La Délinquance Et Le Milieu Scolaire

2003 Vote de la loi pour la sécurité intérieure présenté par Nicolas Sarkozy, Ministre de l’Intérieur, nouvelles sanctions contre le regroupement intempestif dans les halls d’immeubles . 5 décembre 2006 Vote de la Loi sur la prévention de la délinquance présenté par Nicolas Sarkozy, Ministre de l’Intérieur et Pascal Clément, Garde des Sceaux. Ce texte durcit les sanctions contre les mineurs délinquants et les récidivistes, en créant notamment la « présentation immédiate » devant le tribunal

Fiche de lecture du livre La violence en milieu scolaire, Tome 3 – Dix approches en Europe Sous la direction de Eric Debarbieux et Catherine Blaya. Avant tout, il est important de préciser que cette étude s’inscrit dans un contexte précis : publiée par l’Observatoire européen de la violence scolaire (dont Eric Debarbieux est le directeur depuis 2001), elle fait suite à la Conférence d’Utrecht des 24, 25 et 26 février 1997 sur « la sécurité à l’école » ainsi qu’au colloque mondial sur les

TABLE DES MATIERESPourquoi la délinquance juvénile ?Introduction. I. Bref définition II. Les différents délits des jeunes délinquants III. Les causes( éléments catalyseurs) a) Causes sociaux b) Causes familiales c) Causes psychologiques d) Causes lies au fonctionnement de certaines institutions (justice, police, prison pour mineurs) IV. Les conséquences a) Au niveau familial b) Au niveau social V. D’éventuelles solutions VI. Résultat du sondageConclusion Réflexions PersonnelsSources

Méthodologie des sciences humaines Travail de fin de session Plan d’étude : Décrochage scolaire Hélène DAVID DÉVELOPPEMENT DE LA PROBLÉMATIQUE DE RECHERCHE Question première «naïve ou de sens commun » Est-ce que la poursuite des études est une valeur à laquelle les jeunes accordent une grande importance? Sujet à décrire La poursuite ou la non poursuite des études. Constat de sens commun Le taux de décrochage croit continuellement et c’est un problème auquel notre société est

SESSION ORDINAIRE DE 2001-2002 Rapport remis à Monsieur le Président du Sénat le 26 juin 2002 Dépôt publié au Journal officiel du 27 juin 2002 Annexe au procès-verbal de la séance du 27 juin 2002 RAPPORT de la commission d’enquête (1) sur la délinquance des mineurs, créée en vertu d’une résolution adoptée par le Sénat le 12 février 2002, PRÉSIDENT M. Jean-Pierre SCHOSTECK, RAPPORTEUR M. JEAN-CLAUDE CARLE, Sénateurs. Tome I : Rapport (1) Cette commission est composée de : Mme Michèle André

EDUCATION CIVIQUE ET ETHIQUE INTRODUCTION En février 2008, la communauté nationale camerounaise a vécu des scènes d’émeutes dans de nombreuses villes. Au cours de celles-ci, des jeunes, mineurs pour la plupart et fréquentant les milieux scolaires se sont livrés à des actes de pillages, de vandalisme et d’incivisme généralisé. Il ya quelques semaines le gouverneur et le régional de l’enseignement secondaire du littoral ont dû intervenir au lycée de Njoss de Douala pour ramener à l’ordre des élèves

plutôt que son rôle actuel d’enseignement. Y aurait-il moins de délinquance par l’augmentation des établissements scolaires ? Les jeunes, pris en main, seraient moins susceptibles d’arriver à des actes tels qu’ils pourraient les mener en prison. Peut-être que le problème ne viendrai pas des écoles, mais de l’éducation reçue dès leur plus jeune âge. L’augmentation des écoles permettraient de diminuer le taux de délinquance chez les jeunes, par la prise en charge de ceux-ci. En effet, cela

Selon un rapport officiel de l’Inspection générale des affaires sociales et du Conseil général de l’agriculture, la misère ne crée pas systématiquement la délinquance. Les départements les plus pauvres de France, comme le Cantal ou la Creuse, sont même les moins criminogènes... Peut-on dés lors affirmer que la misère mène toujours à la criminalité ? Pour nous forger une opinion , nous allons d’abord voir en quoi nous pouvons être d’accord avec cette thèse et dans un second temps , nous allons montrer

| | | |“LA DÉLINQUANCE À L’ADOLESCENCE” | |

et d'Etudes de la Protection Judiciaire de la Jeunesse), et de l’Ecole doctorale ETE (entreprise, travail, emploi) Paris, 27-28 janvier 2004 Des élèves « en difficulté » aux élèves « difficiles » : l’exemple des collégiens de milieux populaires en « ruptures scolaires » Mathias MILLET Maître de conférences en sociologie à l’IUFM de Poitiers GRS-CNRS/Lyon 2, SACO-MSHS/Poitiers Depuis les années 80, sous la double impulsion de l’émergence du « problème des banlieues » et du « chômage des jeunes