La Démocratie Est Elle Une Utopie

alors de chercher à savoir s’il existe ou non une corrélation entre l’impact des medias et le résultat des élections? Par ailleurs, professer que les médias font l’opinion, n’est-ce pas nier la capacité de jugement de l’électeur et douter de la démocratie ? Et doit-on partager la conviction que le pouvoir politique dispose des médias, conditionne l’opinion et fabrique les élections ? Pour tenter de répondre à ces questions, il paraît nécessaire d’analyser dans un premier temps les connivences

pas mandaté par le peuple. En général ça évoque l'idée d'un coup d'état, d'une prise de pouvoir par la force. En tout cas pas d'une élection. Dictature est un mot plus utilisé encore et il désigne un pays ainsi dirigé. Il s'oppose en général à "démocratie" et évoque l'idée d'un pays étouffé, de libertés muselées. "Tyran" : les sens sont assez proches, mais les emplois différents : ça vient du grec mais en grec le mot n'a pas été vraiment senti comme péjoratif. Le premier sens se rapproche de "Tout-Puissant"

et de l’utopie dont témoignent certaines villes comme Brasilia. ( nord protestantisme et sud avec le catho ) et le rôle de l’utopie dans le rêve de la conquête ( Eldorado ), utopie religieuse avec les Mormons , utopie que représentent les villes d’entreprises qui visent l’efficacité et bien être des travailleurs , les utopies ( « rêveurs européens » : viennent pour vivre selon leur rêve et le monde qu’il voulaient construire comme Fourier )  Le recours à l’immigration, sous des formes diverses :

avaient une conception idéaliste de l’homme et de la politique. Par exemple, la « République » de Platon permettait d’instaurer la justice car elle était gouvernée par des philosophes, des hommes sages et vertueux. Mais pour Machiavel, ceci est une utopie, car Platon a envisagé les hommes tels qu’ils devraient être et non pas tels qu’ils sont. * Les trois principes de la philosophie politique de Machiavel (« Le Prince », 1513) : - Le principe de réalisme : Les hommes sont guidés par leurs passions

lois oppressives puisqu’elle aura elle-même à s’y conformer. Le second acte du corps social est de décider de la forme de gouvernement qu’il adoptera et de son instauration. Rousseau distingue schématiquement trois formes de gouvernement : la démocratie qui est le gouvernement de tous, l’aristocratie qui est le gouvernement de quelques-uns et la monarchie qui est le gouvernement d’un seul. Tous ces types de gouvernement sont également légitimes pourvu qu’ils aient été voulus par le peuple. Sera

avait seulement quelques milliers de citoyens pour devenir quelques centaines après la guerre. * La réflexion politiques des grecques va être marquée par l’utopie (ils recherchent une cité idéale, meilleur que celle qu’ils ont) ; ils veulent une utopie car ils sont fortement touchés par l’immigration. A partir de là, les tentatives d’explication de la cité sont dites par des penseurs ; Le premier est Hérodote (historien et voyageur qui entreprend un voyage en Egypte et commence à penser au principe

Philippos et naquit sans doute dans le dème de Cydathenaeum, à Athènes. Il reçut une bonne éducation ; il semble qu'il possédait des terres importantes sur l'île d'Égine. Sur le plan politique, Aristophane se montra très critique à l'égard de la démocratie athénienne, dont il stigmatisa les erreurs. Il défendit toujours des idées philosophiques et théologiques traditionnelles, telles que la paix, la franchise, la sagesse, plutôt que les nouvelles théories comme celles des sophistes. Une loi interdit

démocratique, loin s'en faut, l'économie sociale et solidaire montre aujourd'hui qu'il n'est pas nécessaire de vouloir s'enrichir personnellement pour entreprendre. Elle témoigne que différentes organisations productives sont possibles et que la démocratie ne s'arrête pas nécessairement à la porte des entreprises. Face à la dégradation du tissu social, la mobilisation des citoyens n'est pas vaine. Le pouvoir politique le reconnaît, comme en témoign~ la création d'un poste de ministre délégué à Bercy

conséquences comme les lettres de cachet permettant de faire emprisonner, sans procès les personnes gênantes. Même si les philosophes étaient contre la monarchie de droits divin, ils étaient cependant favorables à un régime monarchique, et contre la démocratie excepté Rousseau. C’est pourquoi pour conserver un régime monarchique, sans les abus, ils veulent séparer les trois pouvoirs, ainsi ils pensent que la liberté de chacun sera mieux respectée. Ils luttaient donc contre l’inégalité des hommes, l’esclavagisme

c'est-à-dire la conscience que nous formons une base commune de l'humanité, et en fonction de cela il nous faut tracer des chemins d'avenir. Il s'agit ici de notre destinée qui va se traduire par des décisions prises en fraternité, c'est-à-dire, par la démocratie. Si on s'écarte de la fraternité pour tracer ces chemins d'avenir, nous entrons dans des schémas de dictature, et à terme il n'y aurait plus de fraternité possible. La fraternité implique un autre concept : Etant dans une même famille les enfants