La Délicatesse

Au départ de ses pièces, l’amour n’est pas encore là, à l’opposé de Molière où les personnages s’aiment déjà. Dans   Le jeu de l’amour et du hasard , l’inversion des rôles donne une coloration sociale à la pièce. Marivaux présente une certaine délicatesse dans la dénonciation, la situation. Son langage est fait de subtilités : les marivaudages (échanger des propos galants et d’une grande finesse, afin de séduire un homme ou une femme). Après la comédie d’intrigue ou la farce, après Molière et la

adoration très flagrante envers ces dames du temps médiévale. J’ai décidé de diviser les thèmes et d’en parler de chacun séparément. _Jamais pouvoir exigé quoi que ce soit de sa dame_ « Tout ce qu’il désire, l’amant doit le demander avec délicatesse ». L’utilisation du verbe demander nous montre que l’homme ne peut pas obliger la dame de faire quoi que ce soit, mais doit plutôt lui demander poliment. Position d’infériorité de l’homme « L’amant doit la prier et se mettre à sa disposition

jusqu'à ses derniers jours. Il est, certainement, le plus grand des sculpteurs toscans qui précèdent Michel-Ange, et s'il est loin d'égaler la vigueur et la puissance de conception de ce dernier, il lui est de beaucoup supérieur au point de vue de la délicatesse du travail, de la vérité des détails, de l'expression du caractère et de l'habileté d'exécution, soit dans le maniement du bronze, soit dans celui du marbre. Quand il meurt le 13 décembre 1466, Florence lui fait des funérailles en grande pompe

aperçue comme un élément vital, avec la comparaison du vers 8 « comme une douce pluie ». Le poète semble la percevoir comme une femme seule qui a besoin de « poser ses mains de feuille sur son cou ».La séduction féminine est également évoqué avec délicatesse par une métaphore qui indique le mouvement de ses paupières. De plus la femme aimée est également associé au voyage « navire ». Elle est associé à tous les lieux parcourus, ceux qui débouche sur la mer « quais » ou sur la voie routier « routes

Un madrigal est une petite pièce de poésie, ingénieuse et galante, qui consiste seulement en quelques pensées tendres exprimées avec délicatesse et précision.  On ne sait d'où nous est venu ce genre de poésie, et l'étymologie du mot est même incertaine; d'après le cardinal Bembo, il dériverait de mandra, bergerie, d'où les Italiens auraient tiré mandriale, berger; madriale ou madrigale signifierait alors chant à l'usage des bergers, poésie pastorale.  Selon Ferrari; le mot serait d'origine espagnole

personnification se confirme lorsque le poète utilise le mot « robe » pour désigner les pétales de la fleur, ainsi que « son teint au vôtre pareil » : il compare le ‘teint ‘ de la rose a celui de la jeune fille. Cette première strophe joue avec la délicatesse du champ lexical entourant la rose, comme : « robe », « pourprée » « les plis ». Ronsard crée l’atmosphère dans lequel le poème se déroule. Il la veut feutrée, délicate et intime. La seconde strophe parle de la rose se flétrissant. Le ton change

nos ados, avec la possibilité de le faire quotidiennement. Les commentaires négatifs répétés sur l’apparence et le style sont comme des blessures ouvertes qui risquent d’infecter l’estime de soi et la confiance en l'agir de nos adolescents. La délicatesse et la courtoisie à l’adolescence sont une marque de noblesse qui couronnera ces futurs adultes du diplôme de la fierté personnelle. C’est comme si c’était hier, le temps passe si vite ! Maintenant, c’est moi la maman et eux les adultes de demain

« sauvage » (l9-7-6), champ lexical des sauvages (« sauvage », « barbare », « barbarie » …) •La thèse : les amérindiens ne sont pas des barbares ni des sauvages, cette notion est très subjective. •Vocabulaire valorisant associé à ces peuples (« délicatesse » l13, « excellente » l13, « grande, puissante […] beauté » l15 …). • Vocabulaire dévalorisant associé à notre peuple (« naïveté » l25, « abâtardies » l26…). •Registre de langue courant avec quelques termes soutenus (« mire » l4, « à l’envi de »

se gêne pas pour railler les ridicules de la famille et dit à Trissotin : « Qu’un sot savant est sot plus qu’un sot ignorant. » Henriette n’a point caché à celui-ci sa préférence pour Clitandre, mais cet homme bel esprit ne se pique pas de délicatesse et, encouragé par Philaminte, il ne renoncera pas pour si peu à la dot qu’il convoite et que seule il recherche. Heureusement pour Henriette et pour Clitandre, Ariste, frère de Chrysale, s’interpose et vient seconder leurs projets par un stratagème

tu manges et commente, je te dirais qui tu es » = place sociale et lien sociaux Gervaise =mange (raffinée) du blanc, aile, délicate, en haut de classe populaire. Goujet = s’emplissait = lien affectif avec Gervaise Les Lorilleux = le rôti = délicatesse dans leur morceau. Ils n’aiment pas Gervaise, ils veulent la ruiner, qu’elle soit malheureuse. Les autres : Les dames mangent la carcasse, le cou, arrachent. On pense qu’elles sont en bas de la classe populaire, elles sont jalouses de Gervaise