La Critique De Taine

Baudelaire (Salon de 1846) oppose les coloristes, peintres du Nord, et les naturalistes, peintres du Midi, “car la nature y est si belle et si claire que l'homme [...] ne trouve rien de plus beau à inventer que ce qu'il voit”. Mais c'est surtout le critique d'art Castagnary qui suggère l'émergence d'une “école naturaliste”, dont il dit, dans son Salon de 1863, qu'elle “affirme que l'art est l'expression de la vie sous tous ses modes et à tous ses degrés, et que son unique but est de reproduire la nature

mise en œuvre par les sciences naturelles, et qui avait été utilisée pour la première fois dans la critique positiviste des phénomènes littéraires par Charles-Augustin Sainte-Beuve et Hippolyte Taine. Auguste Comte avait, en effet, affirmé, dans son Cours de philosophie positive (1830-1842), que l'art, parvenu au stade « positif », obéissait aux mêmes lois que la science. Suivant le positivisme, Taine va alors s'attacher à découvrir les lois qui régissent la littérature. C'est ainsi qu'il soutient

emploient l'instinct pour se l'approprier. Il n’y a pas d’animaux. La fable se compose d’un récit des vers 1 à 21 et d'une morale des vers 22 à 25. Cette fable met en scène un conflit. C’est une satyre de la justice, mais il utilise ce biais pour critiquer l’homme en général. La fable dis que les hommes se disputent pour des futilité et ils n’arrivent pas à se mettre d’accord. Autrement dit, par leur manque d'intelligence et de savoir-vivre, les hommes sont des cibles privilégiées de la justice et

peinture :Baudelaire (Salon de 1846) oppose les coloristes, peintres du Nord, et les naturalistes, peintres du Midi, “car la nature y est si belle et si claire que l'homme [...] ne trouve rien de plus beau à inventer que ce qu'il voit”. Mais c'est surtout le critique d'art Castagnary qui suggère l'émergence d'une “école naturaliste”, dont il dit, dans son Salon de 1863, qu'elle “affirme que l'art est l'expression de la vie sous tous ses modes et à tous ses degrés, et que son unique but est de reproduire la nature

Baudelaire (Salon de 1846) oppose les coloristes, peintres du Nord, et les naturalistes, peintres du Midi, “car la nature y est si belle et si claire que l'homme [...] ne trouve rien de plus beau à inventer que ce qu'il voit”. Mais c'est surtout le critique d'art Castagnary qui suggère l'émergence d'une “école naturaliste”, dont il dit, dans son Salon de 1863, qu'elle “affirme que l'art est l'expression de la vie sous tous ses modes et à tous ses degrés, et que son unique but est de reproduire la nature

Baudelaire (Salon de 1846) oppose les coloristes, peintres du Nord, et les naturalistes, peintres du Midi, « car la nature y est si belle et si claire que l'homme […] ne trouve rien de plus beau à inventer que ce qu'il voit ». Mais c'est surtout le critique d'art Castagnary qui suggère l'émergence d'une « école naturaliste », dont il dit, dans son Salon de 1863, qu'elle affirme que « l'art est l'expression de la vie sous tous ses modes et à tous ses degrés, et que son unique but est de reproduire la

mise en œuvre par les sciences naturelles, et qui avait été utilisée pour la première fois dans la critique positiviste des phénomènes littéraires par Charles-Augustin Sainte-Beuve et Hippolyte Taine. Auguste Comte avait, en effet, affirmé, dans son Cours de philosophie positive (1830-1842), que l'art, parvenu au stade « positif », obéissait aux mêmes lois que la science. Suivant le positivisme, Taine va alors s'attacher à découvrir les lois qui régissent la littérature. C'est ainsi qu'il soutient

mise en œuvre par les sciences naturelles, et qui avait été utilisée pour la première fois dans la critique positiviste des phénomènes littéraires par Charles-Augustin Sainte-Beuve et Hippolyte Taine. Auguste Comte avait, en effet, affirmé, dans son Cours de philosophie positive (1830-1842), que l'art, parvenu au stade « positif », obéissait aux mêmes lois que la science. Suivant le positivisme, Taine va alors s'attacher à découvrir les lois qui régissent la littérature. C'est ainsi qu'il soutient

mise en œuvre par les sciences naturelles, et qui avait été utilisée pour la première fois dans la critique positiviste des phénomènes littéraires par Charles-Augustin Sainte-Beuve et Hippolyte Taine. Auguste Comte avait, en effet, affirmé, dans son Cours de philosophie positive (1830-1842), que l'art, parvenu au stade « positif », obéissait aux mêmes lois que la science. Suivant le positivisme, Taine va alors s'attacher à découvrir les lois qui régissent la littérature. C'est ainsi qu'il soutient

qu'après avoir gravé l'objet d'une manière ineffaçable dans leur mémoire étonnée." Ainsi parlait Taine à propos de Jean de La Bruyère. En effet, le célèbre moraliste avait pour but de corriger les défauts des hommes de son temps, et c'est dans cette optique qu'il a écrit Les Caractères, dont la dernière édition, datant de 1696, contient non moins de mille cent vingt fragments. Dans ce que certains critiques qualifient de "Bible de l'honnête homme", comment trouver la figure de l'homme sage, qui échappe