La Fontaine De Sang De Baudelaire

siècle Etude d’une œuvre intégrale : Les Fleurs du Mal de Charles Baudelaire (1857) Parcours : l’alchimie poétique, la boue et l’or. Problématique : en quoi l’écriture poétique transfigure-t-elle le réel ? Perspectives d’étude : histoire du genre poétique et plus spécifiquement du XIXème siècle. La vie et l’œuvre de Baudelaire. La genèse, les sources et le procès des Fleurs du Mal . La structure

été pour la littérature française une époque fabuleuse , qui commence avec Balzac, et, passant par les deux périodes les plus brillantes, celle de la jeunesse de Descartes, de Corneille ou de Molière et avec maturité de Boileau , de Racine , de La Fontaine , de Sévigné .Ce siècle est marqué en littérature par deux courants importants, le Baroque et le Classicisme.Le Classicisme cultive le bon goût de l'élégance , c'est le retour des règles strictes. Le mot Baroque vient du portugais «barroco»

différence de l’assonance, le terme « allitération » est réservé aux répétitions de consonnes. Exemples : « Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes ? » (Racine, Andromaque, V, 5) ou encore « La chasseresse sans chance / de son sein choie son sang sur ses chasselas » (Desnos, Corps et biens, « Chanson de chasse »). Amplification n.f : L’amplification se fonde sur une gradation entre les termes d’une énumération ou dans la construction d’un paragraphe. Amphigori.n.m : discours écrit confus

trois cl‚s qui ouvrent tout : le chiffre, la lettre et la note." "Savoir, penser, rêver. Tout est là...." "Le poète, en des jours impies, Vient préparer des jours meilleurs. Il est l'homme des utopies, Les pieds ici, les yeux ailleurs." Baudelaire : Théophile Gautier (1859) "La Poésie (...) n'a pas d'autre but qu'Elle-même. (...) Le principe de la poésie est, strictement et simplement, l'aspiration humaine vers une Beauté‚ supérieure, et la manifestation de ce principe est dans un enthousiasme

d'endroits d'iceux mon cœur tâtant, Ô mille morts en mille rets tendues, N'en est sur toi volé quelque étincelle. Ô pires maux contre moi destinés !   Maurice Scève (1500-1562) Au moins toi, claire et heureuse fontaine Au moins toi, claire et heureuse fontaine, Et vous, ô eaux fraîches et argentines, Quand celle en vous - de tout vice lointaine - Se vient laver ses deux mains ivoirines, Ses deux soleils, ses lèvres corallines, De Dieu créées pour ce monde honorer

mourir, Vois-les marcher, vois-les courir A des morts, il est vrai, glorieuses et belles, Mais sûres cependant, et quelquefois cruelles. J'ai beau te le crier ; mon zèle est indiscret : Le plus semblable aux morts meurt le plus à regret. Jean de LA FONTAINE, Fables, Livre VIII, La Mort et le Mourant, 1678 Ma jeunesse ne fut qu'un ténébreux orage,Traversé çà et là par de brillants soleils ;Le tonnerre et la pluie ont fait un tel ravage,Qu'il reste en mon jardin bien peu de fruits vermeils.Voilà que

les plus connus (on peut être élégiaque en sonnets....) : les Antiquités de Rome (au titre repris de Properce ; c’est une déploration de la grandeur romaine, premier grande exemple de la « poésie des ruines et des tombeaux ») et les Regrets. La Fontaine est aussi un élégiaque. L’élégie du XVIII° siècle culmine avec André Chénier (le grand nom de la poésie française de la fin du XVIII° siècle, guillotiné en 1794), dont l’œuvre poétique ne sera publiée qu’en 1820 par Henri de la Touche. C’est alors

achevées. 4-Finir la lecture et mise en fiche de la partie du manuel scolaire consacrée au genre du roman (parcourir rapidement les pages et noter uniquement les connaissances et conseils de méthode pouvant être réutilisables). 5-Se renseigner sur Baudelaire et son œuvre (faire des fiches), et sur la notion d’alchimie (car l’axe d’étude sera : « Alchimie poétique, la boue et l’or ». 6-Commencer à lire le recueil poème après poème, en se faisant une fiche dessus : en notant pour chacun non seulement

rayons importuns,  Et sous les plis épais de la pourpre onctueuse  La lumière descend molle et voluptueuse :  Quelques-unes, brisant des couronnes de fleurs,  D'une hâtive main dispersent leurs couleurs,  Et, les jetant en pluie aux eaux de la fontaine,  De débris embaumés couvrent leur souveraine,  Qui, de ses doigts distraits touchant la lyre d'or,  Pense au jeune Consul, et, rêveuse, s'endort. A deux beaux yeux (GAUTIER) Vous avez un regard singulier

temps Il est arrivé près de l'eau Il a plongé son visage Il riait de joie il a bu Pourvu qu'ils me laissent le temps Il s'est relevé pour sauter Pourvu qu'ils me laissent le temps Une abeille de cuivre chaud L'a foudroyé sur l'autre rive Le sang et l'eau se sont mêlés Il avait eu le temps de voir Le temps de boire à ce ruisseau Le temps de porter à sa bouche Deux feuilles gorgées de soleil Le temps de rire aux assassins Le temps d'atteindre l'autre rive Le temps de courir vers la