La Croyance En Dieu Est Elle Un Obstacle Au Progrès Scientifique

Sommes-nous responsables de nos croyances ? Introduction : 
La notion de croyance signifie que certaines de nos idées et représentations sont admises comme vraies, justes ou bonnes sans que nous disposions de raisons suffisantes explicites pour cela : nous adhérons à nos croyances dans la mesure où elles dirigent notre pensée et commandent nos actions, voire donne un sens à notre vie sans que nous sachions clairement pourquoi. En ce sens si elles nous activent, nous meuvent, nous les subissons passivement

des idées de la Réforme. Les imprimeurs, les libraires et les auteurs ne cherchent pas toujours à susciter la controverse. Il leur est très souvent plus profitable d'être à l'écoute de leurs lecteurs et de ne pas choquer les superstitions, les croyances populaires. Dès le début de l'imprimerie, des modes se créent (par exemple, les écrits mystiques de la fin du 15e siècle, les classiques grecs et latins au début du 16e siècle, les textes littéraires en langues nationales au milieu du 16e siècle)

de la pensée se traduit, lui aussi, par des processus physiques et chimiques . Ainsi, les notions de « vie », d’ »âme » ou d’ »esprit » paraissent de plus en plus pouvoir être réduites à des phénomènes physiques et matériels. Il semble qu’avec le progrès des sciences, l’hypothèse matérialiste, selon laquelle il n’y a de réalité matérielle, l’emporte donc. Or, peut-on vraiment affirmer que le matérialisme détienne la vérité sur le réel ? Cette question va au-delà d’un débat théorique et engage le

tombe s'accélérera proportionnellement au temps de la chute et cette accélération de la vitesse est la même pour tous les corps. Pour Karl Popper le contracte non scientifique d'une théorie est souvent considéré comme synonyme de sans intérêt scientifique ce qui sous entendrait que la science ne s'occupe que de ce qui est scientifique. Selon le critère de l'astrologie elle est comprise en tant que théorie ou en tant que domaine théorique c'est à dire la métaphysique ou la psychanalyse qui est une

collective en ce qu'elle regroupe les idées et pratiques d'un groupe ou d'une communauté, dont les membres peuvent se reconnaître grâce à elle ; par exemple en Grèce antique, il était coutume d'honorer les étrangers car pour les Grecs, le Dieu des Dieux, Zeus, était le Dieu de l'hospitalité. Ainsi un étranger in-habitué à cette pratique se reconnaissait rapidement et pouvait être taxé de barbarie. Mais le mot « tradition » est à différencier des notions de conservatisme ou de traditionalisme, qui sont

Citations de Sigmund Freud : "Le peuple [hébraïque] qui parvint à une telle concentration des propriétés divines ne fut pas peu fier de ce progrès. Il avait dégagé le noyau paternel qui était de tout temps dissimulé derrière chaque figure de dieu ; au fond, c’était un retour aux débuts historiques de l’idée de Dieu. Dès lors, Dieu était un être unique, les relations à lui pouvaient recouvrer l’intimité du rapport de l’enfant au père. Cependant, si l’on avait fait tant pour le père, c’est qu’on voulait

n’évolue pas, ne laisse pas de place au progrès est immuable est polythéiste Vision rassurante et totalitaire du temps Epoque Chrétienne: Conception du temps linéaire (calendrier) et finie (début et fin) Vision dramatique (seule stabilité = Dieu) ouverte à la possibilité de changement irréversible (des actions) providentialiste Siècle des Lumières: Conception du temps linéraire et laïque Vision infinie et continue du temps Nouveaux moteurs: progrès et raison Aujourd'hui: Conception du temps

sous droits d’auteur Table des matières Introduction .............................................................................. 6 Les difficultés d’une définition .................................................... 6 Le contenu des croyances ........................................................... 6 L’attitude religieuse .................................................................... 8 Le recours à l’étymologie ........................................................... 10

origines causales de la science 2\ Evolution de la science a\ Etat préscientifique b\ Etat scientifique c\ L’Ere du nouvel esprit scientifique II\ Les caractéristiques de la science 1\ La fonction de l’expérience 2\ Une théorie n’est scientifique que si elle est réfutable 3\ L’universalité de la méthode scientifique Conclusion Introduction L’époque moderne tient la science en haut estime. La croyance que la science et ses méthodes ont quelque chose de particulier semble largement partagée

* Traditionalisme : opposé libéralisme. Souhaite retour à situation avant 1789 + refus de la notion de peuple souverain. Traditionalistes classiques : Joseph de Maistre et Louis de Bonald. Positivisme scientifique : la « société idéale » se vérifierait par la connaissance scientifique. Auguste Compte. * Le Socialisme : montée en puissance 1830 avec idées de Marx et Engels = portée vers la classe ouvrière. Conflit bourgeoisie aristocratie (1789) + classe ouvrière s’ajoute au conflit