La Démocratie Est Elle Une Utopie

ou est le pouvoir est une question naturellement citoyenne. Cette question anime la vie politique depuis que le peuple a pris conscience qu’il a un réel rôle à jouer, un rôle de source du pouvoir. L’habitude a depuis été prise dans les grandes démocraties occidentales de dire que le pouvoir appartient aux représentants élus du peuple. Le temps où le pouvoir tirait sa légitimité de dieu ou de la force semble en effet révolu. Malgré tout, penser que le pouvoir est aujourd’hui aux seules mains des représentant

Lipovetsky adhère à ce genre de perspective, d'analyse. Néanmoins, selon lui il faut la reformuler dans une perspective Tocquevillienne. Cela veut dire que ce qui caractérise la démocratie c'est le fait qu'elle est pénétrée par une dynamique qui est celle de l'avènement de l'individualisme. Pour Lipovetsky, la construction de la démocratie est indissociable d'un processus de personnalisation ou ce qui est premier c'est la conquête de l'autonomie fasse aux traditions et aux institutions. La conséquence c'est

très percutantes : « il faut abolir la propriété privée, car elle est à la source de tous les maux qui affligent toutes les sociétés. À ce sujet, il faut rappeler ce que le voyageur pense de l'appropriation privée et ce qu'il a pu voir en Utopie » « les hommes ont fait des rois pour les hommes et non pour les rois. Le devoir le plus sacré du Prince est de songer au bonheur du peuple avant de songer au sien » 2/ La conception de la société selon Machiavel dans son œuvre le Prince

partielle » (Jacques Mélèse). La décision a 3 fonctions : - Permettre d’engager volontairement l’action (pas de déterminisme) - Permettre l’émergence de réaction comme par exemple la critique de la décision prise, - Permettre à la démocratie de fonctionner. Chacun, à son niveau ou dans son domaine, participe à cette prise de décision. Ainsi le gouvernement « décide » de la loi, le Parlement « décide » de la voter, et le Conseil constitutionnel « décide » de la juger non constitutionnelle

texte. Dans un second temps, nous allons voir en quoi ce texte est réellement dystopique. Enfin, nous finirons sur une mise en parallèle avec notre monde permettant la critique de celui-ci. Globalia paraît être un monde parfait et fabuleux : une utopie. Tout d’abord, le narrateur présente une société dans laquelle l’Etat pousse la population à s’épanouir, s’instruire et progresser. En effet, l’Etat semble très soucieux de son peuple : « la priorité politique allait depuis longtemps à l’épanouissement

chef bienveillant et de rassembler le peuple autour du régime stalinien. La majorité des affiches de propagande stalinienne appartiennent au courant artistique appelé le « réalisme socialiste ». Ce dernier désigne l’art officiel de l’URSS et des démocraties populaires. L’intérêt de ce courant est de créer un art compréhensible pour le peuple, dans le but de glorifier les révolutions russes, le prolétariat, les dirigeants communistes, les valeurs soviétiques… C’est un art de propagande, totalement contrôlé

ainsi que la sécurité du droit, la transparence du marché et une certaine liberté d'accès au marché (Capitalisme ). Bien que l'économie de marché pure et parfaite dans laquelle la concurrence fonctionne à 100% n'ait jamais pu être réalisée, cette utopie joue encore de nos jours un grand rôle dans les débats socio-économiques et idéologiques (Politique économique ). A l'époque préindustrielle, les corporations contrôlaient l'accès au marché et en excluaient des marchandises qui n'avaient pas été

limites de la raison : une défense d’un scepticisme pragmatique. Locke : Essai sur l’entendement humain. Rousseau : Discours sur les sciences et les arts ; Discours sur l’origine de l’inégalité ; Du contrat social. Nostalgie de l’état de nature et utopie démocratique. Kant : Idée d’une histoire universelle au point de vue cosmopolitique ; Fondements de la métaphysique des mœurs. Une référence incontournable de la philosophie morale (lecture difficile). Qu’est-ce que les Lumières ? ; Que signifie s’orienter

égalitaire au cœur de son système de valeurs. C’est le cas des démocraties qui affichent cet idéal égalitaire au nom de la justice sociale qu’elles veulent atteindre et des droits de l’homme (« Tous les hommes naissent libres et égaux… »). Il reste qu’il ne suffit pas d’afficher un objectif pour qu’il en soit effectivement un. Il ne suffit pas non plus de viser un objectif pour l’atteindre. Sans constituer une garantie absolue, la démocratie crée des conditions plus favorables à cet idéal que les autres

désigner un ensemble d’Etats ayant des intérêts économiques communs. Les Etats qui appartenaient à la grande famille du Tiers Monde hier voient désormais leurs intérêts économiques diverger. En acceptant la mondialisation des échanges, ils abandonnent utopies autosuffisantes, protectionnismes, et économies socialistes. La date la plus significative à cet égard est le passage de la Chine à l’économie de marché connectée au réseau mondial, dans les années 1970. La libéralisation des échanges accroît la