La Critique De Taine

siècle, en France. Il consiste en une précision dans les définitions, et aussi en la vraisemblance des sentiments, des intrigues, de ces romans. Il faut que çà ressemble le plus possible à la réalité. Le nom 'Réalisme' fut donné par des journalistes critiques dand un journal de 1857 appelé 'Le Réalisme'. Le réalisme est né pour compenser le romantisme de la première moitié du XIXe siècle et pour contrer « la sottise, le poncif et le bon sens », comme l'a dit Baudelaire. Le réalisme veut le plus souvent

méthode expérimentale du physiologiste* Claude Bernard. Mais le naturalisme n’est pas seulement un mouvement littéraire, c’est aussi une école qui se constitue entre 1860 et 1880 sous la double influence du réalisme de Flaubert et du positivisme de Taine. Zola est le théoricien de cette école (Le Roman expérimentale, 1880) : il fonde la vérité du roman sur l’observation scrupuleuse de la réalité et de l’expérimentation, qui soumet l’individu au détermenisme de l’hérédité et du milieu (dans Les Rougon-Macquart

va s’interroger sur le processus de transmutation de l’esprit en pratique. Car, finalement, tout l’intérêt est là, comment passe t-on des idées aux actions ? Bibliographie F.Furet, Penser la Révolution, Gallimard F.Furet et M.Ozouf, Dictionnaire critique de la Révolution française, Flammarion J.Solé, La Révolution en questions, Seuil J.Tulard, J-F. Fayard, A. Fierro, Histoire et dictionnaire de la Révolution française, Laffont R.Chartier, Les origines culturelles de la Révolution française, Seuil

adresse un mémoire mettant en rapport roman naturaliste et épopée qui est un genre épique, un genre spécifique à la Grèce Antique : on voit donc l'influence du déterminisme défini par Taine dans ses œuvres de critique littéraire, influence reconnue par Zola. Zola applique en effet, la fameuse démarche critique de Taine : " la race, le milieu, le moment et la faculté maîtresse ". Il applique ce protocole à la technique romanesque transformée en " étude du tempérament et des modifications profondes de

mises en œuvre par les sciences naturelles, et qui avait été utilisée pour la première fois dans la critique positiviste des phénomènes littéraires par Charles Augustin Sainte-Beuve et Hippolyte Taine. Auguste Comte avait, en effet, affirmé, dans son Cours de philosophie positive (1830-1842), que l'art, parvenu au stade « positif », obéissait aux mêmes lois que la science. Suivant le positivisme, Taine va alors s'attacher à découvrir les lois qui régissent la littérature. C'est ainsi qu'il soutient

mouvement constant. Cette vision « romantique » de l’histoire dont Jules Michelet (1798-1874) sera l’un des représentants a contribué à rendre l’histoire plus vivante. Car même si c’est une science, les romantiques conservent l’aspect littéraire et critique de l’histoire. La définition humaine et sociale de Fustel de Coulanges n’est pas la seule définition de l’histoire au 19e siècle. Une autre définition dit simplement que l’histoire est la science du passé. C’est une vision vivement critiquée de

le culte de la beauté. Baudelaire | | | |10 |Le théâtre sous le Second Empire. Du théâtre de boulevard aux “pièces à thèses” | | | |11 |La critique au XlX-e siècle. Sainte-Beuve et la critique impressionniste. H. Taine et la critique | | | | |déterministe | | | | |Le natutralisme. Les théories naturalistes

excluant toute causalité surnaturelle. Au 18ème siècle, le mot s'emploie aussi en science pour désigner le caractère naturel de quelque chose, d'un phénomène. Peu à peu, ce terme tombe en désuétude jusqu'en 1857 où la Revue Moderne publie un texte du critique d'art Castagnary qualifiant la peinture de Courbet de naturaliste ; le sens en est ici : peintre traitant de la nature avec réalisme. Zola, au nom de la modernité rejette le romantisme " démodé comme un jargon que nous n'entendons plus "

mise en œuvre par les sciences naturelles, et qui avait été utilisée pour la première fois dans la critique positiviste des phénomènes littéraires par Charles-Augustin Sainte-Beuve et Hippolyte Taine. Auguste Comte avait, en effet, affirmé dans son Cours de philosophie positive (1830-1842) que l’art, parvenu au stade « positif », obéissait aux mêmes lois que la science. Suivant le positivisme, Taine va alors s’attacher à découvrir les lois qui régissent la littérature. C’est ainsi qu’il soutient que

progrès général de l’humanité grâce a l’avènement de l’âge scientifique. Le souci de l’humble vérité : achemine le réalisme vers le naturalisme. 2. Les fondements théoriques du naturalisme 1)Une série de définitions Zola se réfère à Balzac, Taine et les frères Goncourt ; il s’agit pour lui de « saisir le vrai dans la nature. ». Il faut «  la puissance des tableaux de l’artiste » pour le montrer. Observation et analyse : la visée est d’ordre scientifique. Naturalisme : Sens d’épicurien, d’athéiste :