La Douleur De Marguerite Duras

cœur sans affection Marguerite de Navarre (1492-1549) Je vis, je meurs : je me brûle et me noie. J’ai chaud extrême en endurant froidure : La vie m’est et trop molle et trop dure. J’ai grands ennuis entremêlés de joie : Tout à un coup je ris et je larmoie, Et en plaisir maint grief tourment j’endure : Mon bien s’en va, et à jamais il dure : Tout en un coup je sèche et je verdoie. Ainsi Amour inconstamment me mène : Et, quand je pense avoir plus de douleur, Sans y penser je me

encore… », à «… j’y consens et je vous en prie » Lectures Cursives : L’héroïne romanesque au fil du temps -XVIIIe siècle : Manon Lescaut, Abbé Prévost -XIXe siècle : Mme Bovary, Gustave Flaubert -XXe siècle : Le ravissement de Lol. V. Stein, Marguerite Duras Documents complémentaires : -Etude comparative de deux films : • La belle personne, Christophe Honoré -Etude comparative de deux films : • La fidélité, Andrzej Zulawski Recherches documentaires : -Mme de La Fayette -La cour d’Henri

Michel Butor (p.  56 ES/S et Techno / p.  58 L/ES/S)  ; dans la séquence  2, « Le portrait dans les romans du XVIIe siècle au XXe siècle », l’extrait d’Alain Robbe-Grillet, La Jalousie (p. 77 ES/S et Techno / p. 79 L/ES/S) ; les extraits de Marguerite Duras peuvent être reliés à ce mouvement, malgré les dénégations de l’auteur : dans la séquence 2, « Le portrait dans les romans du XVIIe siècle au XXe siècle », Un barrage contre le Pacifique (p. 76 ES/S et Techno / p. 78 L/ES/S) ; dans la séquence 4

émois et ses colères, esquisser des portraits des autres locataires de l’Annexe. L’écriture fait certes « disparaître sa tristesse », mais elle est avant tout la relation d’une expérience de vie clandestine. Il s’agit pour Anne de transformer la douleur, la privation, la peur en une expérience d’écriture. L’écriture, dit-elle, la fait mûrir, la rend plus sensible à la beauté de la nature et plus proche des êtres qui l’entourent. Écrire pour soi est donc ici utilisée d'une manière différente :

rêve d'arriver socialement (artiste, politique,...), mais il n'arrive jamais à ses fins. Cette scène de première rencontre préfigure à la fois ce que sera l'amour de Frédéric et toute sa vie : on peut y lire sa destinée. MODERATO CANTABILE, Marguerite Duras, 1958 I. UNE SCÈNE DOUBLE QUI EXPRIME LE DÉSIR 1) Deux lieux opposés - L’intrigue se déroule dans deux lieux, simultanément : la salle à manger chez Anne Desbaresdes et la plage. Le narrateur, omniscient, passe de l’un à l’autre lieu grâce

clos * La fragmentation des souvenirs (Échange entre le présent, le passé et le futur (plus de chronologie)) Auteurs : * Alain Robbe-Grillet * Les Gommes * La Jalousie * Michel Butor * La Modification * Marguerite Duras * Moderato cantabile * Le Vice-consul * Nathalie Sarraute * Le Planétarium * Claude Simon * La Route des Flandres * Les Géorgiques Années 60 Période de prospérité, consommation Baby boom Se

retient à Esméralda. Elle est condamnée à la potence. Cependant, « Quasimodo » est aussi amoureux d’elle la porte jusqu’à la cathédral. Les deux hommes luttent et aussi les archers. Finalement, elle termine à la potence. « Quasimodo », fou de douleur, jette Frollo dès la tour qui est mort à côte du cadavre de la fille. • Les Misérables: Le roman le plus populaire de la littérature française. C’est un roman realiste, comme de la peinture de la vie et la société de Paris au XVIIIème siècle

 Résumé par partie « Un barrage contre le Pacifique » Résumé de l'intrigue :

Ce récit de Marguerite Duras, relate la vie d'une mère et de ses deux enfants, Joseph et Suzanne, en Indochine, pendant la période de colonisation française. La mère, propriétaire d'une concession incultivable, tente désespérément de construire un barrage contre le Pacifique, qui inonde régulièrement ses terres et lui enlève toute perspective d'avenir heureux pour elle et ses enfants. Joseph et Suzanne, l'un révolté

1907 : Affaire Eulenburg. 1909 : Les Ballets russes. 1914 : À cause de la guerre, Gilberte part pour Combray. 1916 : Début de l'année : Saint-Loup meurt au front, funérailles à Combray. Mort de M. Verdurin, sa femme épousera ensuite le duc de Duras et le prince de Guermantes ruinés par la Révolution en Bavière. 1918 : Novembre : promenade sentimentale et nostalgique au bois de Boulogne. 1919 : Début de l'année : le narrateur est souffrant, la grippe règne. Épisode de la madeleine qui lui rappelle

(ou presque) est d'accord pour dire que la contemplation d'œuvre d'art doit susciter un plaisir, une émotion esthétique, que l'on doit se garder de réduire à un simple agrément. Le plaisir esthétique peut intégrer la douleur (comme l'illustre parfaitement le roman de Marguerite Duras qui porte ce nom, qu'aucun lecteur n'est censé lire en riant aux larmes), l'angoisse (on peut ici songer à la nouvelle Le Horla de Maupassant, confrontation vécue avec la folie terrorisante), la mélancolie, etc. Si