La Fureur De Vivre

comparaison avec Hercule à la fin. Le « je » unifie l’ensemble du poème même dans le premier tercet mais l’anaphore de « jà » en début de propositions qui montre l’effort d’élévation de l’âme. Le poème parle du travail poétique, de la fureur poétique. La fureur poétique a été remplacée par l’inspiration par la suite. L’idée du travail n’est pas vraiment dite dans le premier quatrain mais c’est plutôt le feu, la femme. Sonnet écrit en décasyllabes mais la rupture entre les quatrains et les tercet

lucidité et le trouble, la soumission et la fureur Phèdre oscille entre la force qui l’entraîne et le désir d’y voir clair en elle, de mettre de l’ordre dans son esprit et sa conduite. Elle est capable d’analyser les manifestations du mal qui la ronge, de juger ses actions passées. Elle est tout aussi capable, au moindre signe d`espoir, de tout mettre en œuvre pour arriver à ses fins, se livrant tout entière à la passion qui l’habite. "Sers ma fureur Œnone, et non point ma raison" "Fais ce que

fin de la pièce du déplorable avenir qu'il leur offre. Si ses craintes pour ses fils sont moindres : " [...] les garçons, Créon, ne te mets pas en souci pour eux. Ce sont des hommes, ils ne seront jamais à court, où qu'ils soient, pour avoir de quoi vivre." et c'est surtout pour ses filles qu'il s'inquiète; il craint qu'elles ne subissent trop les conséquences de la faute de leur père et qu'elles doivent assumer la honte que leur a imposée leur naissance : " [...] Et quand vous serez en saison de vous

sombrer, c’est celui que fait mon sac en tombant. - - Livie. Je ne l’ai plus revue depuis mon séjour à l’hôpital. C’est là que j’ai mis fin à notre amitié. Elle sanglotant qu’elle était désolé et moi lui demandant de ne plus jamais revenir. La fureur gronde en moi. Si elle ne m’avait pas amené là-bas, je n’aurais pas vécu cela. Je serais sûrement à l’Université, en dernière année. Près d’obtenir mon diplôme. Bon sang, j’ai besoin de frapper quelque chose. Je me dirige vers la d’entraînement. -

SUPPLÉMENT AU VOYAGE DE BOUGAINVILLE DIDEROT INTRODUCTION : Supplément au voyage de Bougainville, de Diderot, est conçue comme un dialogue opposant deux façons de penser, de vivre. Elle soulève également le problème du colonialisme et célèbre la vie sauvage par rapport à l'homme civilisé, ici dénigré. Dans cet extrait, Denis Diderot met en scène un vieillard qui se présente comme étant indifférent au départ des blancs. Au moment de ce départ, il prononce un discours violent divisé en deux parties :

Introduction Cette œuvre est conçue comme un dialogue opposant deux façons de penser, de vivre. Il soulève également le problème du colonialisme et célèbre la vie sauvage par rapport à l'homme civilisé ici dénigré. Ce texte met en scène un vieillard qui se présente comme étant indifférent au départ des blancs. Au moment de ce départ, il prononce un discours violent divisé en deux parties : dans la première il s'adresse tout d'abord aux tahitiens puis dans la deuxième il s'adresse directement

lucidité et le trouble, la soumission et la fureur Phèdre oscille entre la force qui l’entraîne et le désir d’y voir clair en elle, de mettre de l’ordre dans son esprit et sa conduite. Elle est capable d’analyser les manifestations du mal qui la ronge, de juger ses actions passées. Elle est tout aussi capable, au moindre signe d`espoir, de tout mettre en œuvre pour arriver à ses fins, se livrant tout entière à la passion qui l’habite. "Sers ma fureur Œnone, et non point ma raison" "Fais ce que

« la douche ininterrompue d'une lumière étincelante » (l.6) : métaphore liquide qui fait référence aux rayons du soleil tombant sur la mer, et qui en suggère la profusion (connotation quantitative)=> face à ce spectacle, Camus a l’impression de vivre une expérience de l'ordre du sacré (cf Colette et le lever du soleil) - célèbre un moment unique, exceptionnel  : > « comme il arrive une ou deux fois seulement dans des vies » (l.2) : ce

La fin de ce dernier est soulignée par le sens propre du mot « Assassiné » qui est associé directement à la perte de son argent. Ce n’est pas exagéré, mais c’est la réalité d’Harpagon, il valorise tant son argent au détriment de sa vie. Pour lui, vivre sans son argent c’est impossible, cela décri bien son excès d’amour pour ce dernier. Aussi le sens propre de la citation « on m’a coupé la gorge » symbolise qu’Harpagon et son argent font un, ce qui permit l’association du meurtre et vol. Ensuite,

jour, le comte rencontre un ermite qui lui reproche sa conduite et lui prédit qu’il sera transformé en renard les jours de pleine lune. Robert de Florange profite de la métamorphose de Renaud pour lui voler sa femme et ses biens. Renaud apprend à vivre dans la forêt et ses dangers. Il se repent de sa conduite passée mais il restera renard jusqu’à sa mort. 5 Complète par VRAI ou FAUX. VRAI FAUXQu’as-tu pensé de ce livre ? Entoure ta réponse. NOM . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .