La Démocratie Moderne

SCIENCE POLITIQUE Chapitre 2 : COMMENT S'ORGANISE LA COMPETITION POLITIQUE EN DEMOCRATIE ? Les démocraties occidentales sont des démocraties dites « représentatives ». Au travers différents modes de scrutins, les citoyens choisissent des représentants censés les représenter. En effet, la représentation politique dans une démocratie doit refléter la pluralité des intérêts et des opinions des citoyens. Ce sont les partis politiques qui vont exprimer ces différences, ils sont en concurrence pour

nombre d’individu, celle-ci, avec les Modernes, s’étend progressivement à l’ensemble du peuple. Dans les conceptions politiques anciennes, la communauté politique est naturelle. Elle apparaît comme la dernière communauté, la parfaite, après les familles et les tribus. En elle, l’homme réalise le plus parfaitement son essence parce qu’il dépasse les besoins économiques pour accéder à une finalité plus haute que représente le bien commun. Pour les théoriciens modernes l’Etat résulte d’un contrat. Il apparaît

différents stades de libertés individuelles et sociales pour finalement arriver avec la démocratie actuelle qui nous apporte de nombreuses libertés et droits humains. Mais avant de pouvoir parler de nos libertés, notre démocratie et nos droits humains actuels, il est important de bien comprendre les différents événements et courants de pensées qui ont contribués à leur développement en partant des temps modernes pour finir à l’après Première Guerre mondiale. Les principaux éléments à mentionner pour

La démocratie au XIXème siècle « La démocratie, c'est le gouvernement par le plus grand nombre » nous affirme Alexis de Tocqueville, qui est un penseur politique et un écrivain français du XIXe siècle. La démocratie est un terme formé à partir de deux mots grecs à savoir «démos» qui veut dire peuple et «cratos» qui veut dire gouvernement, règne ou encore pouvoir. La démocratie est donc un régime politique ou le peuple est souverain sans qu'il y ait de distinctions de naissance, de richesse ou

La crise de l’autorité dans les sociétés contemporaines Intro : « L’autorité a disparu du monde moderne » Hannah Arendt, la doxa contemporaine : crise de l’autorité mais s’il y a crise il n’y a pas disparition. Alors la crise de l’autorité signale au contraire sa survie. Crise vient de krisis : discernement c’est le moment du choix. La crise c’est le moment le plus haut de la maladie, parosistique de la maladie. Cela signifie que l’autorité aujourd’hui bien que fragilisée, bien que contestée demeure

nos jours et des deux côtés de l'Atlantique, Bernard MANIN nous fait voyager du tirage au sort au triomphe de l'élection. Il constate l'insuffisance de notre terminologie en matière de "démocratie" et compare ce concept à celui de gouvernement représentatif. Ce dernier passe aujourd'hui pour une forme de démocratie. L'élection constitue son institution centrale. Bernard MANIN étudie à travers l'histoire certaines dispositions institutionnelles, éléments constants réglant la désignation des gouvernants

ne tend plus au bien commun, la monarchie se dégrade en :tyrannie.Quand elle ne tend plus au bien commun, l’aristocratie se dégrade en :oligarchie.Quand elle ne tend plus au bien commun, la démocratie se dégrade en :populisme.L’apparition de l’État moderne résulte de la  désacralisation du pouvoir.L’État moderne résulte de l’institutionnalisation du pouvoir, c’est-à-dire quand le pouvoir se dissocie de la personne du chef ou de sa lignée.La théorie du contrat social veut fonder la légitimité du pouvoir

Sommes-nous dirigés par des élites ? Conférences de Mario Monti « De la démocratie en Europe », pour la technocratie. Conférence de Bruno Le Maire sur la réforme démocratique « Nous vivons dans une aristocratie ». Les élites sont-elles dangereuses pour la démocratie ? Brain Storming : Pareto, Marx. Les grands corps d’Etat. La cooptation. La question des élites est-elle la question de la représentation ? N’oublions pas que le premier défenseur de la technocratie c’est Platon. « Le gouvernement

L’idée démocratique au Moyen-Âge et à la Renaissance Les mots en gras sont définis dans le glossaire. Au cours du Moyen-Âge, la démocratie est mise en veilleuse. Toutefois, l’égalité des hommes devant Dieu et l’universalisme judéo-chrétien participent au renouveau de la pensée démocratique. Plusieurs facteurs contribuent également à faire renaître l’idée de la démocratie : le déclin de la société féodale, l’émergence du capitalisme et la constitution d’une riche classe de commerçants capables de participer

souvent assimilé à l'ordre, à la puissance et au pouvoir. Une démocratie libérale conjugue démocratie et libéralisme politique qui se renforcent mutuellement. Démocratie et libéralisme reposent sur deux principes qui peuvent entrer en contradiction, égalité et liberté. Les libéraux se méfient du pouvoir absolu, quel que soit la personne qui l'exerce, que ce soit un tyran ou le peuple lui-même, le danger est dans l'absolutisme et la démocratie peut être absolue. Les penseurs libéraux contestent de même