La Démocratie Contemporaine En France Et En Europe

fondateurs de la « démocratie » moderne" Un article publié dans la revue AGONE, no 22, septembre 1999, pp. 95-114. Table des matières Résumé Introduction Une socialisation élitiste Utilisation politique du mythe de la « souveraineté » Discours antidémocratique& peur des pauvres Justifications philosophiques Langage : l'antidémocratisme dissimulé L'« agoraphobie » comme concept politique Francis Dupuis-Déri "L'esprit antidémocratique des fondateurs de la « démocratie » moderne."

Fiat 1899 (Turin, Ita) puis à Détroit (EU), France (Lyon, Boulogne- Billancourt, Sochaux..) Les transformations économiques et sociales de la Belle–Epoque Belle époque : Fin XIXème jusqu’à la 1ère GM -Progrès de la science -Progrès techniques 2nde RI fin XIXème -Croissance +++ -capitaux passent à l’échelle mondiale - Transformations sociales dues à la 2nde RI Sect 1aire sect 2ndaire (industrialisation), tertiaire -Europe domine le monde (technique, finance, politique

l'Université de Bourgogne et le coin des étudiants SPO Etat fédéral et Etat décentralisé : une différence de nature ou de degré ?   Introduction : --- partir d'un fait d'actualité : par exemple, le gel actuel du processus de Matignon sur la Corse en France. Ce gel s'explique en partie par certains désaccords : - au sein de la majorité gouvernementale : certains courants (dont le courant souverainiste de Chevènement) estiment que la décentralisation proposée (possibilité d'adaptation par l'Assemblée

l'Université de Bourgogne et le coin des étudiants SPO Etat fédéral et Etat décentralisé : une différence de nature ou de degré ?   Introduction : --- partir d'un fait d'actualité : par exemple, le gel actuel du processus de Matignon sur la Corse en France. Ce gel s'explique en partie par certains désaccords : - au sein de la majorité gouvernementale : certains courants (dont le courant souverainiste de Chevènement) estiment que la décentralisation proposée (possibilité d'adaptation par l'Assemblée

C’est un trait commun à toutes les démocraties pluralistes, et même au-delà (dans les régimes autoritaires, dans lesquelles les participations politiques s’épanouissent différemment). Trait commun à toutes les démocraties pluralistes En Europe ou ailleurs, toutes les démocraties encouragent le citoyen à participer à la vie publique, et même requièrent cette participation. Dès la fin du XVIIIe, les théoriciens des Lumières affirment que participation et démocratie sont inséparables. Ainsi, Condorcet

Histoire, géographie et géopolitique du monde contemporain >> ESPRIT DE L’EPREUVE SUJET CORRIGE RAPPORT ESPRIT GENERAL Cette épreuve vise à vérifier que les candidats disposent des repères nécessaires à la compréhension du monde dans lequel ils devront agir. L'étendue de l'étude, aussi bien dans l'espace que dans le temps, indique que le programme doit être abordé à partir d'une vision plus synthétique qu'analytique. Des sujets vastes, précis dans leur formulation, privilégiant

La démocratie directe est un régime politique dans lequel les citoyens exercent directement le pouvoir. Les trois sources de la démocratie directe sont : * l’histoire qui donne des exemples de sociétés ou de groupes sociaux organisés en démocratie directe, tout particulièrement Athènes au vie siècle avant J.-C.[réf. nécessaire] ; * la philosophie : certains philosophes, dont Jean-Jacques Rousseau, n'envisagent de démocratie que directe, fondant leurs réflexions en particulier sur les droits

régimes traditionnels, des monarchies et de systèmes aristocratiques ; la volonté divine, cas des théocraties mais aussi de la monarchie de droit divin ; l'expression du droit des peuples et des individus (souveraineté populaire) ; c'est le cas des démocraties mais aussi de régimes autoritaires mais se réclamant de la volonté populaire (certains régimes fascistes) ; le mérite et la qualité des dirigeants. C'est la théorie induite par les régimes gouvernés par les « sages » (cas de certains pouvoirs locaux

constitutionnel. Il renvoie à l'idée de source de pouvoir, de celui qui confère la légitimité en exprimant la souveraineté à l'intérieur de l'Etat. La Constitution française proclame ainsi le peuple souverain en son article 3 et définit, en son article 2, la démocratie comme le « gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple ». Les Allemands utilisent à cet égard le terme de « Herrschaft », par opposition à la « Souveränität » de l'État, expression qui renvoie à une entité qui n'a aucun supérieur. Le

particulier, c’est nécessairement l’œuvre du parlement, si le parlement vote la loi, le gouvernement peut être à l’initiative de cette loi, il a pu faire le projet et la loi, on parle alors de proposition de loi : parlement bicaméral avec deux chambres en France : la chambre basse et la chambre haute = * Le sénat est dit moins légitime puisque ses membres ne sont pas élus par le peuple mais par les représentants du peuple. * L’AN c’est la chambre qui représente le peuple ou la nation. Les 2 chambres