La Critique de l'École des femmes

L'école des femmes Auteur : Molière date de parution : 1662 mouvement culturel : Molière a 40 ans . Il épouse cette année-là Armande Béjart, la fille de Madeleine Béjart. Ce mariage avec la fille de sa maîtresse, lui vaut d'être accusé de relations incestueuses avec cette personne qui pourrait être sa fille. Il réussit son coup de maître

de la pièce à l’hypocrisie (Il va souvent à l’église). C’est dangereux : il dénonce la société comme hypocrite. • Satyre de la noblesse  le comportement de Don Juan qui se croit tout permis 3. MORALITE DE L’ART Il y a eu à toute époque, une critique de la moralité de l’art. 2 thèses : • L’art doit être moral (il doit rendre la société belle) • L’art n’a rien à voir avec la morale (il doit faire quelque chose de beau, s’il réussit on ne peut rien lui reprocher – expression de soit) Pour la

rôle d’Argan. Autres œuvres de Molière : La Jalousié du Barbouillé
 Le Médecin volant L’Étourdi 1654 Dépit amoureux 1656 Précieuses ridicules 1659 Sganarelle 1660 Dom Garcie de Navarre 1661 L’École des maris 1661 Les Fâcheux 1661 L’École des femmes 1662 Critique de l’École des femmes 1663 L’Impromptu de Versailles 1663 Le Mariage forcé 1664 La Princesse d’Élide 1664 Tartuffe 1664 Dom Juan 1665 L’Amour médecin 1665 Le Misanthrope 1666 Le Médecin malgré lui 1666 Mélicerte 1666

derniers ont désiré, fantasmé, rêvé d’un enfant. Avant la naissance, ils se sont préparés, ont imaginé l’enfant, lui ont donné un prénom. Il a déjà une 1 5e programme communautaire pour l’égalité des chances entre les femmes et les hommes 2004-2006 : Favoriser l'évolution des rôles des femmes et des hommes et éliminer les stéréotypes sexistes. place imaginaire et réelle dans la filiation. Ainsi selon la psychologue Suzanne B. Robert Ouvvray, l’enfant « est porté fantasmatiquement par sa mère [et son

fonction principale du théâtre, c'est-à-dire se divertir, penser une heure ou deux à autre chose. Ensuite, nous verrons que celui-ci permet de réfléchir et mieux se connaître. Enfin, nous démontrerons que le théâtre permet aussi d'assister à une critique de la société et de ceux qui la composent. En effet, se rendre au théâtre nous divertit. Tout d'abord, on se divertit par le rire, notamment lorsque l'on regarde des comédies. Par exemple, Molière, dans Le Bourgeois Gentilhomme, mélange les

politiques, intellectuelles et artistiques, les comédiens comme Molière ou Racine sont des acteurs essentiels dans cette forme de théatre, ou de nombreuses critiques sur la société sont faits. Le roi est l’une des plus grandes cibles. Le XVIIème siècle relève donc plus d’une époque d’expérimentation au niveau du théatre, notamment de la critique et donc de la comédie, même si le classicisme fait tout de même son apparition avec des pièces plutôt moralistes. Au XVIIIème le théâtre concerne lui le drame

arrive alors avec Les Précieuses Ridicules en 1659 : les autres comédiens commencent petit à petit à le jalouser. Plus tard, les critiques se feront de plus en plus dures et violentes, notamment pour certaines de ses œuvres telles que L'École des Femmes, Tartuffe ou Dom Juan. Ces comédies sont jugées immorales et grossières. Par exemple, les dévots qualifient L'École des Femmes de pièce obscène et irréligieuse car elle piétine, selon eux, le respect dû au mariage. Mais Molière possède la protection du

qui fut inhumé au cimetière Saint Joseph officiellement au pied de la croix. Ses principales oeuvres Le médecin volant Les précieuses ridicules (1659) Sganarelle ou le cocu imaginaire (1660) L’école des maris (1661) Les fâcheux (1661) L’école, des femmes (1662) La critique de l’école des femmes (1663) Remerciement au roi (1663) Le mariage forcé (1664) Les plaisirs de l’île, enchantée (1664) La princesse d’Elide (1664) Le tartuffe ou l.’ imposteur (1664-1669) L’amour médecin (1665)

Textes :  Texte A - MOLIERE, La Critique de l'Ecole des femmes (1663), scène 5Texte B - Edmond ROSTAND, Cyrano de Bergerac (1897), acte I, scène 3Texte C - Paul CLAUDEL, Le Soulier de satin (1929), Première journée, scène 1Texte D - Jean ANOUILH, Antigone (1944), Prologue.   Texte A -  Molière, La Critique de L'Ecole des femmes.   [La Critique de L'Ecole des femmes met en scène un débat entre des personnages adversaires et partisans de la pièce L'Ecole des femmes, « quatre jours après » la première

Cahier du † 7 Molière Sganarelle ou le Cocu imaginaire L’École des maris Les Précieuses ridicules Sganarelle, ou le Cocu imaginaire L’École des maris Les Précieuses ridicules de Molière, mise en scène Christian Schiaretti Conseiller dramaturgique Gérald Garutti ; lumières Julia Grand ; costumes Thibaut Welchlin ; coiffures, maquillage Nathalie Charbaut ; assistante perruques Daniele Mailfert ; directeur des combats Didier Laval ; assistante Laure Charvin-Gautherot avec Laurence Besson Olivier