La Geste des Princes-Démons

mirettes, que je reconnais à leur effrayante malice! Elles attirent, elles subjuguent, elles dévorent le regard de l'imprudent qui les contemple. Je les ai souvent étudiées, ces étoiles noires qui commandent la curiosité et l’admiration. A quel démon bienveillant dois-je d'être ainsi entouré de mystère, de silence, de paix et de parfums? O béatitude! ce que nous nommons généralement la vie, même dans son expansion la plus heureuse, n'a rien de commun avec cette vie suprême dont j'ai maintenant

terribles mirettes, que je reconnais à leur effrayante malice! Elles attirent, elles subjuguent, elles dévorent le regard de l'imprudent qui les contemple. Je les ai souvent étudiées, ces étoiles noires qui commandent la curiosité et l’admiration. A quel démon bienveillant dois-je d'être ainsi entouré de mystère, de silence, de paix et de parfums? O béatitude! ce que nous nommons généralement la vie, même dans son expansion la plus heureuse, n'a rien de commun avec cette vie suprême dont j'ai maintenant

frais et légers éclairés par des lustres Qui versent la folie à ce bal tournoyant ; Goya, cauchemar plein de choses inconnues, De foetus qu'on fait cuire au milieu des sabbats, De vieilles au miroir et d'enfants toutes nues, Pour tenter les démons ajustant bien leurs bas ; Delacroix, lac de sang hanté des mauvais anges, Ombragé par un bois de sapins toujours vert, Où, sous un ciel chagrin, des fanfares étranges Passent, comme un soupir étouffé de Weber ; Ces malédictions, ces blasphèmes

permanent du Bien et du Mal formait un ensemble trop logique et cohérent, pour ne pas séduire les esprits. Les puissances mauvaises, séparées du dieu lumineux et bon, donnaient une explication d’un monde qui paraissait entièrement soumis à l’Empire des démons. Peu importe que cette explication fût vraie ou fausse. C’en était une et c’était la première. Auparavant, les hommes ne comprenaient pas la conduite des dieux, qui paraissaient s’acharner à leur créer une vie de misère et de fatigue. De plus, Zoroastre

permanent du Bien et du Mal formait un ensemble trop logique et cohérent, pour ne pas séduire les esprits. Les puissances mauvaises, séparées du dieu lumineux et bon, donnaient une explication d’un monde qui paraissait entièrement soumis à l’Empire des démons. Peu importe que cette explication fût vraie ou fausse. C’en était une et c’était la première. Auparavant, les hommes ne comprenaient pas la conduite des dieux, qui paraissaient s’acharner à leur créer une vie de misère et de fatigue. De plus, Zoroastre

Étant suprême et créateur, Brahma est le maître de la Terre. Il est le premier Dieu de tous les Dieux et il donna naissance à tout ce qu’il existe. Afin de créer tout cela, il a premièrement laissé l’obscurité envahir son corps jusqu’au moments où les démons sorti de sa cuisse. Il a abandonné ce corps qui est devenu la nuit. Ensuite, il s’est introduit dans un autre corps. Dans ce corps, il trouva du plaisir. Alors, les Dieux, gourmands et jouisseurs, sont nés de sa bouche. Le corps du plaisir devint

importance dans les vies des gens de cette époque. On peut voir ces choses dans "La Chanson de Roland," une chanson de geste qui décrit la mort chevaleresque du comte Roland sur une croisade. Le comte montre l'importance de la religion quand il « ...bat sa coulpe et demande pardon à Dieu, » (ligne 9) ; le passage suivant décrit son ascension au paradis avec les anges. Cette chanson de geste exemplifie la chevalerie quand elle fait allusion aux soucis du comte pour Charlemagne, son seigneur et pour les

sens général du texte. | IV. Un plaisant | Un homme regarde l'agitation qui résulte du nouvel an. Un bourgeois salut un âne qui passe dans une rue probablement dans la ville de Paris. L'homme qui voit la scène n'est que choqué de ce geste. Thème de la révolte, de l'argent et de l'absurdité (en particulier à la fin du poème). | C'est un récit. Il y a aussi des descrip- tions du lieu et du « plaisant ». Texte narratif et descriptif. | Ce poème comporte des aspects poétiques avec

sont même ultra-méga-giga beaux. Vous voyez ces idoles, acteurs, mannequins et autres que lorsqu'on les voit à la télé on a qu'une envie : traverser l'écran et leur sauter dessus ? Ce genre-là, ils sont dans ma classe. Un blondinet m'adresse de grand geste d'accueil. Il a l'air sympa ... quoi que un peu débile. Un autre châtain clair se contente de me regarder avec des yeux ronds ... encore un débile. Mais je crois que je préfère les deux débiles à celui aux cheveux courts qui me font des clins d’œil

encore, quelques cheveux gris perdus dans les touffes noires, l’œil doux et fort puissamment enfoncé sous une arcade sourcilière bien modelée, les narines ouvertes, le menton avancé, la lèvre dédaigneuse. Page 2: Il avait la parole rare, geste peu fréquent Description du directeur des ateliers il y avait un directeur des ateliers, espèce de fonctionnaire propre aux prisons, qui tient tout ensemble du guichetier et du marchand, qui fait en même temps une commande à l’ouvrier et