La Délicatesse

refléter une noblesse de cœur, une délicatesse des sentiments et une morale vertueuse, comme c’est le cas ici. Le vers 2 est construit sur un chiasme qui met en valeur l’absolue réciprocité de l’amitié des deux personnages. « l’un/ possédait // appartînt /à l’autre » 2. Les épithètes liées au nom « ami » soulignent par deux fois la sincérité de la relation « vraie » (v.1), « véritable » (v.26). Le vocabulaire psychologique et affectif met en évidence la délicatesse du sentiment amical : « zèle » (v

|*Attention particulière pour la femme | | |vers 1 | |*Délicatesse |* Choix qui affirme la délicatesse du | | | | | |bouquet

L’amour courtois. L’amour courtois aussi appelé fin'amor signifie l’amour parfait et délicat. En effet, il correspond a un art de vivre fondé sur la politesse, la délicatesse, la générosité et la loyauté est la façon réglementée de se comporter en présence d’une femme de qualité. On en retrouve des traces au Moyen Âge dans la poésie et la littérature. I. Les origines de la poésie courtoise : La poésie courtoise est apparue au XIIe siècle. Elle trouve son origine dans l’Antiquité. Elle apparaît

le parterre de mes chagrins, Et là, j'irai me recueillir. Oh ! que de fleurs toutes alignées ! Venant raviver mes douleurs Pas de parfum à exhaler, Qui pourrait réjouir mon cœur. Quand mon coeur n'est que tristesse, Mon âme impure en délicatesse, Reviennent ces relents de mes faiblesses, Alors je me dis que parfois la vie blesse. refrain: Comment je pourrais écrire se sentiment que j'ai en moi. Si longtemps c'est comme un mauvais soir s'acharne sur un mauvais moi. Sans doute

espéré … ») a ses nobles intentions « délicatesse », « projet », « fortune ») + minimise ce qu’elle demande. -Fait passer son acte d’infidélité pour un acte d’héroïsme qui sera récompensé (« 5 ou 6000F » , « collier de perles » , « bijoux ») 2) Elle est maîtresse de DG : -Champ lexical du physique (« caresse », « l’embrassant », « lit » , « charme »). -aucune compassion pour lui « elle me railla » + le manipule « c’était pour ménager votre délicatesse ». -Fait de lui un proxénète : « son

acceptait, avec le public de son temps, le nom de précieuses, comme honorable pour une femme lorsqu’il impliquait l’idée d’une noble fierté, la délicatesse du sentiment, la finesse de l’esprit et de l’instruction, mais qu’il le vouait à l’ironie et au sarcasme de la foule lorsqu’il ne représentait que l’exagération de la pruderie, l’hypocrisie de la délicatesse et la vanité du bel esprit.

par cette sensation qu’il nous donne au travers des mots. Enfin, Cyrano évoque la délicatesse du geste, n’ayant pas oublié que Roxane est avant tout une précieuse, et que ce caractère reste un élèment essentiel dans son plan de séduction. Il l’évoque de manière assez subtile, à travers une simple réplique qui détermine ce baiser comme «un point rose qu’on met sur le i du verbe aimer» (V.16). Le sentiment de délicatesse est, ici, imagé par la couleur de ce point, le rose. Ce point ajouter, donne un

se tenait devant moi n'était plus que le pâle reflet de la femme que j'avais tant aimée. Certes, sa robe de soie moirée, aux reflets chatoyants, bordée au col et aux poignets de volants de dentelle d'une extrême finesse, trahissait toujours la délicatesse et la sûreté de son goût. Cependant, la jeune femme aux formes épanouies et sensuelles avait cédé la place à une vieille femme, menue et fragile, comme desséchée. Elle n'avait plus rien de ce port altier de reine qui lui attirait tous les regards

ne sont peut-être pas des chefs d’œuvres pour le reste du monde mais ils le sont pour moi, L’étranger Albert Camus 1942, Moi, Christiane F., 13 ans, droguée, prostituée… Kai Hermann et Horst Rieck 1983, Le Ciel t’aidera Sylvie Testud 2005 et La Délicatesse David Foekinos 2009. L’Etranger c’est l’histoire d’un homme dit insensible, sa mère décède il ne pleure pas, il rencontre Marie, elle l’aime, mais lui non. Par un triste concours de circonstance il tuera un homme, durant son procès on le jugera

trouve mal propre à monter à cheval, je m'arrête. Et faisant ainsi, je ne vois à la vérité rien, qui ne soit aussi plaisant et commode que ma maison. Il est vrai que je trouve la superfluité toujours superflue : et remarque de l'empêchement en la délicatesse même et en l'abondance. Ay-je laissé quelque chose à voir derrière moi, j'y retourne : c'est toujours mon chemin. Je ne trace aucune ligne certaine, ni droite ni courbe. Ne trouve-je point où je vais, ce qu'on m'avait dit ? comme il advient souvent