La Drogue Chez Baudelaire

Sartre. Dans le passage étudiée, Simone de Beauvoir répond à ceux qui considère que la femme est inferieur a l’homme en se basant sur l’argument du génie artistique, signe de la supériorité de la race humaine. 1) Le génie ne peut se manifester chez un etre asservie Le thème du génie créatif dont Simone de Beauvoir va resserrer cette idée a l’expression littéraire. En effet, L2 « accomplir une œuvre géniale » L5 « ni artiste, ni écrivain ». Mais l’association artiste écrivain détache l’écrivain

qu’ils se rejoignent à un niveau plus élevé. Cesser de croire que la Vérité a déjà été dite et confisquée par ceux là même qui l’ont imposée et de ce fait que la liberté de croire autrement est vaine Cesser de croire que la Connaissance s’étudie chez les Anciens convaincus que la Connaissance réside dans le passé, et que pour obtenir le droit de penser autrement, seul l’ancien peut le cautionner Ce rapport au mot et sur les lettres apporte d’incroyables surprises. Certaines associations étranges

 Au lecteur est issue du recueil Les Fleurs du Mal de Charles Baudelaire. Baudelaire un poète symboliste du XIXème siècle. Au Lecteur est le poème liminaire du recueil Les Fleurs du Mal, placé hors numérotation, il a été placé en tête dans toutes les éditions. Il a donc une importance majeure : il présente et ouvre le recueil. Il montre l’esthétique moderne de Baudelaire qui associe le Beau et le Mal. Au Lecteur est un portrait de la condition humaine. Ce poème aborde des thèmes qui seront récurrents

ensembles architecturés, pour l’effusion sentimentale, l’épanchement du moi et de la mémoire. Mais la poésie sentimentale s’accommode elle aussi de l’esthétique du poème long, qui se déploie selon le vague des passions et la confusion des sentiments. Baudelaire réagit assez vivement contre ce qui lui semble des facilités : « Quant aux longs poèmes, nous savons ce qu’il faut penser ; c’est la ressource de ceux qui sont incapables d’en faire des courts. Tout ce qui dépasse la longueur de l’attention que

Romains avaient déjà le culte du vin mais c’est surtout à partir du XIXème siècle que l’alcool a le plus contribué au développement de la littérature. Il a influencé le mode de vie et le style des écrivains et il en va de même pour les artistes. Baudelaire, Verlaine, Rimbaud, Apollinaire ou Prévert, Van Gogh, Modigliani, Pollock ou Bacon … impossible de dresser la liste complète de tous ceux qui ont lié leur création à la consommation d’alcool. Certes, tous les artistes et poètes ne sont pas des alcooliques

d’écrivains se retrouvent alors sans revenus. Nerval évoque l’idée de la censure dans la première nouvelle des filles du feu : Angélique. La morale a un poids très important à cette époque. Plusieurs œuvres sont interdites, notamment Les Fleurs du Mal de Baudelaire et Mme Bovary de Flaubert, en 1857, pour « atteinte à la morale publique ». Les auteurs et les éditeurs sont condamnés à payer des sommes importantes et leurs ouvrages sont retirés de la vente. C’est le règne de la société industrielle

patrie Qui se mettent à geindre opiniâtrement Et de longs corbillards, sans tambours ni musique, Défilent lentement dans môn âme ; l’Espoir, Vaincu, pleure, et l’Angoisse atroce, despotique, Sur mon crâne incliné plante son drapeau noir. Baudelaire Unipolaire ou bipolaire : d’un extrême à l’autre Tout commence par une descente dans les zones les plus sombres de l’humeur. On parle d’une dépression unipolaire. Lors de la phase dépressive le baromètre émotionnel descend en dessous de 0 ;

mutation décisive : ils sont de moins en moins politiques ou idéologiques, et de plus en plus centrés sur l’épanouissement individuel. « Aux luttes contre l’impérialisme et la marchandisation succèdent les revendications de la liberté sexuelle et des drogues (…). Protest songs et tactiques d’occupation laissent place aux séances d’expression spontanée et aux soirées débridées du week-end »4. Le terrain sur lequel se situent les mouvements féministes ou homosexuels n’est plus tant celui de la politique

Clarisse Harlowe, auquel il fait allusion dans la lettre 110. (Clarisse, qui refuse d’épouser l’homme qu’on lui destine, s’enfuit avec un libertin sans scrupule, Lovelace. Elle pense pouvoir le changer, le rendre vertueux et l’épouser. Mais il la drogue et la viole. Clarisse se laisse mourir. Lovelace en est fou de douleur et accepte de se battre en duel avec un ami de la famille de Clarisse, qui le tue. Lovelace présente donc des analogies avec Valmont. Clarisse avec Cécile et madame de Tourvel

représente bel et bien une réalité durant le songe malgré que cette réalité soit totalement artificielle : l'idéalisme reprend cet exemple pour souligner la prépondérance de l'esprit par rapport à la matière. Donc le « je » constitue une puissance dominante chez un sujet. Le « je », lorsqu'il est assimilé au « je » cartésien, est un en réalité l'intégralité de notre conscience : notre « res cogitans » selon Descartes. Cette entité n'est rien d'autre que la responsable de toutes les actions du sujet : gestes