La Différence Entre Culture Individuelle Et Culture Collective

DE LA CULTURE D’ENTREPRISE COMME COUPLAGE LACHE ENTRE REPRESENTATIONS ET PRATIQUES ORGANISATIONNELLES DANS L’ACTION ORGANISEE : IMPACT SUR LA NOTION D’IMPLICATION Jennifer URASADETTAN Doctorante en sciences de gestion - CREGOR Université Montpellier II 14 rue du général Maureilhan Jennifer_urasadettan@hotmail.com 06 61 76 66 04 Résumé : L’émergence du management par les valeurs ou encore de la gestion interculturelle témoignent d’une constante volonté du manager de susciter auprès du personnel l’adhésion

impact sur la satisfaction, l’implication, l’adhésion à la culture ou l’intention de rester à plus long terme. 1.2 UN OUTIL D ’ ANALYS E : L ES NIVEAUX D ’A RDOINO Outil d’analyse : Les niveaux d’intelligibilité d’Ardoino 5 niveaux d’analyse d’une réalité sociale : 1. Niveau individuel : facteurs individuels, souvent d’ordre psychologique (attitude, caractère, personnalité, motivations,…). Attribue la raison à un facteur individuel. >> Le niveau d’explication le plus souvent invoqué,

Comment la société s’inscrit dans l’individu. Rapport sociaux, socialisation, individus La sociologie consiste à analyser la société c’est le produit d’une multitude de relations (familiale, pro, amicale, économique…) entre individus entre groupe et dont les intérêts entre les individus peuvent être contradictoire. Ces relations ne sont pas sans attache, ces individus ont des appartenances (religion, société…) et par ces appartenances ils se sont intégrés, ils ont intériorisés les codes, les

Etude des différences entre les cultures et entre les groupes sociaux d’une même culture - Etude des variations historiques des comportements - Etude des relations de domination et de concurrence au sein des groupes b. La recherche de l’objectivité - Etude de la vie sociale de manière scientifique - Deux directions : le « social » est qqch dont on peut déterminer les lois par l’observation ou la déduction OU comprendre d’abord les comportements individuels et établir

contraignante et sécurisante Les relations sont empreintes de paternalisme et d’affectivité La tradition est au fondement des relations entre les membres de l’organisation Une hiérarchie traditionnelle La légitimité de la hiérarchie est fondée sur le respect des traditions de l’organisation La hiérarchie traditionnelle est incontestable La hiérarchie traditionnelle institue entre tous une distance respectueuse La tradition Un don La tradition est un don Chacun a l’obligation d’accepter la tradition Chacun

L'impact de la Culture nationale sur la prise de risques et la pro-activité dans les PME Page 2 | 2 RÉSUMÉ Cette étude a utilisé les données de 1070 entreprises dans six pays pour évaluer l'impact de la culture nationale esur deux dimensions clés de l'orientation entrepreneuriale (OE): prise de risques et pro-activité. Huit hypothèses ont été développées en précisant les liens attendus entre les quatre dimensions culturelles Hofstede (1980) et le niveau de prise de risque et pro-activité

La communication interculturelle Le plan : Introduction I) Notion d’inter culturalité 1. Définition de la culture 2. Les références de la culture 3. Différentes approches de la culture 4. Les types de cultures 5. Exemples typiques de différences culturelles II) Communication interculturelle au sein de l’entreprise 1. Introduction 2. Inter culturalité au sein de l’entreprise 3. La compétence interculturelle Les conditions de base de la compétence

chercheur hollandais. À la fin du XXe siècle, il a mené une analyse des cultures de plus de 70 pays pour le compte d'IBM. Une multinationale de cette taille est présente dans le monde entier et elle emploie des personnes de qualifications très diverses. En faisant passer au personnel d'IBM un test sur les valeurs qu'il avait élaboré et en analysant statistiquement les réponses, Geert Hofstede est arrivé à la conclusion que toute culture pouvait être décrite à l'aide de cinq paramètres : • PDI – Index

électronique, de l’informatique (machines et logiciels), des télécommunications/diffusion et de l’optoélectronique (la technologie du laser : Branche associant l'électronique et l'optique, en particulier dans l'étude et la mise en œuvre des interactions entre la lumière et les électrons) et également l’ingénierie génétique (se fonde sur le décodage, la manipulation, la reprogrammation de codes d’information = même approche conceptuelle selon lui ). Autour de ce noyau de technologies de l’information

philosophie : Section 2  : Evolution de la GRH japonaise au Japon et en Occident I- Un bel exemple de réussite, General Motors : II- Une culture de type z : III- Le cercle de contrôle de qualité : Conclusion générale Bibliographie Introduction générale Douglas Mc Gregor formula deux théories, issus d’observations empiriques, à l’intention