La Différence Engendre La Haine

Champion dans la tête François DUCASSE Le sport est une école du combat. L’objectif est d’apprendre à gagner mais aussi à combattre dans l’amour du combat et non pas dans la haine de l’autre. Nous voulons prouver que la compétition au plus haut niveau et les plus grandes performances ne sont pas incompatibles avec une philosophie généreuse. Tout part du désir : il est le moteur, la flamme qui nous anime. Elle est le socle de la motivation. Dans la terre de la création, le temps n’est plus à

comprendre la réalité. 2. la comparaison : pour Tcq il suffit de comparer les sociétés pour les comprendre (comparaison spatiale (US/FR ; All/FR) ou temporelle (présent/passé)). Ce sont les contrastes qui l’intéressent pour comprendre les différences ex : spécificité de la démocratie US. 3. l’individualisme méthodologique (proche Weber) : pour expliquer les comportement sociaux, il faut des causes rationnelles et individuelles (en opposition au holisme où les convictions sociales

économiques. La discrimination statistique peut être parue comme justifiable, puisque basée sur des éléments rationnels. II. Explication de l’existence de la discrimination pure par différentes théories économiques. Ces théories visent à expliquer les différences entre les d’individus et visent à expliquer en quoi deux individus qui ont les mêmes caractéristiques économiques n’ont pas la même place dans l’entreprise et n’ont parfois pas le même salaire. Les théoriciens dont nous allons parler se sont penchés

n’ont pas pu se développé plus qu’à ce stable, il y’a fixation de la libido à un stade infantile, fixation incestueuse. Nous admettons que cette tendance découle de la profonde aversion que l’homme éprouve pour ses désirs incestueux d’autrefois, la différence étant que ces peuples primitifs subissent tellement cette aversion qu’il se sont vu obligé de se défendre contre eux par des mesures extrêmes et rigoureuse. Ces désirs étant destinés à se perdre dans l’inconscient. La peur de l’inceste chez le

selon Certeau des stratégies du temps différentes, les deux disciplines interrogent le temps selon des questions semblables. M. de Certeau donne une liste de ces questions : « rechercher des principes et des critères au nom desquels comprendre les différences ou assurer des continuités entre l’organisation de l’actuel et des configurations anciennes ; donner valeur explicative au passé et/ou rendre le présent capable d’expliquer le passé ; ramener les représentations d’hier ou d’aujourd’hui à leurs conditions

imaginaires ? Il répond à la première en attribuant à la compassion, cette forme de participation pathétique qui est l'origine de la miséricorde religieuse, la joie que l'on éprouve à partager la douleur des autres ; il répond à la seconde en précisant la différence qui sépare théâtre et religion : au théâtre, la compassion n'est qu'une pure passion sans conséquence pratique pour la conduite personnelle. « Amour naturel », la compassion correspond au mouvement de la sensibilité qui préside aussi bien à la

inhibant mais qui, brisant par sa force propre toute ordonnance sensée, se trouve en fait disposer au déploiement de tout autres affects ainsi appelés en écho. Tel est le paradoxe de toute monstration de la violence, discursive ou imagée, qu’elle engendre en un même mouvement horreur, répugnance, dénonciation et une possible délectation accompagnée d’excitation. Et il ne suffit pas de dénoncer la potentielle jouissance du témoin pour en venir à bout… Et l’on sait que la pitié elle-même, canalisée

l’étrangeté » (Errata 73). Un « grand midi » caractérise le judaïsme laïque, fascinant mais suscitant aussi le rejet et la haine, angoisse féroce qui tourne au massacre. Le « grand minuit » de l’humanité dans les camps de la mort est une réponse vengeresse à cette éruption soudaine d’un judaïsme laïque qui affirme son appartenance à la culture européenne mais revendique aussi sa différence. Si le Règne des fins, dans sa version sécularisée, consiste en un grand midi du judaïsme laïque, l’enfer, aussi, trouve

prête aucune attention aux beautés qui n’ont aucun intérêt à ses yeux. En fait, il existe seulement un personnage avec qui il entretient une relation que l’on pourrait qualifier « d’humaine ». En effet, Zeus-Peter Lama ressent véritablement de la haine et du mépris envers Carlos Hannibal mais derrière cette facette on pourrait y voir une certaine forme de jalousie. Ceci pourrait alors expliquer l’argument ad-hominem utilisé par Zeus contre Hannibal lors du procès lorsqu’il dit : «Il est aveugle 

renvoie à l’injustice des hommes. Il n’y aurait d’injustice qu’humaine.   2- L’injustice, « reine du monde » des hommes (1) Les rapports des hommes entre eux paraissent en effet, dans les trois œuvres au programme, dominés par des sentiments de haine, d’égoïsme et de rivalité quianéantissent toute possibilité de justice : dans les sociétés humaines telles qu’elles sont décrites dans ces textes, l’injustice semble bien être « la reine du monde ».   a) Eschyle : le chaos comme forme de l’injuste