La Cour Du Lion La Fontaine Analyse

• Montrer que la paronymie, phénomène intrinsèque au vocabulaire, appartient au niveau de la langue, tandis que l’attraction paronymique, ayant un caractère individuel (subjectif), est matérialisée au niveau de la parole; • Analyser la paronymie par la prisme d’une source d’apparition de l’ambiguïté sémantique; • Montrer que l’attraction paronymique est conditionnée par l’Imaginaire Linguistique du sujet parlant et qu’elle peut être rapportée à la catégorie des

dominantes. Le conte devenu genre littéraire est toujours un récit narratif en prose. Il fait le plus souvent intervenir le merveilleux. La moralité et le but de l’auteur Les contes de Charles Perrault, auteur du XVIIe siècle, contemporain de La Fontaine, sont un peu différents. Ce sont des contes moraux : à la volonté de distraire ou de construire, s’ajoute celle de faire réfléchir et de critiquer. Perrault a ici une intention satirique : tous les loups ne sont pas de même sorte, lit-on ! L’auteur

aidé de Batiras ; Qu'il n'existe qu'un siècle et qu'il n'est qu'une école ; Que Bzovius fut docte, et que le grand Nicole Est si grand qu'il pourrait loger sous son manteau Godeau, Chiffletius, Possevin et Petau. J'ai tout ruminé, glose, analyse, critique. J'ai vu Laïs au pnyx, Aspasie au portique, Et jusqu'à Scarron dans son trou de Saint-Cyr ; J'ai fait ce stage affreux, n'ayant d'autre plaisir, Au pied du mur humain pauvre bête acculée, Que de manger parfois dans la main d'Apulée

dominantes. Le conte devenu genre littéraire est toujours un récit narratif en prose. Il fait le plus souvent intervenir le merveilleux. La moralité et le but de l’auteur Les contes de Charles Perrault, auteur du XVIIe siècle, contemporain de La Fontaine, sont un peu différents. Ce sont des contes moraux : à la volonté de distraire ou de construire, s’ajoute celle de faire réfléchir et de critiquer. Perrault a ici une intention satirique : tous les loups ne sont pas de même sorte, lit-on ! L’auteur

droit romain tardif. 54 B/ La codification du droit romain. 55 C/ L’étude du droit romain au Moyen-âge. 55 II. Le droit canonique. 56 A/ Les sources du droit de l’Eglise (les codes et compilations). 56 B/ Etude et analyse des codes et compilations. 58 SOUS-PARTIE TROIS : UN MONDE EN CONSOLIDATION. 59 (XIVème – XVIème siècles). 59 CHAPITRE 1 : LE ROI SOURCE DE TOUTE JUSTICE. 59 SECTION 1 : LE GOUVERNEMENT A CONSEIL ET L’ELIMINATION DES JUSTICES CONCURRENTES

droit romain tardif. 29 B/ La codification du droit romain. 29 C/ L’étude du droit romain au Moyen-âge. 30 II. Le droit canonique. 30 A/ Les sources du droit de l’Eglise (les codes et compilations). 31 B/ Etude et analyse des codes et compilations. 31 SOUS-PARTIE TROIS : UN MONDE EN CONSOLIDATION. 32 (XIVème – XVIème siècles). 32 CHAPITRE 1 : LE ROI SOURCE DE TOUTE JUSTICE. 32 SECTION 1 : LE GOUVERNEMENT A CONSEIL ET L’ELIMINATION DES JUSTICES CONCURRENTES

péripéties qui découlent de la complication ; • la résolution (force équilibrante) : elle introduit un élément qui rééquilibre la situation ; • l’état final : un nouvel équilibre est instauré. Voici par exemple le schéma narratif de la fable de La Fontaine, « Le Loup et l’Agneau » (1668) : Un Agneau se désaltérait Dans le courant d’une onde pure. Un,Loup survient à jeun, qui cherchait aventure, Et que la faim en ces lieux attirait. Qui te rend si hardi de troubler mon breuvage ?[…] Sire, répond

but de contrecarrer l’influence des guildes de Saint-Luc et d’élever le statut des artistes qui n’était pas distinct de celui des artisans. L’Académie était composée initialement de douze « anciens », réunis autour de Le Brun (peintre officiel de la Cour), et placée sous la protection du Chancelier Séguier. En 1655, l’Académie passe sous la protection de Mazarin et accueille les graveurs. Et pourquoi on admet les graveurs ? En France, les années 1630 voient le public bourgeois et les anoblis s’intéresser

autobiographie : L’enfant, de Jules Vallès : page 5 Sujet narration : Le grand Michu, de Zola : page 8 Sujet narration : Un roman policier : page 14 Sujet argumentation : Discours à l’Unesco : page 18 Sujet argumentation : Les avantages de la science, de La Fontaine : page 23 Sujet argumentation : Le tour du monde d’un écolo : page 28 Sujet poésie : Le buffet, de Baudelaire : page 34 Sujet poésie : Barbara, de Prévert : page 38 Sujet théâtre : Cyrano de Bergerac : page 42 Sujet théâtre : Théâtre sans animaux

du langage Les mots sont comme de la monnaie que l’on échange : la plupart du temps, on ne les remarque pas. Ils sont ternes et comme usés. Mais si l’on entend ou si l’on dit à haute voix « Le long d’un clair ruisseau buvait une colombe... » (La Fontaine) ou encore « Ô l’onde qui file et glisse, vive, naïve, lisse... » (SaintPol Roux), on s’aperçoit que les mots, de ternes, redeviennent luisants, qu’ils ont une sonorité, une densité... Le poète est donc une sorte d’artisan du langage qui le modèle