La Culture Est Acquise Ou Innée

caractéristiques, ses propriétés. Le droit à la différence existe donc de façon naturelle dans la société car dès la naissance, chaque être à des traits spécifiques qui le singularisent par rapport aux autres. La différence entre les individus est donc innée en chacun. C’est que chaque personne possède des caractères physiologiques différents des autres. Ces différences physiologiques permettent de remarquer que certaines personnes sont grandes, d’autres petites de taille, certaines encore sont fines et

même pour les Hommes. Mais contrairement aux animaux, leur cinq sens (ouïe, odorat, toucher, goût et vue) créent un équilibre. Aristote parle dès l'Antiquité d'un « absolu perceptif », voire d'une perfection perceptive qui est conditionnée par la culture de chacun. Prenons comme exemple le texte de E.Hall, Les Esquimaux pour illustrer mes dires. Hall nous apprend que les Esquimaux ont une ouïe et un toucher beaucoup plus développé que nous car ils ne peuvent se répérer par la vue dans leur environnement

message   Tact,  habileté  dans  les  relations  avec  autrui,  dans  la  négociation  d'une   affaire.   Culture,  inné,  acquis   Habitus   Inné   Acquis     Biologique   Nature   Culture   Fait  social  total   Ensemble  de  dispositions  acquises  au  cours  de  la  petite  enfance  sous   forme  d’injonctions  permanentes  de  manière  tellement  inconsciente

exception. Y a-t-il un bien en soi, indépendant des mœurs, des cultures, des individus, et inscrit dans chaque homme ? Non selon l'auteur : il suffit d'être un minimum cultivé en histoire pour savoir qu'un acte n'est pas jugé de la même façon selon les époques : il peut être sévèrement puni à une époque donnée mais au contraire récompensé à une autre ou dans un autre lieu. Donc le bien et le mal ne sont pas des notions innées, mais acquises par l'expérience ; elles dépendent donc du contexte historique

de conduite, de devoirs, de valeurs qui se manifestent à travers la conduite de l'homme considérée comme bonne de façon absolue ou découlant d'une certaine conception de la vie. C'est pourquoi, beaucoup de philosophes parlent de conscience morale, innée, universelle. Tous les hommes ont conscience du bien et du mal. Des temps anciens (la religion : Adam et Eve, le serpent et la pomme) aux temps modernes, de l'homme dit civilisé à l'homme tribal, on n'a pas tous les mêmes valeurs qui jugent notre conscience

compter les arts fondés sur des mots, et surtout cette compétence  qui consiste à procéder selon des règles générales et infaillibles, appelée science, que très peu possèdent, et seulement sur peu de choses, qui n'est ni une faculté innée née avec nous, ni une faculté acquise en s'occupant de quelque chose d'autre, comme la prudence, je trouve une plus grande égalité entre les hommes que l'égalité de force. Car la prudence n'est que de l'expérience qui, en des temps égaux, est également donnée à tous

par sa propre initiative et quelque chose qu’il ajoute à la nature. Ainsi la culture finit par s’opposer à la simple nature alors même qu’elle se détache progressivement de forme d’existence qui sont au départ naturel. Il y a donc continuité de la nature a la nature humaine, mais à terme, cette continuité produit une différence.Conclusion de la 1ere partie Pour Aristote, il y a bien continuité de la nature a la culture. Cette continuité se justifie d’abord parce que l’être humain est un être vivant

scolaire, familial et social soit le seul critère responsable de l’orientation. Le lien entre les performances intellectuelles et l’origine sociale des élèves existe mais rend compte du fait que en particulier, le langage et les connaissances acquises reflètent des différences de conditions de développement familial et social. Et refuser d’identifier ces différences reviendrait à vouloir casser le thermomètre pour ne pas avoir de la fièvre. Le problème n’est en effet pas que des différences existent

 mais il est évident que, depuis les années 1970, et sans  doute avec Simone de Beauvoir, on parle de « féminitude », de « féminité », ce qui suppose que le féminin soit plus  grand que le « femelle »...        La Nature, ne correspond pas forcement à la culture. Etre femme ce n’est pas naître avec le sexe féminin c’est  être classé d’une certaine façon dans la société. On devient femme à partir d’une naissance qui ne lui donne pas les  mêmes chances qu’à un homme puisqu’elle doit être au service de l’homme et des enfants

jugement, de règles de conduite relatives au bien et au mal, de devoirs, de valeurs, parfois érigés en doctrine, qu'une société se donne et qui s'imposent autant à la conscience individuelle qu'à la conscience collective. Ces principes varient selon la culture, les croyances, les conditions de vie et les besoins de la société. Ils ont souvent pour origine ce qui est positif pour la survie de l'ethnie, du peuple, de la société. Si de tels principes sont en outre positifs pour l'ensemble des ethnies, des