La Dgse

assista éga-lement. Il demanda à Chouraqui de bien vouloir le rencontrer le 21 novembre afin de poursuivre leurs entretiens du mois de février au Maroc . Il est intéressant de noter que depuis septembre 1959, les services secrets français du SDECE et du DGSE, ainsi que la CIA américaine assuraient séparément une filature discrète et serrée sur les déplacements de Ben Barka. Cette surveillance était d’autant plus ardue que les nouvelles tendances tiers-mondistes que le dirigeant de la gauche marocaine avait

défense est structuré autour de plusieurs services complémentaires, qui agissent en étroite coordination avec les autres services de renseignement nationaux : • un service à compétence générale : la Direction générale de la sécurité extérieure(DGSE), qui est chargée de la recherche et de l’exploitation du renseignement à l’extérieur du territoire national ; • deux services spécialisés : o la Direction du renseignement militaire (DRM), qui est chargée de l’élaboration de la doctrine

coordination de l’ensemble des services chargés de la lutte contre le terrorisme, en faisant au quotidien l’analyse et la synthèse des informations relatives au terrorisme. Elle travaille en relation étroite avec la DST, la DCRG, la gendarmerie nationale, la DGSE et la Direction générale des douanes. Elle veille au partage des informations opérationnelles pertinentes par l’ensemble des autorités et des services concernés par la lutte antiterroriste, y compris les magistrats antiterroristes et l’administration

provisions : « crédits réservoirs » pour lesquels on ne connaît l’utilisation qui sera faite des crédits (pour les dépenses accidentelles ou imprévisibles). → Fonds spéciaux : 40M par an à la disposition du ministre pour financer les actions de la DGSE. → Le gouvernement peut modifier la ventilation des crédits c’est-à-dire soit le service responsable de la dépense soit la nature de la dépense en cours d’exercice par le biais de transferts de crédits : virements entre les programmes d’un même ministère

finance de 2002, la rémunération des ministres et membres du cabinet a été augmentée de 30%. Il existe encore des fonds spéciaux à destination particulière, ce sont les fonds spéciaux servant à financer certaines dépenses de la DGSE (direction générale sécurité extérieure). La DGSE en plus de son propre budget inscrit dans la loi de finances, bénéficie d'une enveloppe parfaitement libre d'utilisation. En ce qui concerne les finances de l'Etat la tendance est à une remise ne cause généralisée de la

l’État doit détenir un arsenal crédible par son efficacité. C’est pourquoi le budget de l’armement nucléaire pour 2012 est de 3,4 milliards d’euros, ce qui représente 20 % 9 10 DPSD : direction de la protection et de la sécurité de la défense. DGSE : direction générale de la sécurité intérieure. 4 du budget équipement. La mise en œuvre opérationnelle repose quant à elle sur une composante nucléaire sous-marine et aérienne. - la fonction « Intervention », particulièrement à l’extérieur

publique. Le périmètre d’intervention d’un budget désigne la matérialisation de l’action. Une dépense publique est une action mise en oeuvre. Pour les services du Premier ministre, il faut prendre en compte le périmètre. En 1966, les dépenses de la DGSE étaient globalisées au sein des services du Premier ministre, et ont été transférées aux armées. L’information passait avant par les services du Premier ministre. Les journaux officiels figuraient aussi dans le budget des services du Premier ministre

sa faveur et FALL fut envoyé à l'Ecole de Guerre, avec la promesse de nous envoyer Dièye et moi faire le DMG cette année-là. En formation à la DGSE en 1995, je retrouvai en France aussi bien DIEYE venu faire le DMG que FALL en première année de l'Ecole de Guerre. Je les fis se rencontrer tous les deux et profitais des moyens mis à ma disposition par la DGSE, en les inviter très souvent à dîner et à nous éclater dans Paris. Ils ne s’aimaient pas trop parce que déjà rivaux dans beaucoup de domaines

SGDN (Secrétariat Général de la Défense Nationale) et rattaché au Premier ministre en la personne de M. Alain Juillet. Son parcours professionnel est un atout. Il a occupé des postes de directeur général dans le secteur privé avant de rejoindre la DGSE (Direction Générale de la Sécurité Extérieure). Un curriculum vitae qui lui confère une forte crédibilité. Par ailleurs, il s’est chargé de fédérer et de contrôler la profession par la création d'un syndicat professionnel, la FEPIE (Fédération des

règnent alors au Maroc travaillent en faveur de Fouad Ali El Himma, qui, malgré ses compétences limitées en matière de lutte contre le terrorisme, intrigue en coulisses pour s’immiscer dans ce dossier. Une source des services secrets français de la DGSE, qui espionne l’ami du roi, se fend d’une note ô combien instructive à son officier traitant. On y apprend que, pour El Himma, « ces attaques ont entaché l’image de l’“exception marocaine” en matière de sécurité, et que Sa Majesté ne peut que prendre