La Folie D Oreste

ensemble de 15 dossiers numérotés de «1:1» à «1:15» 1:1 TITRE : «Interview with Mexican journalist for publication in Mexican magazine» LANGUE: Français AUTEURS: Manuel Osorio et Michel Foucault DATE (LIEU): 1976 (inconnu) PAGES: 21 pages DESCRIPTION: folie, occident/orient, médecine, capitalisme, direction de conscience PUBLICATION: ce texte initialement paru dans la revue espagnole Quadernos para el dialogo (nov. 1977) a été traduit et publié en français sous le titre «Le pouvoir, une bête magnifique»

Celui-ci eut deux fils : Agamemnon et Mélénas. Le dernier épousa pour son malheur et celui de tous les Grecs la belle Hélène. Le premier épousa Clytemnestre dont il eût quatre enfants : Oreste, Iphigénie, Électre et Chrysothémis. Iphigénie fut sacrifiée à Poséidon pour que l'expédition contre Troie soit possible, Oreste et Électre s'associèrent pour tuer leur mère qui avait assassiné Agamemnon à son retour victorieux d'Ilion. La malédiction ne prit fin qu'avec l'intervention de la déesse Athèna. Mais

mettant Electre au centre des préoccupations. Giraudoux, lamento 1. entre tradtion et modernité 2. un personnage du peuple 3. une solitude pathétique Voir plus haut Le premier acte s’achève sur un long monologue du mendiant tandis qu’Electre et oreste sont endormis. Le jardinier profite de l’entracte pour venir s’adresser directement aux spectateurs. Le lamento du jardinier a une fonction dramatique importante qui permet la transition entr e2 actes. Le personnages, écarté de l’énigme et abandonné

Les Furies étaient les divinités du monde infernal dans la religion romaine, très tôt assimilées aux Erinyes grecques, divinités de la vengeance, filles de Gaïa et d’Ouranos (Mégère, Alecto et Tisiphone). Les Erinyes, à la suite du procès acquittant Oreste, devinrent les Euménides (les Bienveillantes auxquelles un culte fut rendu à Athènes) (3) l’engeance humaine serait bientôt sous l’autorité du domaine des Enfers (4) Formule homérique (5) Le serment par le Styx (fleuve des Enfers) est le plus terrible

sud. Zeus appela les Dieux de tous les fleuves, de toutes les rivières, de tout les cours d'eau et leur demanda de se répandre sur la Terre et de recouvrir entièrement les maisons, les villes, les monuments et les montagnes afin qu'ils nettoient la folie des hommes. Quelques-uns qui ne s'étaient pas noyés essayèrent de se sauver mais la faim les foudroya. Tous les animaux aussi périrent, de fatigue ou de faim. Lorsque la Terre devint une immense mer, Zeus aperçut un petit bateau dans lequel s'étaient

la ramène et commence à vivre u bonheur immense. Mais c’est en allant en congé à Akounougbé qu’elle va rencontrer la mort en se noyant dans le fleuve durant la traversée malgré les efforts surhumains de son mari. Celui-ci va presque sombrer dans la folie. Etude suivie à partir de quelques extraits Ebinto n’avait que deux amis Koula et Bazié. « Chez moi, le rêve côtoie la réalité et corrige ses côtés négatifs ; Et je ne rêve pas, je vois la vie autrement », dit Ebinto à son amie Monique. (p.19)

- »vengeance préalable »,  « avant-goût de supplice » (l.12) : sadisme des accusateurs, c'est-à-dire plaisir à faire souffrir. - »de telles furies » (l.15) : connote la folie incontrôlable. -répétition « n'arrêtent rien » (l.51) et « n'arrêta rien » (l.52) : le sort de Grandier est décidé. -  « la rage de ses ennemis » (l.53) : folie des accusateurs. -  « la seconde fois » (l.54) : supplice des aiguilles pour trouver la marques du Diable. -  « sans attendre le bourreau » : mort précipitée de Grandier

vous, contre tous, duc, je le défendrai. DON RUY GOMEZ, immobile. Défends-le si tu peux contre un serment juré. DONA SOL Quel serment ? HERNANI J’ai juré. DONA SOL Non, non rien ne te lie ! Cela ne se peut pas ! Crime ! Attentat ! Folie ! DON RUY GOMEZ Allons duc ! Hernani fait un geste pour obéir. Doña Sol cherche à l’entraîner. HERNANI Laissez-moi, Doña Sol. Il le faut. Le duc a ma parole, et mon père est là-haut ! DONA SOL, à don Ruy Gomez. Il vaudrait mieux pour

pour des sujets possibles”25. La folie, par exemple, - disait-il - a historiquement été un de ces foyers autour desquels s’est formée une série de savoirs : il y a eu la folie comme matrice de connaissances médicales, psychiatriques et psychologiques, la folie comme ensemble de normes qui permettait de découper la folie comme déviance au sein de la société, il y a eu un certain type de comportement des gens vis-à-vis des individus fous et l’expérience de la folie de la part des fous eux-mêmes. Donc

supérieur en tout aux autres poètes, l'a encore été dans cette partie, où il a jugé mieux qu'eux, soit par la science de l'art, soit par son bon sens naturel. Il s'est bien gardé d'employer dans son Odyssée toutes les aventures d'Ulysse, comme sa folie simulée, sa blessure au mont Parnasse, dont l'une n'est liée à l'autre ni nécessairement ni vraisemblablement. Mais il a rapproché tout ce qui tenait à une seule et même action, et il en a composé son poème. Il a suivi la même méthode dans son Iliade