La Focalisation Dans Les Ames Grises

Joséphine. Il se prend pour un salaud car il n’arrive même pas a se souvenir du visage de celle qu’il a toujours aimé. Joséphine lui explique qu’elle n’a jamais vu ni de saints ni de salaud et que rien n’est tout noir, ni tout blancs, mais c’est le gris qui gagne. ( Cette phrase est importante pour la suite du passage car elle justifie le titre du roman). Le narrateur nous explique tout ce qui se passe dans sa tête parce qu’il repense à Clémence quand elle tricotait dans la chambre pendant qu’il discutait

Les âmes grises et la petite fille de Monsieur Linh ont tous les deux été écrit par Philipe Claudel en 2003 pour le premier et 2005 pour le second. L’un décrit l’enquête que fait le narrateur sur un meurtre ayant eu lieu dans le passé, l’autre décrit l’histoire d’un homme exilé dans son nouveau pays d’accueil. On pourrait alors croire que ces deux romans n’ont aucun lien apparent, bien au contraire ils sont étroitement liés et les sujets qui tiennent à cœur l’auteur sont repris dans les deux récits

contemporain, est célèbre pour « les âmes grise ». Le titre est emblématique de l'œuvre, grâce a ce titre, Claudel refuse une vision du monde manichéisme. Comment, derrière un incipit traditionnel, Claudel entretien t-il le mystère ? I Un incipit informatif a) Des renseignement attendus Incipit répond au questions de base : qui, où; quand, comment. Narrateur = pers de l'histoire (Narrateur intradiégétique). Pers principal : « je » donc focalisation externe : narrateur témoin. Impression

Les structures narratives dans Les Ames grises De Philippe Claudel Introduction « Les Âmes grises » est un roman qui a reçu le prix Renaudot en 2003. Il a été salué pour son classicisme dans l’écriture mais aussi pour sa modernité. Une modernité due à sa structure narrative particulière parce que le roman est le témoignage d’un protagoniste du récit. Ce témoignage est brut, guidé par l’émotion du narrateur. Cette émotion pousse le narrateur à faire des ellipses, des digressions qui rendent

Séquence pédagogique : Philippe Claudel, La petite fille de Monsieur Linh Philippe Claudel, La petite fille de Monsieur Linh Le Livre de Poche no 30831, 192 pages. L’auteur Philippe Claudel a écrit de nombreux romans, parmi lesquels Les Âmes grises, qui a reçu en 2003 le prix Renaudot, en 2004 le Grand Prix des lectrices de Elle, et a été traduit dans trente langues. La petite fille de Monsieur Linh est paru en 2005. Le Rapport de Brodeck a été couronné du prix Goncourt des lycéens en 2007

récit remarquées grâce à l'impératif « Mettez cette tête sur un corps fluet et débile... »). Dans cette situation narrative, le narrateur en sait bien davantage que les personnages qu'il a créés : le récit est qualifié comme non-focalisé ou en focalisation zéro. Certes, d'entrée de jeu, l'auteur ne nous dit pas tout ce qu'il sait, pour mieux ménager le suspens dans son roman d'intrigue. L'intérêt littéraire naît précisément du fait de cette part de mystère présente dans les premières lignes de ce

Librement adapté du conte de Gustave Flaubert SOMMAIRE Introduction Construction d’un horizon d’attente Les étapes d’une vie Dire et montrer les passages du temps Un portrait double : La servante - La maîtresse «Je veux apitoyer, faire pleurer les âmes sensibles» De la «femme en bois» à la femme de désir Le monde selon Félicité Un cœur saint Questions d’esthétique Un cœur simple aujourd’hui Introduction : le cadre pédagogique Le texte : Un Cœur simple est un récit court du XIXe siècle, que le titre

abîmes. Elle place le spectateur directement face à la scène, sans aucun artifices pour distraire sa vision. On peut également noter le fait que l’espace pictural se prolonge mais qu’aucun personnage n’est coupé ce qui crée une focalisation de la scène. Cette focalisation donne, par ailleurs, une impression de concentration, d’étouffement même, que l'artiste exprime par le manque de lumière de la scène, qui est certainement eclairée avec une faible bougie. Le spectateur est donc un témoin impuissant

ANALYTIQUE Vers 30 à 50 : le tronc, avec successivement les seins, le ventre, le dos, la nuque, les hanches, les fesses (suivaient, à l’endroit de la coupure, quelques vers sur le sexe... dont j’ai préféré épargner la lecture à vos jeunes et chastes âmes !) aucun élément qui donnerait une unité aux phrases : ce sont toutes des phrases nominales (sans verbe), construites sur des appositions. Cette construction permet de reproduire la rapidité d’association de l’inconscient, qui n’est jamais entravé

personnage : - son identité : exemples, les romans de Balzac, de Zola, texte D (§ 2) - son portrait : exemples, Mme Vauquer dans Le Père Goriot, Julien dans Le Rouge et le Noir, Mme de Clèves dans La Princesse de Clèves ou P. A. Destinat dans Les âmes grises. - son histoire et son évolution : par exemple, tous les romans d’éducation, comme Une Vie de Maupassant, qui relatent soit une réussite comme celle de Duroy dans Bel Ami soit une déchéance comme celle de Gervaise dans L’Assommoir ou du Père Goriot