La Gestion Préventive Du Risque Crédit

2014 Le Conseil de Surveillance, présidé par Madame Saïda Lamrani Karim, s’est réuni le vendredi 12 septembre 2014 au siège social du Crédit du Maroc et a examiné l’activité et les comptes arrêtés au 30 juin 2014 par le Directoire. Dépôts clientèle : 37 701 millions de dirhams (+5,2%) Fonds propres (T1) : 4 161 millions de dirhams (+18,4%) Crédits clientèle : 37 367 millions de dirhams (+3,7%) Produit net bancaire : 1 059 millions de dirhams (+0,0%) Total bilan :

de crédit. Elle a ainsi publié en 1987 un Livre blanc sur les nouveaux instruments financiers et le risque bancaire, en 1995 un Livre blanc sur la sécurité des systèmes d’information dans les établissements de crédit et a participé en 1998 à la rédaction d’un Livre blanc du secteur financier sur l’an 2000. Le présent document s’inscrit dans un contexte d’évolution contrastée des conditions de concurrence prévalant en matière bancaire et financière. En effet, les établissements de crédit subissent

employeurs et des autres partenaires. La réalité nous montre d’ailleurs qu’il est temps de prendre toutes les dispositions nécessaires pour protéger les travailleurs contre tous les risques pouvant nuire à leur santé et à leur sécurité, ainsi qu’à leur condition de vie en général. De plus, pour mettre en place une bonne gestion des affaires publiques une coordination s’impose. De même, il a été dégagé par nos enquêtes que de nombreux dysfonctionnements paralysent les activités du système d’inspection

donc du respect du principe d'équilibre, étranger aux préoccupations de redistribution[]. 4- L’audit fiscal: - Objectif :   • Evaluer les risques fiscaux encourus par l'entreprise en matière d'IS, Patente, TVA et autres impôts • Optimiser la gestion fiscale de l'entreprise. • Vérifier que l entreprise n’est pas exposée à des risques fiscaux q’elle n’a pas identifiés. • Vérifier que comte tenu de la structure juridique existante de l’entreprise, la charge fiscale est minimum

sur les sociétés, et les tranches supérieures de l'impôt général sur le revenu Sur le plan monétaire, et après une période d'encadrement des crédits, le secteur bancaire a fait l'objet à partir de Janvier 1991 d'une déréglementation avec la mise en place de nouveaux instruments de régulation et de contrôle (réserve monétaire, coefficient de division des risques, ratio cooke ... ), la libéralisation presque complète des taux d'intérêt, et la réduction des emplois obligatoires. Cette déréglementation

........................................................................... 42 2. Sous-location ................................................................................................................................ 43 3. La gestion du patrimoine privé ................................................................................................ 43 4. Les plus-values immeubles............................................................................................

Incapacité du mineur Incapacité du majeur Droits réels / Droits personnels Suretés Différence entre PPD et hypothèque Régimes matrimoniaux PACS – Concubinage Successions ab intestat Successions avec testament Donations / Partages Mandat / Dépôt / Vente Crédit-bail Lettre de change Escompte • • • • • • • • • • • • • • • • • • Billet à ordre Dailly Chèque Loi Debré - 1966 Loi Scrivener I - 1978 Loi Scrivener II - 1979 Loi Bancaire - 1984 Loi Neiertz - 1989 Loi MURCEF - 2001 Loi Sécurité financière – 2003

internationale touche en pratique l’essentiel du système bancaire et financier, et pas seulement les crédits hypothécaires accordés aux ménages américains risqués .Elle soulève de redoutables interrogations sur les avantages et les inconvénients des procédures de titrisation, sur le rôle des innovations financières dans le transfert des risques et donc leur traçabilité, sur le contrôle interne des risques et l’organisation même des systèmes de contrôle prudentiel et de supervision bancaire, sur le dispositif

banques commerciales disposant d'un réseau national : Crédit lyonnais, Société générale, Comptoir national d'escompte de Paris et BNCI. La même loi reprend l'essentiel de la réglementation de Vichy, et établit une cloison étanche entre les banques de dépôts, qui doivent privilégier les emplois liquides, et les banques d'affaires, qui ont évité la nationalisation et peuvent prendre des engagements longs. L'État a donc pris en main l'essentiel du crédit. Pendant une vingtaine d'années, les banques nationalisées

interne bancaire 2.2.- Architecture et organisation du contrôle interne 2.3.- Types de contrôle 2.4.- Acteurs du contrôle III.- Les grands risques bancaires 3.1.- Le risque de crédit 3.2.- Le risque de taux 3.3.- Le risque de change 3.4.- Le risque de liquidité 3.5.- Les risques opérationnels III.- La méthodologie de l’audit bancaire 3.1.- L’identification des risques 3.2.- L’appréciation du dispositif de contrôle interne 3.3.- La validation des comptes IV.- Annexes annexe 1 : Présentation du secteur