La Délicatesse

les causes de mes résolutions. Outre que ces débats d'intérieur auraient peu d'intérêt pour le lecteur, le seul fait de les présenter à son appréciation serait contraire à toute délicatesse, car je serais forcée de sacrifier parfois la personnalité d'autrui à la mienne propre.   Puis-je, cependant, pousser cette délicatesse jusqu'à dire que j'ai été injuste en de certaines occasions pour le plaisir de l'être ? Là commencerait le mensonge, et qui donc en serait dupe ? Tout le monde sait de reste que

par le séchage du mortier à base de chaux donne une certaine unité aux différents tons, une douceur, une délicatesse spécifique à la fresque. Si cette scène est peu contrastée dans ses valeurs, en revanche, on a un fort contraste de couleurs et de saturation. Les tons chauds de la chair s'opposent aux tons froids du ciel et de l'eau. Ici, la carnation est traitée avec beaucoup de délicatesse, dans une gamme de couleurs vaste et nuancée. Le carmin fort saturé du drapé s'oppose à des tons plus rabattus

alors que le reste du tableau reste incompréhensible. L’enfant mort dans les bras de sa mère se rapproche d’une autre image universelle : La piéta. La fleur présente au centre du tableau apparaît comme une lueur d’espoir. Sa délicatesse et sa fragilité fait écho dans le désordre et l’horreur de la scène, l’épée brisée montre également la symbolique de la paix. Le fantôme tient dans sa main une bougie qui symbolise l’indignation de la communauté internationale

Travail douloureux qui donne un bonheur au début, il donne, retombe comme un « sachet visqueux » « parfois très rarement une formule perle » « perle » verbe : la perle est une phrase, une citation Soit par son génie, par sa délicatesse Le poète n atteint que rarement le sublime « l’on trouve aussitôt à s’orner » Ou ? poète vaniteux, s’arme de sa propre gloire Conclusion : l’huître sorte d’art poétique, bien plus sérieux que ne le suggère les grossières

à l’histoire elle transforme les chapitres en fragments pour symboliser la mémoire morcelée de Magnus. Elle nous apporte des connaissances historiques grâce aux notules. C’est un roman à l’image d’un puzzle. Sylvie Germain nous entraîne avec délicatesse dans les méandres de l'âme humaine avec ce qu'elle peut avoir de plus beau et de plus torturé. Ce livre renvoie à des thèmes universels : l'importance de la filiation ; l'abandon, l'amour puis l'estime de soi mais aussi l'importance de continuer

Elle fait ses actions par gentillesse Enorme, « tassé sur ses coudes » Instinct animal toujours présent, « au aguets » « comme une chatte » = sensualité > Elle n’éprouve pas de plaisir avec son mari … donc elle se venge sur la nourriture Délicatesse : elle veux paraître bien face au autres Mal de manger devant Gouget parce que elle mange comme une cochonne. Description Réalisme … Choix des morceaux et la manière dont ils sont absorbés Gérvaise mange le blanc :noble, pas gras, de qualité

amenaient à percevoir des images, par ailleurs certaines de celles-ci me semblaient si réalistes dans l’extrait suivant : «Picoté par les blés, fouler l'herbe menue:/ Rêveur, j'en sentirai la fraîcheur à mes pieds. »2Il décrivait avec une telle délicatesse que je pouvais presque sentir le blé me chatouiller, ou encore l’herbe sous mes pieds. De plus, son utilisation des sens et d’un champ lexical représentatif de la nature (blé, herbe, fraîcheur) nous amenait à nous évader et à avoir des sensations

livre ses passages de sa vie comme ils viennent. J’ai eu beaucoup de mal à me faire à l’écriture de ce livre, au style « Colette ». Certes la prose est magnifique, on croirait lire un poème, les phrases sont joliment tournées, tout en finesse et délicatesse…mais à la lecture c’est assez dur à lire et j’ai eu du mal à avancer, la lecture n’est pas fluide. Concernant l’évocation des souvenirs en eux-mêmes, il est vrai que Colette dresse dans « Sido » le souvenir d’une enfance heureuse, en harmonie avec

commun, tantôt elle présente la même chose sous deux rapports contraires. Cette sentence d’ARISTOTE : « pour se passer de société, il faut être un Dieu ou un bête brute » est un modèle de l’antithèse. L’antithèse est souvent un trait de délicatesse ou de finesse épigrammatique comme on le voit dans cette réponse d’un homme à sa maitresse qui faisait semblant d’être jalouse d’une honnête femme : « aimable vice, respectez la vertu. » * Exemples d’antithèses dans les écrits des grands :

seulement de révéler les défauts des européens mais aussi d’introduire la réflexion sur le rapport de l’homme à la Nature. II. L’éloge de la Nature a) Montaigne veut montrer les richesses de la Nature - étude du champ lexical de la pureté (délicatesse, saveur, pureté,…) b) Montaigne critique l’homme européen qui ne sait pas apprécier les richesses de la nature - étude du champ lexical de la perversion (étouffé, abâtardie, accommodé, altéré,…) Conclusion La démonstration de Montaigne est