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« La Promenade au Bois dans le roman du XIXe siècle »LA PROMENADE AU BOIS DANS LE ROMAN DU XIXe SIÈCLE Chaque époque est attachée à un lieu parisien dont la littérature s’est emparée pour l’élever au rang de topos. S’il est un lieu emblématique de la vie parisienne du XIXe siècle, c’est bien le Bois de Boulogne, omniprésent dans le roman et la nouvelle de ce siècle de révolutions successives. Le Bois – expression utilisée pour désigner l’espace vert parisien – se fait le reflet des bouleversements

difficultés : -il est difficile d’arriver à un accord sur un modèle de fonctionnement dans telle activité, tel champ. La naissance des OI est liée à une configuration particulière. Exple : l’ONU née en 1945. Les vainqueurs de WWII veulent assurer l’après-guerre. Problème concernant le conseil de sécurité de l’ONU toujours dirigé par les mêmes Etats (et ce pour des raisons historiques) -ces limites à la régulation institutionnelle ou déficit de régulation institutionnel s’explique par un équivalent interne :

métaphore "zone occupé/zone libre" de ce passage. En effet, comme sous le régime de Vichy, Rambert cherche à passer de l'autre côté : la zone occupé (par la peste) et la zone libre où l'attend la femme qu'il aime. A replacer dans le contexte de la seconde guerre mondiale (plus le camp, les "collaborateurs, profiteurs et résistant"). C'est une forme de résistance que l'on retrouve ici.   Passage sélectionné n°4 : p140   « - Oui, dit Rieux. Dix médecins et une centaine d’hommes. C’est beaucoup apparemment.

globale. D’où vient l’Histoire économique ? L’histoire économique apparaît à la fin du XIXe siècle par la rencontre de sociologues et d’économistes qui unissent leur réflexion. Car avant l’histoire était seulement politique (elle relatait les guerres, les traités de paix…). Au XIXe siècle il y a eu une mutation des sociétés occidentales (surtout France, Allemagne, Gde Bretagne) est le produit de l’industrialisation qui agit sur les sociétés. Donc afin de penser autrement cette société changée

aveuglés que nous sommes, pour beaucoup d’entre nous, par l’indulgence et la passion qui nous empêchent de juger correctement. Par conséquent, à la façon dont nous nous regardons dans un miroir quand nous voulons apprendre à nous connaître, c’est en tournant nos regards vers notre ami que nous pourrions nous découvrir, puisqu’un ami est un autre soi-même. Concluons : la connaissance de soi est un plaisir qui n’est pas possible sans la présence de quelqu’un d’autre qui soit notre ami ; l’homme qui se

bonheur à déguster sans modération. François Farout Il a terminé sa rencontre, sa main moite vient serrer la main de son adversaire. Dans un geste rapide, il revêt la veste de son survêtement afin de garder un peu de chaleur et ne pas prendre froid. Il s’essuie avec sa serviette, les traits du visage burinés par les efforts répétitifs. La sueur encore heureuse de la victoire. Il cherche en vain un second souffle, malgré le bruit incessant des balles et des cris stridents des acteurs qui continuent

construit des barrages doublés d’écluses qui maintiennent u n niveau constant. La loire est longue de 1 012 km. Son bassin s’étend sur 1/5 de la France. La Loire prend sa source dans le Massif central. Dans son cours supérieur c’est un torrent aux eaux froides, enserré dans les défilés rocheux et sauvages du Massif central ou serpentant dans de petits bassins intérieur. En aval de Nevers, aau bec d ‘Allier, son affluent de gauche, la rejoint, la Loire s’apaise. Dans le Bassin parisien elle décrit une grande

travers les visions fugitives d’un Japon ouvrant ses portes à l’Occident à la fin du XIXe siècle, puis par une curiosité envers un pays se modernisant à une vitesse prodigieuse, et ensuite sous un tout nouvel angle tragique au cours de la Seconde Guerre mondiale, moment où l’archipel, devenu ennemi, était étudié sous toutes ses coutures. À la fin des hostilités, un nouvel engouement surprenant se forme autour du miracle économique japonais et des événements qui mèneront à la fin d’une longue période

arrêtés : on qualifie cette époque de grande noirceur, aux périodes de stagnation due aux nombreuses guerres. La paix revient vers 800, vers 1800 : essor économique : les communes où se constituer, chevalerie, croisade, la bourgeoisie, les arts se développent : c'est la renaissance mais ce n'est pas encore une période sereine car il y a la guerre entre la France et l'Angleterre que l'on appelle la guerre de 100 ans vers 1308. Les institutions se mettent en place comme par exemple des ambassades.

un souffle d'antique puissance et de moisissure." (chap. 1, p. 566-7) [9] Son architecture en "forteresse" est la deuxième occurrence du mot sur 68 dans le roman, après celle de Mercanza qui servait de seuil en orientant vers la vacuité dure et froide, à l'incipit, lors du départ en voiture de la Seigneurie d'Orsenna. Dans ce mot synonyme de Conseil, le sème sème /féodalité/ de 'Seigneurie' est réactivé par l'édifice emblématique : "Passés les remparts de la vieille forteresse normande