La Cousine Nerval

bien porter à Julien. Avec les beaux jours, M. de Rênal transporte sa famille dans son château de Vergy. On y fait la chasse aux papillons, et Mme de Rênal se surprend à faire la coquette, sans y avoir pensé. Bientôt, elle installe à Vergy sa cousine, Mme Derville. Julien entraîne les deux femmes vers les points de vue sublimes de la région. Un soir, par hasard, il vient à toucher la main de Mme de Rênal, qu'elle lui retire aussitôt. Alors, Julien se fait un devoir de la reconquérir. Chapitre

d'Adolphe de Leuven, finançant leur voyage grâce à la chasse, car il échangea le gibier tué en chemin contre la table et le logis. À Paris, il fit la connaissance de l'acteur Talma. En 1823, il s’y installa. Grâce aux recommandations de l'un de ses cousins et du général de Foy, député de l'Aisne, grâce aussi à sa belle écriture, il obtint un emploi de surnuméraire au secrétariat du duc d'Orléans (le futur Louis-Philippe). Il y fit la connaissance d'Hippolyte Lassagne, journaliste et auteur de théâtre

république (crainte de la Terreur) et se débrouillent pour former une monarchie constitutionnelle : Louis Philippe d'Orléans. Il n'est pas un Bourbon, fils de Philipe D'Orléans devenu durant la révolution Philipe Egalité et à voté la mort du roi, cousin de Louis XVI. Donc par son père Louis Philippe offre des gages aux révolutionnaires. La révolution de 1830 marque la suprématie du peuple sur la monarchie, victoire de la bourgeoisie libérale sur l'aristocratie et sur le clergé mais aussi sur le peuple

tard, il se fit tuer en Afrique. Thérèse grandit, couchée dans le même lit que Camille, sous les tièdes tendresses de sa tante. Elle était d’une santé de fer, et elle fut soignée comme une enfant chétive, partageait les médicaments que prenait son cousin, tenue dans l’air chaud de la 10 chambre occupée par le petit malade. Pendant des heures, elle restait accroupie devant le feu, pensive, regardant les flammes de face, sans baisser les paupières. Cette vie forcée de convalescence la replia sur elle-même

lois secrètes qui vont avoir des influences des numéros, de l’exotérisme… L’onirisme dérive du rêve, du songe. Les romantiques ont un grand goût du comptes de terreur, du maléfique. Chaque écrivain se spécialise: Victor Hugo sera le visionnaire, Nerval l’onirisme. Les romantiques s’intéressent à son « moi ». Son « moi » n’est pas transparent. Il aime l’inconnu. Il se voit lui-même mystérieux. Il ne s’occupe pas de la raison, il n’aime pas le raisonnement. Partout en Europe, il y a eu ce romantisme

devoir de vivre » Paul Eluard - « la rose et le réséda », « Est-ce ainsi que les hommes vivent » Louis Aragon - « page d’écriture » Jaques Prévert POESIE APOLLONIAQUE, POESIE ESTHETIQUE - « la pluie » saint amant - « les papillon » Gérard de Nerval - « le Hareng saur » Charles Cros - « les cheveux » Rémy de Gourmont - « le chasseur d’images » Jules Renard - « l’albatros » Charles Baudelaire - « apparition » Stéphane Mallarmé - « la colombe poignardée et le jet d’eau » Apollinaire - «

jusqu’à la mort de celle-ci en 1872. b) Une grande précocité littéraire — Sentiment de solitude et d’imbécillité de la plupart de ses camarades, ne partageant pas ses aspirations. Passion pour l’histoire. Marqué par Faust de Goethe ds traduction de Nerval (1828 – lu en 32), par Musset [poésies 1829 sq + Confessions d’un enfant du siècle 1836] et Byron (jusque vers 1835 : léger retard sur la mode parisienne). — Multiples écrits de jeunesse pendant ses années de collège à Rouen (1831-39 : âge romantique)

de la pièce Acte I : Don Salluste (le salon des Danaé au palais) Don Salluste est furieux. Lui, grand d’Espagne, président redouté du tribunal des alcades, le voilà disgracié par la reine ! Sa vengeance sera redoutable ! (I,1). Survient son cousin, don César de Bazan, grand seigneur dévoyé, connu par les spadassins qu’il fréquente sous le nom de Zafari. Il lui prêtera main forte. Grossière erreur ! Un gentilhomme réplique Don César, ne saurait se venger d’une femme (I,2). Coup de théâtre

bien porter à Julien. Avec les beaux jours, M. de Rênal transporte sa famille dans son château de Vergy. On y fait la chasse aux papillons, et Mme de Rênal se surprend à faire la coquette, sans y avoir pensé. Bientôt, elle installe à Vergy sa cousine, Mme Derville. Julien entraîne les deux femmes vers les points de vue sublimes de la région. Un soir, par hasard, il vient à toucher la main de Mme de Rênal, qu'elle lui retire aussitôt. Alors, Julien se fait un devoir de la reconquérir. Chapitre

subit les petits bourgeois de sa famille ; le Balzac prométhéen fréquente les illustres familles qu’il a lui-même inventées126. » Dans la maison de Passy, il produit entre autres : la Rabouilleuse, Splendeurs et misères des courtisanes, la Cousine Bette, le Cousin Pons, et remanie l’ensemble de la Comédie humaine. La maison de Passy, devenue aujourd’hui la maison de Balzac, a été transformée en musée en hommage à ce géant de la littérature. On y trouve ses documents, manuscrits, lettres autographes