La Décadence Des Mérovingiens

1° : chute de l’Empire Romain due au invasions (5ème siècle, 476) – période franque ou Haut Moyen-âge (seconde moitié du 9ème siècle), avec les règnes successifs des Mérovingiens (Clovis); disparition de la dynastie au profit des Carolingiens (milieu du 8ème siècle), fondés par Pépin le Bref en 751, puis Charlemagne (décadence et disparition en 987). 2° : Moyen-âge, 987 = avènement des Capétiens, rois de la 3ème dynastie (Hugues Capet), s’achève au milieu du 15ème siècle (1453), fin de la guerre

ou de l'autre côté, mais il y a, dans ce tranchement (moins simple aujourd'hui), mille nuances copiées sur les Traités du beau maintien, sur les Catéchismes épiscopaux, sur les Blasons des temps anciens. Gobineau ne voit dans cette cuisine qu'une décadence. Ce qui était voir juste. * * * Gobineau que j'ai beaucoup lu, ne m'a jamais beaucoup plu. Je voyais dans l'homme un misérable de peu d'intérêt. C'était une vue fausse. À l'approcher mieux, on comprend

encore pire car il n’a pas même pas à respecter le programme présenté aux citoyens. Pour Proudhon, le moindre n’est pas la démocratie, c’est la monarchie car « religion pour religion, l’urne populaire est encore en dessous de la Sainte ampoule mérovingienne ». Troisième élément explicatif : Proudhon va démontrer que ce que nous entendons par démocratie est forcément le gouvernement d’une minorité d’homme sur une majorité d’hommes. 3° La religion, c’est l’enfer. Proudhon conçoit derrière le mot dieu

chute de l’Empire romain d’Occident En 476, l’empire romain d’occident disparaît, mais les populations de ce nouveau royaume sont encore pour la majorité imprégnées de coutumes romaines, un monde où la société très urbaine et assez cultivé est en décadence, mais qui ne ressemble pas du tout à une société féodale. Une minorité détient le pouvoir, elle reste fascinée par le raffinement et le mode de vie des Romains, beaucoup de barbares vivaient déjà à l’intérieur de l’Empire romain. Cette date est surtout

mémoires. S’inquiétant des conflits européens, il avouait : « Nous autres, civilisations, nous savons maintenant que nous sommes mortelles… Nous sentons qu’une civilisation a la même fragilité qu’une vie. » Bien des raisons peuvent expliquer la décadence des civilisations. Les plus fréquentes semblent être leur faiblesse technique, les guerres, les divisions internes sources de rivalités et d’autodestructions, et la rupture des équilibres naturels. Ainsi, une désertification, une surexploitation et

pas le conubium parce qu’ils sont parents au 6ème degré. Pour les romains, il faut au moins 7 degrés d’écart entre ceux qui vont se marier. Ces interdictions vont être partiellement levées. A la fin de la République pour l’essentiel, période de décadence mœurs et de la cohésion familiale ; en droit classique le mariage va être utilisé de manière plus large, autorisé entre cousins germains. En 49ap JC, un texte de l’empereur Claude va autoriser le mariage avec trois degrés d’écart entre l’oncle et

durant lequel on publie des histoires nationales de plusieurs volumes visant monter la profondeur de l’histoire. On trouve par exemple dans le cadre de la France, les historiens Amédée et Augustin Thierry qui publient écrivent sur les Gaulois ou les Mérovingiens par exemple. De même, l’historien Tchèque František Palacký écrit une monumentale Histoire de la Nation tchèque, écrite en 9 volumes. C’est une façon de montrer que cette nation a une histoire, une profondeur, une légitimité. Ces histoires ne sont

L’autorité publique se disloque, les invasions musulmanes ont conduit les francs à se doter d’une cavalerie formée de professionnel de la guerre, et pour assurer la fidélité et le dévouement de ces guerriers, les rois utilise un ancien contrat mérovingien par lequel un homme libre se recommande à un puissant. Et pour le prix de sa protection, il s’engage de façon solennelle et a vie dans un lien d’obéissance et de subordination. Autrement dis, les guerriers s’engagent envers le roi qui est leur

l’essentiel des prémices pour comprendre la suite de l’histoire ; le 11 © Groupe Eyrolles Partie I 58 avant J.-C. – 1364 : de la Gaule à la guerre de Cent Ans monde gallo-romain doit donc y être évoqué comme les dynasties royales : Mérovingiens puis Carolingiens, avec Charlemagne pour figure emblématique. Les Capétiens en sont la dernière étape, quand Hugues Capet fonde cette dynastie endurante qui va régner en France pendant près de mille ans. Cette première visite par étapes-clés est

la fin de la troisième guerre punique à l'avènement de Dioclétien (chapitre 2) ; période du Bas-Empire et du droit byzantin, de l'avènement de Dioclétien à la prise de Constantinople par les Turcs (chapitre 3). En Occident, après une période de décadence, du Ve au XIe siècle, se produit une véritable renaissance du droit romain ; l'étude de l'oeuvre de Justinien renouvellera dans toute l'Europe la connaissance du droit : c'est la renaissance bolonaise ou irnérienne, dont les conséquences pour le