La Coutume Montaigne

fausseté”, Pascal en décrit les ravages → homme maitrisé par son imagination qui est toute puissance. 4 temps dans l'argumentation pascalienne de ce fragment: Pascal s'inspire de Montaigne, il s'attache à définir l'homme tout entier à partir de l'imagination. Ici, elle ressemble à l'opinion (doxa) de Montaigne. Comme Montaigne oppose opinion et raison, Pascal oppose imagination et raison. Il cherche à montrer que la raison ne peut s'exercer en l'homme car l'imagination fait écran entre l'homme et le

de faire. Cette même raison, solidement établie dans l’âme humaine avec ses conséquences, est la loi ». Mais la loi est arbitraire : elles dépendent des coutumes d’un pays ou d’une époque. Pascal veut inquiéter l’inquiétude des incroyants en leur montrant la faiblesse d’un ordre strictement humain, alors que le scepticisme de Montaigne visait seulement à conduire son lecteur en une sorte de confiance en la nature. Aucun fait historique n’a de cause rationnelle, aucune loi n’est universelle

Il y a sans doute une justice naturelle idéale ; mais nous ne la connaissons pas : 294. – Plaisante justice qu’une rivière borne ! Vérité au-deçà des Pyrénées, erreur au-delà. Ils confessent que la justice n’est pas dans ces coutumes, qu’elle réside dans les lois naturelles, connues en tout pays. Certainement ils le soutiendraient opiniâtrement, si la témérité du hasard qui a semé les lois humaines en avait rencontré au moins une qui fût universelle ; mais la plaisanterie est telle, que le caprice

Rousseau [22] La conscience morale est naturelle, innée et universelle et ses actes sont des sentiments. Critique du relativisme sceptique de Montaigne. « Jetez les yeux sur toutes les nations du monde, parcourez toutes les histoires. Parmi tant de cultes inhumains et bizarres, parmi cette prodigieuse diversité de mœurs et de caractères, vous trouverez partout les mêmes idées de justice et d’honnêteté, partout les mêmes notions de bien et de mal. L’ancien paganisme enfanta des dieux abominables

Suffit-il pour être juste d’obéir aux lois et aux coutumes de son pays ? Cette question pose de nombreux problèmes. Premièrement, parlons nous ici de lois au sens des Nomoï grecques, c’est-à-dire à la fois lois positives, lois intérieures, et valeurs ? Parlons noux bien de coutumes au sens d’éducation ou des mœurs, des manières, des habitudes sociales, des conduites valorisées ou des modèles ? Ces lois, ces coutumes suffisent-elles pour définir la justice ? Deuxièmement, n'est-ce pas contraire

heureux, ses malheureux, ses sains, ses malades, ses riches, ses pauvres » qui prouve que toutes les personnes peuvent être victimes de l’imagination. ↘ Pascal a recours à l’intertextualité avec Montaigne (p20) « l’écrasement d’un charbon », Descartes « C’est une illusion de vos sens, fortifiée par la coutume, qu’il faut que la science corrige » et l’italien Francesco Sbarra qui se traduit par « De l’opinion reine du monde » ↘ Même lui est dupé « nous ». + Présent de vérité générale. II – L’imagination

apportée par Christophe Colomb qui, durant un de ces voyages, découvre une civilisation différente en tout point de la sienne. Il écrit ses découvertes et ses réflexions sur ce Nouveau Monde dans des lettres rendues plus tard publiques. L’auteur Montaigne écrit également sur la question de l’Altérité, dans des cannibales. Plusieurs siècles plus tard, des auteurs contemporains, reprennent cette réflexion, comme Jean-Claude Carrière qui écrit en 1992, La Controverse de Valladolid. Seulement ses récits

12 L'asservissement aux "folies" : l'homme est vain car il est déraisonnable 13 Vanité des grandeurs-> la grandeur déchue 14 La vanité des grandeurs 15 La contradiction travail/pouvoir 16 La vanité des apparences 17 idem 18 La vanité de la coutume 19 La vanité du point de vue et de l'angle de vue 20 La vanité de notre être 21 La vanité du savoir scientifique 22 La vanité de la condition humaine 23 La vanité du paraître 24 La fragilité du pouvoir 25 La relativité de la nature humaine

(Traité élémentaire de droit civil, éd. 1904) Définition du droit positif On appelle « droit positif » les règles juridiques en vigueur dans un État, quel que soit d'ailleurs leur caractère particulier, constitutions, lois, décrets, ordonnances, coutumes, jurisprudence. Ces règles sont « positives » en ce sens qu'elles forment un objet d'étude concret et certain ; on les connaît ; elles ont un texte, une formule arrêtée et précise ; elles résultent d'un ensemble de faits et de notions qui peuvent

venir énormément de monde selon l’endroit ou nous allons et cela apporte des conséquences écologiques comme pour la nature la pollution, les commerce supprime les différences géographique et culturelles, le voyage ressemble à la même époque que Montaigne ou les gens reste comme ils sont. Est-ce que les gens apprécient vraiment leur voyage en se prend en photos devant des monument ou des paysages, et quand on va au restaurent on prend notre plat en photo et que l’on affiche tout cela directement sur