La Fureur du dragon

Phryxus. Le roi Aeétés accepta de remettre la toison d’or à Jason à la condition qu'il impose le joug à deux taureaux monstrueux aux sabots d'airain, qui soufflent le feu par les naseaux. Il leur fera labourer un champ, y sèmera les dents d'un dragon. Surgit alors des hommes en armures que Jason devra terrasser. C'est alors que Médée donne à Jason un baume magique. Il s'en enduit le corps et devient invincible. Quand ils arrivèrent à Lolcos, Jason voulut reprendre le trône en remettant à Pélias

Neptune. On peut également signaler que l'apparition du monstre relève du merveilleux. En effet, il a plusieurs apparences : il est à la fois taureau de par ses « cornes », serpent de par sa façon de se mouvoir, en faisant des « replis tortueux » et dragon de part le fait qu'il « présente une gueule enflammée » (v. 36). De plus, il est tellement puissant qu'il est craint aussi par les éléments : aux vers 25-27 on peut noter que le ciel voit « avec horreur […] ce monstre sauvage » que la terre ne peut

son retour. Désespoir et fureur de Thésée. Pour preuve de son innocence, Hippolyte lui révèle qu'il aime Aricie. Thésée ne le croit pas. Honteuse et repentante, Phèdre accourt pour lui révéler la vérité. Mais elle apprend par la bouche d'Œnone qu'Hippolyte aime Aricie. Jalouse, elle décide de ne rien dire. Malgré l'intervention d'Aricie, Thésée demande à Neptune de punir son fils. Le suicide d'Œnone, désespérée de se voir condamnée par Phèdre, le trouble. Trop tard. Un dragon, surgi de la mer sur ordre

toute leur fureur. » – 11 – Il ordonne : les fleuves partent, et désormais sans frein, et d'un cours impétueux, ils roulent dans l'océan. Neptune luimême frappe la terre de son trident ; elle en est ébranlée, et les eaux s'échappent de ses antres profonds. Les fleuves franchissent leurs rivages, et se débordant dans les campagnes, ils entraînent, ensemble confondus, les arbres et les troupeaux, les hommes et les maisons, les temples et les dieux. Si quelque édifice résiste à la fureur des flots

Discobole 79. L’Expurgation de Merlin 80. Les Volontaires 81. Polymorphie 82. Décibels nocturnes 83. La Fête de l’hiver 84. Gladiator 85. La Blessure mortelle 86. Le Dragon des tunnels 87. Retour de campagne 88. L’Escorte 89. Tel un chevalier 90. La Pâte d’amande 91. La Fureur du dragon 92. Vox populi 93. Unagi 94. L’Éclaireur 95. Lacrimosa 96. La Quête des deux renards 97. Agnus Dei 98. Le Tourment 99. La Retraite 100. La Vraie Nature du Graal

unique de Jean-Charles de Senneterre et de Marie-Marthe de Saint-Pierre, fille d’Henri dit marquis de Saint-Pierre, Henri-Charles fait donc partie de la haute aristocratie. Son père fût successivement lieutenant, capitaine et colonel du régiment des dragons de Senneterre et servit à Turin comme ambassadeur en 1703 et 1704. Ayant exercé de nombreuses fonctions militaires, Jean-Charles fût élevé au grade de lieutenant général des armées du roi. Il dirigea d’ailleurs nombreuses opérations aux services du

laurier approuva de ses branches à peine formées et on le vit agiter sa cime comme un signe de tête. HYMNES HOMERIENS Et il y avait, auprès, une source aux belles eaux, où le Roi fils de Zeus tua, à l'aide du nerf solide de son arc, un dragon femelle, monstre énorme, long et horrible, qui, sur la terre, faisait des maux sans nombre aux hommes, et, autant qu'à eux, à leurs brebis aux longs pieds, car c'était un fléau sanglant. Et, autrefois, l'ayant reçu de Hèrè au thrône d'or, elle

redoutable, fruit des amours d’Echnida la Vipère et d’Orthros (son propre fils !) comme le Sphinx de Thèbes (alors qu’eurent pour père Typhon avec la même Echnida : le chien Cerbère, Méduse, Chimère, le dit   chien bicéphale Orthros, l’Hydre de Lerne, le dragon Ladon et l’aigle dévorant Prométhée) la bête terrorisait la vallée de Némée. Quasi invulnérable du fait de la résistance de sa peau, il résista aux flèches et à la massue d’Héraclès qui dut l’étrangler à mains nues. Bouchant l’une des deux entrées

Dieu donna à Adam une nouvelle compagne : Eve, qu’il créa à partir de la chair de l’homme afin qu’elle lui obéisse. Au Moyen Age, cette légende impressionna les communautés juives, notamment en Allemagne. Les amulettes pour détourner Lilith de sa fureur furent une protection essentielle pour les enfants nouveaux nés. Que penser de ce texte ? L’implantation du Judaïsme ne s’est pas fait dans des terres vierges, il y avait avant lui d’autres religions. En ces temps, la place de la femme était

commencement que je commencerai. Je t'ai sauvé, comme le savent tous ceux des Grecs qui se sont embarqués avec toi sur le navire Argo. On t'avait envoyé pour soumettre au joug les taureaux au souffle de feu et ensemencer les sillons de la mort. Or le dragon qui enveloppait la Toison d'or de ses mille replis tortueux et la gardait sans jamais dormir, je l'ai tué et j'ai levé pour toi le flambeau du salut. Moi-même j'ai trahi mon père et ma maison et je suis venue à la ville du Pélion, à Iôlcos, avec toi