La Dispute Didascalie

|Dispute Elise-Harpagon |première) | | |Forme |Dialogue Elise-Harpagon |Dialogue main droite - main |Similitudes | | | |gauche | | |Didascalies |Quelques indications de jeux |Quelques indications de nuances |Les didascalies musicales ne

acteurs), mais aussi donne des indications au lecteur, au metteur en scène, aux acteurs qui vont jouer le texte : qui parle, à qui et éventuellement où, quand, comment… Ces indications s’appellent les didascalies. Didascalies et paroles des personnages constituent le texte de théâtre. Les didascalies La présence de ces indications scéniques est facilement identifiable par le lecteur : les noms des personnages sont en lettres capitales, les autres indications (de lieu, de temps, de déplacements, d’intonations

consulté le 06/01/22 à 16h00. Dans En attendant Godot, le comique est partout : dans les personnages clownesques, dans les propos ridicules, absurdes, grotesques, contradictoires, répétitifs, dans le mot et le geste. Dans cette pantomime, les didascalies sont nombreuses pour des gestes burlesques : chutes, pantalonnades de Vladimir et d’Estragon. Ce sont deux Laurel et Hardy d’un cinéma presque muet, des clowns aux noms ridicules. Ces anti-héros pratiquent le comique de situation, de gestes, de

dans ce début de scène un grand nombre d’informations. Indices spatio-temporels Le lieu : v.3-4 « Qu’errant dans le palais sans suite et sans escorte, / La mère de César veille seule à sa porte ? » Pour le spectateur, qui n’a pas lu la didascalie initiale ( « La scène est à Rome, dans une chambre du palais de Néron »), Albine en résume à sa manière la teneur. L’époque : L’époque est suggérée par la célébrité des noms : Néron, empereur de Rome entre 54 et 68 après Jésus-Christ (né en

cette œuvre met en évidence la notion d’esprit critique comme elle existait au siècle des Lumières. Cette notion est basée sur la primauté de la raison, et de la capacité à raisonner et à être lucide. Ainsi, dans la scène 1 de l’acte I quand Silvia dispute avec Lisette de l’importance du mariage pour elle, elle exprime sa pensée de façon très rationnelle. D’après la suivante, le mariage est la plus belle chose qui puisse arriver et elle ne comprend pas pourquoi sa maîtresse n’est pas heureuse de se

tragi-comédie finit bien. Tout d'abord, d'un point de vue de l'écriture, on voit que la règle des trois unités n'est pas respectée, avec plusieurs décors, une action sur plusieurs jours et une multiplicité des intrigues. En effet, bien que les didascalies ne soient pas très explicites, les paroles des personnages les remplacent : "sur le bord de la mar" l.400, puis, "ces arbres-là, ces rochers" l.1000, "mais quel superbe édifice…" l.1276, "trouvé jamais porte fermée chez moi", l.1377. Dom Juan,

masque en déformant et transformant les apparences, mais aussi celui qui l’obscurcit par des arguments spécieux. Il se présente à Cipriano comme un étranger qui a beaucoup étudié et qui aime la dispute – sur ce point, la pièce de Calderón se rapproche de L’histoire du docteur Faust (Faust aime à « disputer », le diable aussi, c’est pourquoi ils s’entendent si bien) : p. 64, « dites-moi ce que vous étudiez, / et que cela soit notre thème de discussion [argumento, argument] ; car même si / j’ignore

comme le Petit Poucet. » Maman : « Qui a toujours voulu être maman. » M. Blédurt : Le Bouillon : « Notre surveillant général. Il a l'air très dur, mais il a quand même aidé Clotaire à copier les lignes de sa punition. » « Notre voisin, qui se dispute toujours avec Papa. » M. Moucheboume : « Le patron de papa, et sa femme qui ne ressemble à rien. » La maîtresse : « Elle désespère parfois quand elle interroge Clotaire parce que lui, il ne sait jamais donner la bonne réponse. » Le Directeur

déclaration d’amour. De son côté, Suzanne veut le punir de ses soupçons, et elle a la main leste ! On finit par se reconnaître au milieu de tous les quiproquos et tout s’arrange le mieux du monde : la comtesse a reconquis son mari qui ne songe plus à disputer Suzanne à Figaro. Chaque personnage vient chanter son couplet : «Tout fini-it par des chansons». Commentaire La pièce, où on peut déceler de nombreux emprunts (mais qu’importe?) est divertissante par son intrigue qui déchaîne le rire : simple

confiée pour trois jours à son oncle Gabriel, par sa mère. Le tempérament de la jeune fille et son comportement décalé va les mener à vivre de nombreuses péripéties. Dans ce premier chapitre, Gabriel, dans le métro qui le mène vers Jeanne et Zazie, se dispute avec des voyageurs. Puis il amène sa nièce dans le taxi de Charles, dans lequel ils visitent une partie de Paris, puis s'arrêtent boire un verre. (Questionnement par rapport à ce texte) Qu'apprend-on des marques de l'oral ? Quels sont les effets produits