La Coutume Droit Montesquieu Rousseau

23/09/14 DROIT CONSTITUTIONNEL § 1er : population, peuple, et nation. 1. Population et peuple. La population est l’ensemble des personnes qui habitent un espace donné à un moment donné. La population est une photographie de l’ensemble des personnes qui vient à un endroit à un moment donné. C’est un constat qui se fait grâce au recensement. Mais sur un plan politique la notion de population n’est pas précise car on ne prend pas en compte la nature du séjour qui est fait au moment du calcul.

CHAPITRE I: Les fondements démocratiques du pouvoir: « Ubi societas ibi jus » = là où il y a une société, il y a un Droit. Plus concrétement: « Ubi societas ibi protestas » = on ne peut imaginer une société sans pouvoirs, sans règles, on ne peut imaginer une anarchie. Dans nos sociétés démocratiques, on suppose que le pouvoir peut s 'exprimer qu'à travers le droit. Le droit doit être juste, équitable, noble et adapté à l'évolution de la société, des moeurs, des traditions... Dans nos soiétés

Face Fait Partie du droit public qui est caractérisé par l’inégalité car il concerne et organise la relation entre gouvernants et gouvernés en mettant en place un souverain , celui qui a le droit du dernier mot . ( Rapport par définition inégal) Qui est titulaire de la souveraineté ? Une fois que l’on sait qui est le souverain , c’est lui qui aura le dernier mot et qui sera capable de fusiller en cas de non-obéissance . Le droit privé est un rapport d’échange de consentement , d’échange de volonté

DROIT CONSTITUTIONNEL Introduction : A/- le positionnement du droit constitutionnel dans la branche juridique. 1- le droit constitutionnel : droit public Le droit constitutionnel relève du droit public comparer a son opposé le droit civil qui lui concerne le droit privée. Le droit public englobe tout ce qui se rapport a l’Etat tandis que le droit civil concerne le rapport des personnes. Le droit privée est un droit égalitaire c’est-à-dire qu’il tend a mettre toutes les personnes sur un

HISTOIRE DU DROIT ET DES INSTITUTIONS (1715-1815) Bibliographie : Dictionnaire d’histoire du droit est des institutions publiques (édition ellipses, Agnès BOUCAUD-MAÎTRE, Philippe DELAIGUE) ; Histoire des institutions publiques et des faits sociaux (précis Dalloz) ; Histoire des institutions de l’époque franque à la Révolution (édition PUF, HAROUEL…) ; Histoire des institutions publiques depuis la Révolution française. INTRODUCTION :

inséparable des droits de l’homme. C’est une démarche progressive d’affirmation des droits et des devoirs de chacun. On parle d’égalité entre les Hommes mais on peut également étudier l’égalité Hommes/Femmes. L’objectif de l’égalité est que chaque être humain possède des droits universels indépendamment de son statut social, ethnique ou religieux. • La généalogie de la notion des droits de l’homme • Le droit naturel des anciens Il y a une opposition entre : • droit naturel = nature

lui « la forme entière de l’humaine condition » et son expérience pourra être profitable à tous les lecteurs. Montaigne jette un regard lucide sur son époque instable (violence des guerres civiles) et il constate la diversité des croyances, des coutumes et des pensées. Il considère que la vérité échappe à toutes prises. Mais il ne se laisse pas aller au pessimisme, il invite chacun à cheminée vers une sagesse qui naît de la confrontation avec les autres et avec soi.  La philosophie de Montaigne

est Max weber. On peut citer un courant additionnel issu de l’école de Chicago plus pragmatique Le souci de la rigueur scientifique (débuts de la statistique sociale) Construire un corpus scientifique. Les précurseurs : Montesquieu et Rousseau et Comte Montesquieu (1689 – 1755) Il introduit les notions de sociologie et publie en 1748 : "De l’esprit des lois". Dans cet ouvrage, il établit des relations stables entre les institutions juridiques et politiques et les conditions de vie des individus

CHAPITRE 1: Les fondements démocratiques du pouvoir: « Ubi societas ibi jus » = là où il y a une société, il y a un Droit. Plus concrètement: « Ubi societas ibi protestas » = on ne peut imaginer une société sans pouvoirs, sans règles, on ne peut imaginer une anarchie. Dans nos sociétés démocratiques, on suppose que le pouvoir peut s’exprimer qu'à travers le droit. Le droit doit être juste, équitable, noble et adapté à l'évolution de la société, des mœurs, des traditions... Dans nos sociétés modernes

CHAPITRE 1: Les fondements démocratiques du pouvoir:  « Ubi societas ibi jus » = là où il y a une société, il y a un Droit​ . Plus concrètement: « Ubi  societas ibi protestas » = on ne peut imaginer une société sans pouvoirs, sans règles, on ne  peut imaginer une anarchie. Dans nos sociétés démocratiques, on suppose que le pouvoir peut  s’exprimer qu'à travers le droit. ​ Le droit doit être juste, équitable, noble et adapté à l'évolution  de la société, des mœurs, des traditions...​  Dans nos sociétés modernes