La Firme Bancaire

pièces détachées. Donc avant d’obtenir un produit fini, les biens sont échanges. Un taux de 56% de biens manufacturés et 73% des services échanges sont des biens et des services intermédiaires. Avec seul inconvénient l’explosion du commerce intra firme. Selon les évaluations de l’OCDE, entre 2000 et 2007, il y a entre15 et 50% des exportations de filiales par des entreprises étrangères. La mondialisation des marchandises ne se joue pas « pure et parfaite » à cause de l’insistance de nombreux obstacles

des coûts, principalement l'optimisation des coûts de transport. Toujours dans le domaine de la distribution, Total a également une activité de gestion des cartes clients dédiées aux professionnels qui s'apparente à un système de gestion de cartes bancaires, lui aussi très spécifique. Toutes les branches du groupe Total utilisent les logiciels de gestion SAP. Et plus globalement dans le domaine de la pétro-chimie, SAP fait l'objet d'une implémentation unique au niveau mondial car SAP propose des processus

au profil de l’entreprise rend conflictuels les rapports entre les dirigeants et les investisseurs sur le marché financier. Selon cette théorie, ROSS considère qu’un recours à la dette est un bon signal émis aux investisseurs sur la qualité de la firme et sur ses perspectives de développement. Ce signal pourrait encourager les bailleurs de fonds à s’impliquer dans le financement de l’entreprise en leur signalant que les conditions d’environnement sont favorables et que l’entreprise sera 4 en

par la firme chinoise Cnooc et plus généralement, les lois anti-OPA prises dans les pays développés semblent plutôt aller dans le premier sens. Pourtant, les multinationales du Sud sont à la recherche de partenariats pour aborder certains marchés étrangers, soit pour des raisons technologiques ou financières, leur accès aux financements étant rendu difficile par leur caractère familial (Inde, Turquie par exemple) ou par des difficultés macro-économiques dans leur pays d'origine (crise bancaire de 1991

concernent l’histoire, l’économie et la sociologie. Les spécialistes cherchent à établir des typologies, des écoles de pensée (l’organisation mécaniste, l’organisation comme système complexe) en fonction des environnements politique et économique de la firme. Les auteurs désirent mettre à jour des modèles-types d’organisation, identifier et comprendre les mécanismes internes les plus pertinents. C’est dans ce cadre que l’on peut placer les recherches actuelles sur l’éthique, la responsabilité sociale de

Le système bancaire et financier Gunther CAPELLE-BLANCARD Conférences au Collège de Bruges PLAN Le système bancaire et financier • L’intermédiation financière • Les raisons d’être de l’intermédiation financière • Comment les systèmes financiers évoluent-ils ? Lectures • Lecture obligatoire : – Capelle-Blancard G., Couppey-Soubeyran J. et de Boissieu Ch., 2006, Le système bancaire et financier, de Boissieu Ch. (dir.), Les systèmes financiers, Economica, 2ème édition. Chapitre 2.

performances économiques et financières) de l’entreprise, la stratégie déployée par l’entreprise (et sa compétitivité), l’organisation de la firme, les acteurs de l’entreprise : les salariés, les managers, etc., ou encore sur le développement de l’entreprise. Par exemple : La stratégie est elle proche de celle des concurrents ? Dans l’environnement incertain, la firme est elle adaptable, flexible, quasi organique ? Organisation pyramidale Vs Organisation Divisionnelle : la première est rigide est donc

vient du latin « gubernare », ce qui signifie gouverner, piloter un navire. Il s’agit donc de l’art ou de la manière de gouverner, en favorisant un mode de gestion des affaires original dans un environnement marqué par une pluralité d’acteurs (une firme, un État, une collectivité locale, une organisation non gouvernementale, une association ou une instance internationale) qui disposent, chacun à des degrés divers et de façon plus ou moins formelle, d’un pouvoir de décision. La complexification de

des patrimoines (une concentration) de deux ou plusieurs sociétés, qui aboutit à la constitution d'une nouvelle entreprise ou à une prise de contrôle. Elle correspond à une baisse du nombre de firmes et une augmentation de la taille de la nouvelle firme. Il existe plusieurs types de fusions dont les conséquences au plan juridique et fiscal sont différentes. De manière générale, ces montages juridiques peuvent revêtir la forme d’une fusion-absorption, d’un apport de titres ou d’un apport partiel d’actif

optimal supposé fixe. D’où l’existence d’un taux d’endettement cible vers lequel l’entreprise devra se rapprocher le plus possible lorsqu’elle prendra des décisions de financement. On dit que le taux d’endettement cible maximise la valeur globale de la firme. Les taux d’intérêt du marché ne sont, dans la pratique, ouverts qu’aux grandes entreprises. De part leur notoriété, ces dernières ont la possibilité d’avoir un accès direct aux marchés obligataires domestiques ou euro obligataires. La plupart des