils brandissent

prologue de l’Agamemnon d’Eschyle, le chœur commence par rappeler la victoire troyenne. Puis il rappelle le monstrueux sacrifice d’Iphigénie, sacrifice qui inaugure l’expédition troyenne. Dès lors au vainqueur sacrilège, Agamemnon, s’oppose une mère vengeresse, Clytemnestre. Alors que l’expédition troyenne est compromise par la colère d’Artémis, Calchas, devin, interprète les signes envoyés par la divinité : un présage qui montre deux aigles en pleine lumière qui attaquent une hase. Cette scène est

de symbolisation très fréquent dans les fables. a) le singe : symbole de l’imitation. Le lecteur associe automatiquement le singe à la grimace, à l’animal qui fait tout pour imiter l’homme. C’est un animal aussi qui fait rire, donc que les consciences des lecteurs l’associent à quelque chose de peu sérieux, de beaucoup moins noble que le Loup. Le choix du singe par Hugo procède donc d’une dégradation par rapport à son prédécesseur. Le singe est un animal qui dans l’esprit des lecteurs est vile

maternels et vengeance, Corneille s’écarte encore de Sénèque, et reprend plutôt le conflit déjà esquissé chez Euripide. Chez le Latin, l’accent est surtout mis sur l’acte même du meurtre des enfants, vers lequel « tout le drame tend »24. Le débat de conscience entre la pitié et 18 19 II. 2. v. 484. Alors que l’Alphésibée de Hardy, chez qui la jalousie déclenchait immédiatement une passion de vengeance, avide, cruelle, en manquait. II. 2. v. 445-46. III. 4. v. 921-23 II. 2. v. 440-41. III. 4. v. 903-04

l’encontre de la réalisation de l’amour qu’il voue à sa bien-aimée, Chimène. Rodrigue se sent déchiré entre son père et son amoureuse, et ce déchirement le blesse profondément, au point qu’il a l’impression qu’il ne s’en sortira jamais. En effet, il a conscience de la fatalité de son destin. Sa décision n’aboutira pas à une issue qui lui serait profitable, à savoir qu’il ne pourrait à la fois respecter l’honneur de son père et épouser celle qu’il aime : il doit absolument choisir l’une ou l’autre de ces

Giovanni la démesure de sa conduite dissolue, il en admire la prestance de séducteur, l’aisance qui en impose aux autres personnages, la liberté de vie et la condition privilégiée de noble. Il se plaît à jouer la ‘voix de la raison’ et la prétendue conscience de son seigneur, mais il ne fait que l’envier. Comme lui, Il aimerait mener une vie de séducteur et de gentilhomme : c’est d’ailleurs ce qu’il chante dès son entrée en scène, dans le premier air de l’opéra, « Notte e giorno faticar ». Mais il

* Il utilise une stratégie double. Il cherche à convaincre de façon logique (appel à la raison). Discours quasi religieux, évocation du ciel → argument d’autorité qui fait appel à la conscience et la confiance de son auditoire. Vers 21 : référence à l’Histoire →appel aux connaissances du public, divinités vengeresses (comme dans l’Antiquité). Il utilise également une image de Père bienfaiteur. Il cherche à persuader, amadouer (appel aux sentiments) registre affectif vers 15. Utilise des nuances (« je