La Dispute Didascalie

l’intrigue qu’à travers les dialogues des personnages. Toutes les indications nécessaires pour comprendre où, quand et comment se passe l’intrigue sont en italiques  : on les appelle des didascalies . On en trouve une autre l. 107 : «  Sganarelle prend un bâton et bat sa femme . » 2. Qui sont les deux personnages présents ? Quel est le lien qui les unit ?Les deux personnages sont Sganarelle et Martine

la pièce aujourd’hui, « les Justes » : Des terroristes ? Des « meurtriers délicats » ? Prolongements proposés à la classe par le professeur : Réflexion sur l’espace scénique de la pièce : dessiner un décor possible à partir des didascalies externes et internes. Projection de la captation des Justes dans la mise en scène de Guy Pierre Couleau. Analyse d’un spectacle. Autres figures de « terroristes » dans la littérature théâtrale : Lorenzaccio de Musset, Les Mains Sales de Sartre

manipulateur et séducteur de Don juan, il n’hésite pas à promettre à deux paysannes le mariage l.4 "c’est elle qui me témoignait une envie d’être ma femme, et je lui répondais que j’étais engagé à vous" démontre son comportement versatile. Les didascalies "bas" utilisées pour parler aux jeunes filles discrètement montre son hypocrisie. C’est pourquoi il joue deux fois le même rôle pour chacune des filles : les parallélismes de certaines répliques montrent son habilité à accuser l’autre fille tel

- M. Smith - Mme Smith - M. Martin - Mme Martin - Mary (la bonne) - Le capitaine des pompiers  Résumé de La Cantatrice chauveScène 1 :     La pièce commence dans le salon de M. Smith et Mme Smith, comme l'indique la didascalie initiale : " Intérieur bourgeois anglais, avec des fauteuils anglais. Soirée anglaise. M. Smith, Anglais, dans son fauteuil et ses pantoufles anglais, fume sa pipe anglaise… "     La pendule sonne de temps en temps, sans

droit à une dispute entre MArceline et Suzanne, les 2 rivales. On observe un comique de mots (ironie et sarcasme) avec ces chicaneries, les répétitions de "Madame" mais également un comique de gestes: Tout d'abord, c'est l'opposition entre une vieille et une belle femme. On peut également rire des révérences que se font les deux femmes. Avec la gestuelle et le langage, on joue sur les mots, ce qui nous rappelle le Ruy Blas de Victor hugo. Scène 6: Suzanne a le dernier mot de la dispute et peut, seule

insolant"), de rappeler les chaînes qui lient le maître à l'esclave et même de le menacer (1110 : "Tu ne mérites pas de vivre"). Ses interrogations montrent qu'il ne comprend pas la situation. Son désespoir est montré par le vocabulaire et les didascalies. Le maître est déstabilisé, il a peur de perdre sa liberté, il essaye de résister à ces nouvelles règles. b) - Panique et peur profonde du maître dans ce nouvel état social. Arlequin rie, il raisonne, développe l'enjeu de la pièce, il se moque

spectateur ou lecteur ? 10Montrez que l’auteur utilise souvent des expressions empruntées au monde du théâtre pour faire apparaître l’idée de fatalité ? 11. Par quel mot le décor est-il caractérisé ? 12. Quel en est l’intérêt ? 13. Relevez dans la didascalie un anachronisme qui nous incite à situer cette pièce dans une époque plus moderne. Les personnages Le Prologue, et tous les autres personnages, muets Statut Le Prologue, personnage extérieur à l’intrigue, hors liste Comportement Présente

qui s'est passé en dehors de la scène et de montrer les réactions des personnages qui l'écoutent. - Le portrait: au théâtre, le portrait des personnages est réparti sur les didascalies, la mise en scène et les dialogues. Ces éléments peuvent mettre en relief un aspect particulier du personnage. Il arrive aussi que les didascalies, la mise en scène ou un dialogue dressent de véritables portraits. b) La parole étudiée qui rythme la scène. Une esthétique de la parole. La parole permet de ryhtmer

jugement de valeur qui peut engendrer les larmes. D’où la question : Le Tartuffe est-il une comédie ou une tragédie ? Plusieurs indices permettent de répondre à la question : *L’espace : L’action se déroule « à Paris, dans la maison d’Orgon » (didascalie initiale). *Deux personnages sont des « suivantes », et non des confidents (personnages de tragédie). *« Madame » Pernelle > Ces indices indiquent un cadre bourgeois ; l’action va dérouler la vie quotidienne d’une famille du XVIIe, le cadre est

l’extrait, signalant que dès cet instant Adrien et Mathilde sont au bord de la violence physique. Les didascalie montrent que la scène est très animée. Dans un premier temps Aziz et Edouard interviennent pour séparer le frère et la sœur (2ème didascalie). Ils y parviennent puisque Adrien et Mathilde sont maîtrisés et entraînés, mais pas tout de suite, pas sans avoir dû lutter en scène (3ème didascalie). Et ce n’est qu’une fausse sortie : Adrien et Mathilde reviennent et l’affrontement reprend, seulement