La Doctrine De Pangloss

décryptent ainsi - de façon humoristique et par cette mise en abîme de la première fable – certains dangers du tabac. En participant à la construction du sens, le lecteur de tout âge s'instruit. D'une part « plaire et instruire » s'inscrit dans la doctrine du classicisme. D'autre part, la fable et contes contiennent une morale qui, implicite ou explicite, a pour but d'apprendre. Dans « Les Fées » de Perrault, tous comprennent à la lecture du conte qu'il vaut mieux se comporter comme la cadette. Cette

donc un état qu'on pourrait qualifier de permanent de l'âme humaine. Il convient cependant de le distinguer de la joie, ressentie à un moment donné et ne constituant pas une raison suffisante à un individu pour être "heureux"; Lorsque Candide et Pangloss découvrent l'eldorado, ils ressentent une joie momentanée devant toutes les merveilles que celui ci leur offre, mais n'en sont pas heureux pour autant: c'est bien le besoin de retrouver sa princesse, ce manque, qui pousse Candide à décider de quitter

de l’argumentation Séquence 1 Texte 1 : extrait du chapitre XVIII (l’Eldorado) « Ils entrèrent ds une maison fort simple (…) il est certain qu’il faut voyager » I Introduction -Candide est un conte philosophique dans lequel Voltaire attaque la doctrine optimiste de Leibniz qui dit que Dieu qui est un être parfait a créé le meilleur des mondes possibles. Dans son œuvre, V. veut montrer que cette philosophie ne résiste pas à l’épreuve des faits. Par ailleurs, il va profiter aussi pour critiquer la

étymologiquement « justice de Dieu » (du grec théos, Dieu, et dikè, justice). C’est un discours se proposant de « justifier la bonté de Dieu par la réfutation des arguments tirés de l’existence du mal dans ce monde, et par suite la réfutation des doctrines athées ou dualistes qui s'appuient sur ces arguments »7. Il est essentiel de souligner le principal enjeu de la théodicée leibnizienne. La question est d’abord : comment accorder l’existence du mal avec l’idée de la perfection générale de l’univers 

ont réclamé le respect de la nature et la dignité humaine et ont condamné l'absolutisme. Toute la littérature du siècle des Lumières devient l'expression des vœux du peuple. Ces idées ont été dues principalement à la diffusion du rationalisme (la doctrine philosophique de Descartes qui enseignait que c'est par la raison qu'on pouvait distinguer la vérité de l'erreur). Ces idées ont voulu étudier les grands problèmes sociaux. Le XVIIIème siècle est une époque de réflexion, de combat contre les préjugés

CRITÈRES DE RECHERCHE DE LA VÉRITÉ ? A/ A QUOI S’OPPOSE T-ELLE La vérité s’oppose tout d’abord à l’opinion, à la croyance. La vérité s’oppose à la croyance car la croyance se définit comme un adhésion incertaine de l’esprit à une opinion, à une doctrine* ou encore une idéologie. En ce sens la croyance s’oppose au savoir qui est une connaissance rationnelle et se rapproche de la naïveté, du préjugé, voir même de l’erreur. La croyance est néfaste et dangereuse car elle est arbitraire, parce qu’elle

réfugier à la moindre alerte. 1759: Il publie Candide, un conte philosophique considéré comme l’un de ses chefs d’oeuvre. Le héros, Candide, est un jeune homme crédule à qui son précepteur, Pangloss, inculque une théorie très simpliste sur l’optimisme. Les mésaventures du jeune héros mettent à mal cette doctrine. Cela permet à Voltaire de se moquer de Rousseau et de toutes les théories métaphysiques qui ne résistent pas à l’épreuve des faits. Au-delà du procès de l’intolérance, du fanatisme, de la

la tradition orale du conteur, garde le personnage le plus comique pour la fin et met en scène « un petit animalcule à bonnet carré » (l. 140), un docteur de la Sorbonne. Sûr de son pouvoir et de son savoir, il s’empare de la parole et présente la doctrine officielle de l’université qui place l’homme au centre du monde et de l’univers (voir note 2 de la page 6). Alors que les deux voyageurs ont jusque-là essayé de discuter avec les « atomes intelligents », ils ne peuvent répondre à de telles absurdités

était déiste, c’est-à-dire qu’il croyait en l’Être suprême mais il n’acceptait pas les dogmes et les pratiques d’une religion. À travers son œuvre Candide ou l’Optimisme il critique ouvertement la philosophie de Leibniz, à travers le personnage de Pangloss et « tout est mieux dans le meilleur des mondes » repris sans cesse dans cette œuvre. Philosophie de Leibniz : « Si Dieu existe, il est parfait et il est seul parfait. Par conséquent, tout ce qui n’est pas de lui est nécessairement imparfait,

(progrès des sciences, progrès politique, et progrès économique). Le livre raconte les pérégrinations de 2 protestants allemands, un jeu et un vieux, un élève et son précepteur, l'élève Candide (vient de candeur: innocence), l'autre s'appelle Pangloss ( celui qui parle toutes les langues). Leur voyage les conduit en France, en Angleterre, au Portugal, en Amérique Latine, en Afrique, à Venise et en face d'Istanbul ou le voyage s'achève, ils sont donc dans l'Empire ottoman. Ce voyage est un prétexte