La Fontaine Et Les Courtisans

nature chez Lafontaine I)Des animaux types 1) Une société typisée Société = animaux type : -Lion représente le roi (« Les animaux malades de la peste », « La cour du lion » …) -Personnages comme renard, singe, ours, chat, etc… représente courtisans (« Le lion le loup et le renard » (VIII, 3) « le chat et le renard » (IX, 14) -Personnages comme l’âne, le lapin, le rat, etc … représente le peuple naïf et victime (« Les animaux malades de la peste » (VII, 1) « Le chat la belette et le petit

jugement. Le portrait partage avec la fable une esthétique de la brièveté ainsi que le souci de plaire et instruire. De même que La Fontaine revendique l’inspiration des Anciens, La Bruyère prolonge Les Caractères du Grec Théophraste tout en manifestant un intérêt prononcé pour le mot d’esprit, le rythme des phrases, le choix des mots. Il reproche aux courtisans leur arrivisme, leur orgueil, leur hypocrisie et leur manque de moralité. Rompant avec les portraits de types sociaux et les courtes

Dissertation. La Fontaine a évoqué sa contribution personnelle en déclarant qu’il y avait mis la gaieté. Il dit "Je n'appelle pas gaieté ce qui excite le rire, mais un certain charme; un air agréable qu'on peut donner à toutes sortes de sujets, même les plus sérieux. "  êtes-vous d’accord avec cela ? Nous allons essayer de comprendre et d'illustrer la nuance que l'auteur apporte à ses propos et ce qu'ils suscitent chez le lecteur. En quoi Jean de la Fontaine a t-il apporté sa contribution

Jean de La Fontaine, Fables, Les obsèques de la lionne. Nous avons réussis à dégager trois problématiques de ce texte : La première a pour but de montrer comment les animaux mettent-ils en scène leur fausses comédie au près du roi ; La seconde vise à montrer quel est la stratégie du cerf pour sauver sa peau ; La dernière veut montrer quelle est la satire généralisée de ce texte. Voici le plan que nous avons choisit pour répondre à ces 3 problématiques : Nous allons dans un premier axe, parler

Le pouvoir des fables (1668) De Jean de La Fontaine C’est un hommage à Mr de Barillon, ambassadeur de France en Angleterre, chargé de préserver la paix entre les deux pays. Nous sommes ici dans un contexte politique et diplomatique. Problématique : En quoi la fable est-elle une véritable leçon de diplomatie ? Les fables parlent des fables. On parle de métalangage quand les mots définissent les mots (exemple : dictionnaire, livre de grammaire). C’est une forme de

et solennelle vis à vis de sa majesté. Nous pouvons apercevoir les formes plurielles pour les citations « les édifices publics », « les marchés » et « les fontaines » aux ligne 94 et 95 qui ont pour but de mettre l’accent sur l’abondance de ce village. La description invraisemblable de certains aspects de la ville aux lignes 96 et 97 : « fontaine d’eau de rose » et « liqueur de canne de sucre » dévoilent un aspect extravagant du décor qui nous rappelle une fois de plus que cette utopie n’est pas réel

est le juge suprême qui prend les décisions, on peut comparer son discours avec celui d’un roi dictant ses lois. II Un regard critique sur la Cour 5) Le défaut principal mit en avant par le discours du renard est la flatterie excessive des courtisans envers leur roi. L34 : « Sire, dit le renard, vous êtes trop bon roi »=> hyperbole, il exagère pour impressionner le lion. Il excuse tous les tords du roi : « et bien, manger mouton, canaille et sotte espèce »l36 => gradation, le renard blâme les

La Fontaine, Les grenouilles qui demandent un roi (Commentaire composé)   Introduction :   « Fables choisies mises en vers par Monsieur de La Fontaine » : par ce titre modeste, le poète se présentait comme le continuateur des fabulistes anciens, Esope et Phèdre. Phèdre situe la fable dans un contexte historique précis avant de raconter l'anecdote elle-même qui met en scène Esope. Avec La Fontaine, on a donc la réécriture d'une réécriture. Dans "Les Grenouilles qui demandent un Roi" (1693), nous

Il avait la particularité d'être laid, bossu et ayant à peine une figure humaine. La Fontaine s'inspira des fables de Ésope pour composer les siennes. Phèdre : Phèdre est un écrivain grec (15 av. J.-C. à 50 apr. J.-C.) qui fut esclave à Rome étant jeune avant d'être affranchi par l'empereur Auguste. Il écrivit ensuite 5 livres de fables et donc au total 132 fables où il s'inspira fortement d’Ésope. La Fontaine s’inspira aussi des fables de Phèdre pour composer les siennes. Pilpay : Pilpay est

une idée où une société. Les mythiques Fables de la Fontaines ont souvent pour but de critiquer celles-ci, mais implicitement, en symbolisant les vraies personnes comme le roi où la cour par exemple à des animaux, comme dans « la cour du Lion », où Jean de la Fontaine emploi du registre satirique pour critiquer le roi et ses courtisans, en sachant que le roi est bien entendu représenté par le Lion. L'auteur veut montrer la stupidité des courtisans à imiter le roi pour en être apprécié. Dans beaucoup