La Flexibilité Un Remède Au Chômage

L’explication de l’inflation par la demande se situe au point de vue théorique dans le prolongement de l’analyse keynésienne. Pour les tenants de cette approche, le remède à l’inflation est alors de limiter la demande, par exemple, par le biais d’une action sur les salaires ou d’une réduction du déficit public, et à augmenter la flexibilité de l’offre, comme par exemple, l’amélioration de la mobilité du travail. Une troisième grande explication réside dans la notion de l’inflation par les coûts, en

rentabilité plus forte.) En réalité ces 2 approches ne sont pas aussi antinomique qu’il n’y parait, c’est simplement une question d’angle, le holisme développe une approche macro-économique et raisonne sur des agrégats collectifs (consommation, chômage, production) alors que l’individualisme raisonne d’un point de vue micro- économique (Ex: on ne raisonne pas sur la consommation d’un ménage mais sur le choix d’un ménage). En d’autre terme l’individualisme méthodologique considère que les faits sociaux

6- L’équilibre global en économie ouverte 6.1- Exercices sur l’équilibre global et sur le taux de change nominal et effectif 7- Les prix et l’inflation - Politiques comparées de lutte- contre l’inflation 8- L’emploi et le chômage - Politiques comparées de lutte contre le chômage 9- La politique économique - Fiscalité - Dette publique - Investissement public 10- La politique économique - Politique monétaire et du crédit Examen final (3h) Travaux préparatoires - Compte rendu sur l’actualité (CRA*)

quasi instantanée de toutes les informations utiles pour améliorer l'efficacité collective. La spécialisation y est poussée au point de produire des biens avec un degré élevé de performance et l'absence de formalisme administratif autorise une flexibilité extrême et une adaptation en temps réel de la production aux fluctuations de la demande. D'autres pans du secteur informel relèvent plus d'une économie dont les produits sont de très faible valeur. La précarité dans laquelle se retrouvent les personnes

des 1970’s apporterait le début de la Phase B. Pourtant un tel prolongement pose problème. Les mouvements de prix ne constituent plus un indicateur de retournement de la conjoncture. En effet, après 1973, on a la stagflation c’est-à-dire du chômage (stagnation de l’activité économique) et de l’inflation. Si on prend le taux d’intérêt réel comme indicateur, les Trente Glorieuses sont bien une période de faibles intérêts réels tandis que la crise contemporaine (depuis les 1970’s) est marquée par

l’approche par compétences découle en droite ligne de la théorie du Capital Humain et du mouvement des Ressources Humaines : «les compétences nécessaires pour participer à la croissance économique (...) exigent de la capacité d’adaptation, de la flexibilité et de la souplesse» [VLOR 2008b]. Certes, le Vlaamse Onderwijsraad souligne à l’occasion que sa vision de l’approche par compétences n’est pas exclusivement dictée par des considérations économiques. Il insiste même régulièrement sur la nécessité

rédige avec Hubert Henderson une brochure intitulée Can Lloyd George Do It (Est-ce que Lloyd George a des chances de réussir ?) pour soutenir les mesures prévues dans le document du parti libéral, We can Conquer Unemployment (Nous pouvons vaincre le chômage). Finalement, le Parti libéral perd les élections et c'est le travailliste Ramsay MacDonald qui revient au pouvoir en 1929 avec Snowden comme chancelier de l'Échiquier qui continueront la politique déflationniste initiée par Winston Churchill qui

d'ajustements structurels qui ont réduit les dépenses de santé et d'éducation et condamné un grand nombre de salariés au chômage, comme les crises asiatique et argentine l'ont montré. La globalisation génère une instabilité locale dans le système, dont les pauvres sont les premières victimes. La compétition mondiale a conduit les Etats à réduire la sécurité de l'emploi et à étendre la flexibilité. Insécurité de l'accès aux biens publics tels que santé, éducation, justice, administration, aggravée par la pauvreté

social dans le contexte d’une globalisation de l’économie qui augmente les interdépendances en matière d’échange entre les nations. A l’échelle nationale, le Maroc semble aujourd’hui impliqué dans des problèmes économiques et sociaux avec un taux de chômage urbain 19% et un taux de pauvreté atteignant 20% de la population, soit 7 million du total de la population marocaine, sur fond d’un déficit budgétaire structurel, dés lors que les exigences du développement font ressentir plus vivement la fragilité

Bibliographie………………………………………………………………………………p 17 Introduction Lors d’un discours devant l’assemblée nationale en octobre 2009, Xavier Darcos alors ministre du travail déclarait « Il y a pire que le stress au travail, il y a le stress au chômage. Le gouvernement reste convaincu que la première des valeurs sociales est d’avoir droit à un travail » En France et dans de nombreux pays et surtout au sein des sociétés industrielles, le travail occupe une place importante. En effet, il est